samedi 19 décembre 2009

Dijon (21, Côte d'Or) rue Piron SOMEWHERE à la place de LA REDOUTE


Dijon, rue Piron : SOMEWHERE remplace LA REDOUTE

Sozialkaufhaus, les "magasins sociaux" se multiplient en Allemagne

Lu sur le site du journal Le Monde le 19 décembre 2009
Les "magasins sociaux" se multiplient en Allemagne

Berlin Correspondante

Cela ressemble à n'importe quelle brocante : des canapés usés alignés devant des buffets massifs, des vitrines remplies de verres et d'objets en tout genre, des livres à perte de vue et plusieurs lampadaires années 1950. Sauf que, au Sozialkaufhaus, un magasin social implanté dans un quartier populaire de Neukölln, à Berlin, les tarifs pratiqués s'adressent d'abord à une population particulière : chômeurs de longue durée, retraités, mais aussi des salariés aux revenus modestes, peuvent acquérir ici un lit complet avec matelas et sommier pour 50 euros, un verre pour 20 centimes d'euro, un buffet pour 50 euros, un livre pour 1 euro.
Les vêtements peuvent même être gratuitement emportés dans la limite de cinq pièces. Ce matin froid d'automne, il n'y a pas foule dans le magasin. Cette image est trompeuse. Car, depuis que Michael Maskolus a créé l'association Die Teller Gottes ("les assiettes de Dieu") et ouvert son premier centre en 2004, la demande ne cesse de croître. Jusqu'à 150 personnes par jour, vivant parfois très loin, viennent se procurer des objets ou des meubles à des prix défiant toute concurrence. "De plus en plus de gens ont besoin de ce type d'offre" en Allemagne, raconte cet ancien chômeur de 47 ans. La preuve : il a ouvert deux autres magasins et une petite cantine où sont servis, chaque midi, des repas chauds au tarif unique de 1 euro.

Son concept est simple : il récupère tout ce que les gens veulent jeter, répare si nécessaire et revend le tout à des prix très bas. "C'est incroyable tout ce qui peut atterrir dans la poubelle", s'exclame-t-il en montrant des radiocassettes et chaînes hi-fi encore en bon état.

Le bouche-à-oreille a bien fonctionné et, aujourd'hui, il reçoit plus de dons qu'il ne lui en faut. Ainsi, faute de place, les vêtements s'entassent dans des sacs-poubelle bleus. Les gains de la vente servent à payer le loyer et les salaires des dix employés. "Nous ne faisons aucun profit et s'il devait à l'avenir rester de l'argent en trop, je le reverserai à une association", assure M. Maskolus, qui se targue, à la différence d'autres associations, de ne percevoir aucune subvention publique.

Dans tout le pays, ces commerces caritatifs connaissent un véritable essor. On estime leur nombre à 350 et, chaque mois, de nouveaux magasins ouvrent leurs portes. Les experts des grandes organisations caritatives mettent cette évolution sur le compte d'Hartz IV, une réforme très controversée entrée en application en 2005 et qui a durci les conditions d'indemnisation des chômeurs de longue durée. La nouvelle majorité de centre droit, sortie victorieuse des élections législatives du 27 septembre, a d'ailleurs annoncé qu'elle souhaitait corriger certains aspects de cette loi.

En même temps, plusieurs études attestent d'une stagnation des salaires depuis plusieurs années et d'une montée des inégalités outre-Rhin. Depuis le début des années 1990, le salaire net a très peu progressé et la proportion de la population qui n'a pas ou très peu de patrimoine a vu sa contribution à la richesse nationale baisser de 1,5 % entre 2002 et 2007.

PENSION TROP BASSE

La clientèle du Sozialkaufhaus donne un aperçu du mode de vie des plus démunis. Ainsi Elizabeth Filipovici, une mère célibataire de 35 ans, enceinte de son quatrième enfant, se rend régulièrement dans ce centre. "Avec 600 à 800 euros par mois, mon salaire de femme de ménage est loin de pouvoir couvrir toutes les dépenses", raconte cette petite brune tout en cherchant un pantalon pour son fils de 7 ans. A côté d'elle, deux retraitées fouillent dans un carton rempli de draps. "Ma pension est bien trop basse", se plaint l'une d'elles.

Les employés du Sozialkaufhaus sont tous des chômeurs de longue durée. Ce travail rémunéré 1,50 euro de l'heure, leur permet de rehausser leurs indemnités mensuelles. Prévus par la réforme Hartz IV, les emplois à un 1,50 euro constituent l'un des autres points très controversés de la loi. Dieter Rüdiger, un maçon de 52 ans au chômage depuis 2001, semble pourtant satisfait de pouvoir travailler dans ce magasin à ces conditions : "C'est bien mieux que de rester chez soi et cela va peut-être me permettre d'obtenir un emploi stable." "Le problème n'est pas Hartz IV, mais plutôt la façon dont les aides publiques pour soutenir l'emploi sont investies", ajoute M. Maskolus.

Contrairement à beaucoup d'autres magasins sociaux, l'antenne de Neukölln accepte tous les types de clients. Comme ce producteur de musique très stylé qui cherche des plaques de cuisson pour ses musiciens en déplacement. "Je ne vois pas pourquoi j'exclurai des gens qui ne sont certes pas dans le besoin, mais qui soutiennent mon association en venant acheter quelque chose", se défend le fondateur de Die Teller Gottes.
Cécile Calla
Article paru dans l'édition du 20.12.09

vendredi 18 décembre 2009

Le textile en novembre : les chaînes affichent un recul de 4 %

Lu sur le site du journal LSA le 18 décembre 2009
Le textile rechute en novembre
Le 17 décembre 2009 par FLORENCE BRAY


Après une légère embellie en octobre (+0,2%), les ventes d'articles d'habillement et de textile ont chuté de 5 % en novembre 2009 par rapport à la même période de 2008 selon l'Institut français de la mode. Les indépendants multimarques sont ceux qui souffrent le plus (-7 %) tandis que . Selon les prévisions de l'IFM, le secteur devrait reculer moins fortement en 2010 qu'en 2009, soit -1,1 % en valeur contre - 4 % et repartir en 2011

mercredi 16 décembre 2009

Le centre commercial tente de se réinventer

Lu sur le site du journal Le Monde le 15 décembre 2009
Face à un certain essoufflement, le modèle du centre commercial tente de se réinventer
LE MONDE | 14.12.09 | 15h01 • Mis à jour le 14.12.09 | 21h04

Un service de nounous à domicile gratuit au centre commercial Vélizy 2, à Vélizy-Villacoublay (Yvelines) ; une conseillère "profileuse" chargée de vous trouver le cadeau qui correspondra le mieux à l'un de vos proches au centre des Quatre Temps à la Défense (Hauts-de-Seine) ; des papiers cadeaux personnalisés par les graffeurs les plus pointus au forum des Halles à Paris. Mais aussi, et surtout, des promotions monstres de 30 %, 40 %, 50 % avant Noël...
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Pour les fêtes de fin d'année, les grands centres commerciaux, à Paris, en province et en périphérie multiplient les initiatives les plus originales pour attirer les clients. La période est cruciale et, jusqu'alors, ces complexes n'ont pas échappé à la morosité des consommateurs. Selon le Conseil national des centres commerciaux (CNCC), leur fréquentation a chuté de 6,8 % en novembre par rapport à la même période en 2008. Du jamais-vu. "Les soldes flottants du mois d'octobre nous ont pénalisés", justifie Jean-Michel Silberstein, délégué général du CNCC. Le succès de la prime à la casse, qui a dopé plus que jamais le marché automobile (+ 48,4 % en novembre), s'est fait au détriment d'autres postes d'achat.

La baisse de la fréquentation des centres commerciaux est patente depuis septembre 2008, au rythme de 2 % à 3% en moyenne par mois. La progression du chômage et le discours sur la crise ont rendu le consommateur frileux. "Pour vendre un produit, il faut stimuler et déculpabiliser le client, sinon il ne se passe rien", note M. Silberstein. Tous les centres commerciaux ne souffrent pas de façon identique. Ceux des centres-villes (les Halles, les Quatre-Temps, la Part-Dieu à Lyon...), desservis par les transports publics, sont moins affectés que ceux des périphéries.

S'intégrer dans la ville

Mais la crise n'explique pas tout. Les experts s'interrogent sur la pertinence du modèle même de centre commercial. "Cette manière de penser le commerce, dans un endroit confiné avec tout sous le même toit, est-elle encore adaptée ?", s'interroge Philippe Moati, du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Credoc). Le premier d'entre eux, Parly 2, au Chesnay (Yvelines), a été créé au début des années 1960. La plupart de ces complexes ont été très peu remaniés ces dernières années, selon M. Moati.

Si beaucoup se démènent pour attirer les boutiques à la mode, et varier l'offre au-delà des inévitables Zara et H & M, peu remettent en question leur structure. Or, pour M. Moati, ces bâtiments correspondent à une époque datée. Celle de l'architecte Le Corbusier, "où chaque zone correspond à une fonction : le centre commercial est l'endroit pour consommer ; le centre d'affaires, l'endroit pour travailler ; le lotissement, l'endroit pour dormir". Désormais, "le centre commercial ne doit plus être seulement une boîte à magasins rectiligne mais se fondre et s'intégrer dans la ville", estime-t-il.

Les professionnels savent qu'ils doivent évoluer. "Le grand mall à l'américaine, où l'on ne peut se rendre qu'en voiture, est en train de mourir", prédit Dan Stanek, du cabinet de conseil Retail Forward. "Le consommateur veut découvrir, apprendre, se cultiver. Il nous faut proposer une offre commerciale diversifiée et accélérer la rotation des enseignes, en trouvant des concepts originaux", dit Guillaume Poitrinal, président du directoire d'Unibail Rodamco, propriétaire de 104 centres commerciaux.

Des expériences commencent à émerger. La société Affine rénove ainsi, face à la gare Montparnasse, un passage commercial semi-couvert. Elle conçoit, en plein centre d'Arcachon, un marché couvert de type Baltard et installera, à Bordeaux, un Quai des Marques au chais du Quai-des -Chartrons. Odysseum, un centre qui vient d'ouvrir, à Montpellier, est traversé par le tramway. Une autre préoccupation est de donner l'impression aux clients qu'ils ne perdent jamais de temps. Gares et aéroports deviennent ainsi de nouveaux lieux de consommation.
Claire Gatinois et Isabelle Rey-Lefebvre
Article paru dans l'édition du 15.12.09

mercredi 9 décembre 2009

La fréquentation des centres commerciaux en baisse

Lu sur le site du journal LSA le 9 décembre 2009
La fréquentation des centres commerciaux en baisse
Le 08 décembre 2009 par Sylvie Lavabre

Par rapport à novembre 2009, l’indice CNCC de fréquentation des centres commerciaux de France, calculé à partir d'un panel de 60 centres commerciaux équipés de systèmes électroniques de comptage, subit une baisse de -6,8%, avec un effet calendaire défavorable (5 samedis en 2008 versus 4 en 2009) mais un jour ouvrable supplémentaire. En cumulé depuis le début de l’année, l’indice de fréquentation est en baisse à -3,9%. Sur 12 mois glissants, cet indice ressort à -3,6%. journal LSA le 9 décembre 2009

samedi 5 décembre 2009

PIMKIE : les ventes au mètre carré ont baissé

Lu sur le site du journal CAPITAL le 5 décembre 2009
Le 03/12/2009 à 06:00 - Mis à jour le 03/12/2009 à 06:04

Le 28 mai 2009 restera une date funeste dans l’histoire des Mulliez. Ce jour-là, 250 salariés en colère se sont rassemblés à La Madeleine, dans la banlieue de Lille, devant le siège de Pimkie, l’une des filiales de l’empire nordiste (Auchan, Leroy Merlin, Décathlon…). Cette manifestation – la première dans l’histoire de la société – faisait suite à l’annonce de 190 suppressions de postes. Prudente, l’enseigne de vêtements a jugé préférable d’annuler l’assemblée générale des actionnaires : les administratrices Séverine Tapié et Perrine Mabille de Poncheville, petites-nièces du fondateur, Gérard Mulliez, n’avaient guère envie d’affronter le comité d’accueil de la CFDT et de FO…

Prompts à vanter l’harmonie sociale censée régner chez eux, les Mulliez ont accusé le coup. Mais, selon eux, ce plan ­social est le seul moyen de sortir Pimkie du gouffre. Le chiffre d’affaires des 760 magasins, dont un tiers en France, a plongé de 650 millions d’euros en 2005 à 570 millions en 2008. En dix ans, les ventes au mètre carré ont baissé de 7 000 à 4 700 euros, quand Zara, H & M ou Camaïeu dépassent les 6 000 euros. Quant au bénéfice, il suit la même pente. Equivalent autrefois à 20% du chiffre d’affaires, il a péniblement dépassé 1% l’an dernier. Impensable dans un groupe où quasiment toutes les filiales crachent de juteux dividendes. Particulièrement inquiets, les Mulliez ont confié en février dernier à leur homme de confiance, Richard Maurice, le soin de chaperonner le directeur général de Pimkie, Eric Vandendriessche. Les salariés ont déjà trouvé un petit nom à cet ancien de Kiabi : le «killer»…

jeudi 3 décembre 2009

Literieland et Maison de la Literie s'allient

Lu sur le site du journal LSA le 3 décembre 2009

Literieland et Maison de la Literie s'allient
Le 02 décembre 2009 par FLORENCE BRAY
Cet accord entre les deux spécialistes de la literie va se traduire concrètement par le transfert du réseau Dosrama (une quinzaine de magasins appartenant au groupe Maison de la Literie) sous l'enseigne Literieland. "Ce qui va nous permettre de devenir le deuxième réseau du secteur avec 60 points de vente", se réjouit Michel Arsac, fondateur et PDG de Literieland. Qui ambitionne d'atteindre les 200 magasins à l'horizon 2014. L'accord prévoit également des prises de participations croisées avec d'un côté Literieland qui prend une participation de 15 % dans Maison de la Literie Canapés Convertibles, et de l'autre le groupe Maison de la Literie qui entre dans le capital de Literieland à hauteur de 35 %. Dirigé par Pierre Elmalek, ce dernier entend passer de son côté de 250 points de vente à 500 d'ici à 5 ans.

mardi 1 décembre 2009

40 Nouveaux Centres Commerciaux

Lu sur le site du journal LSA le 2 décembre 20009
Les 40 projets des années 2010
Le 26 novembre 2009 par Daniel BICARD



LSA.fr publie, en exclusivité, le calendrier d’ouverture des 40 centres commerciaux qui sortiront de terre de 2010 à 2014 en France. De Tourcoing à Joué-Les-Tours, la liste des programmes qui feront l’actualité des cinq prochaines années…

40 projets présentés au Mapic (marché international des professionnels de l’implantation commerciale) du 18 au 20 novembre à Cannes.

2010
Janvier
> Greencenter Parc des Moulins (Frey): 10 000 m² à Soissons (Aisne)

Mars
> Orange Porte Sud (Bouygues Immobilier) : 30 000 m² de retail-park à Orange (Vaucluse)
> Centre de Bry-sur-Marne (Inter Ikea Centre France) : 21 000 m² de commerces, hors magasin Ikea (Val-de-Marne)
Le 24 mars
> Centre Okabé (Altaréa) : 70 000 m² dont 35 000 m² de commerces au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne).

Avril
> Cours Oxygène (Unibail-Rodamco/Redevco) : 15 000 m² à Lyon (Rhône).

Mai
> Concept Esprit Voisin à Brest (Mercialys) : 3 300 m² (Finistère)
> Concept Esprit Voisin à Castres (Mercialys) : 2 300 m² (Tarn)
> Concept Esprit Voisin à Fontaine-Lès-Dijon (Mercialys) : 800 m² (Côte-d’Or)

Juillet
> Concept Esprit Voisin à Sainte-Marie-du-Parc (Mercialys) : 8 500 m² (Réunion)

2e semestre
29 septembre
> Les Portes de Limoges (Altaréa) : 35 000 m² à côté de Décathlon et des futurs Alinéa et Leroy Merlin (Haute-Vienne, voir LSA n°2111).

Septembre
> Seine Rivoli (Redevco) : 2 000 m² pour Celio et Jennifer à Paris.

Octobre
> Concept Esprit Voisin à Annecy-Seynod (Mercialys) : extension de 5 000 m² (Haute-Savoie)

4e trimestre
> Ensemble commercial en hypercentre de Tourcoing (Altaréa) : 13 000 m² dont un hyper Auchan (Nord)
> Pôle Europe (Immochan) : 7 000 m² (Meurthe-et-Moselle)
> Rue du Calvaire à Nantes (Redevco) : requalification de 6 000 m² dans les anciennes Galeries Lafayette (Loire Atlantique)



2011
Février
> Centre de Reims (Inter Ikea Centre France) : 27 000 m² de commerces, hors magasin Ikea (Marne).

Avril
> Le Millénaire à Aubervilliers (Ségécé-Klépierre/Icade) : 56 000 m² avec 130 commerces et restaurants aux portes de Paris (Seine-Saint-Denis)
> Carrefour de Chambourcy (Carrefour Property) : extension de 6 500 m² de la galerie, soit un doublement de surface (Yvelines)

2e semestre
> Les Quatre Chênes (Redevco) : retail-park de 43 000 m² (dont 8 000 m² Leclerc) à Pontault-Combault (Seine-et-Marne).
> La Galerie des Ailes (Frey) : 30 000 m², dont un Leclerc et 45 boutiques en cœur de ville de Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis)
> Projet en Avignon (Inter Ikea Centre France) : 28 000 m² de commerces, hors magasin Ikea (Vaucluse).
> Gare Saint-Lazare (Ségécé) : 10 000 m² de commerces sur 3 étages à Paris.
> Carrefour Portet-sur-Garonne (Carrefour Property) : extension de 8 300 m² de la galerie (Haute-Garonne)


2012
> Les Saisons de Meaux (Immochan) : centre à ciel ouvert de 48 640 m² (Seine-et-Marne).
> Projet à Caen (Inter Ikea Centre France) : 45 000 m² de commerces, hors magasin Ikea(Calvados).
> Site de la Valette (Altaréa) : 30 000 m² environ de mail à ciel ouvert à Toulon (Var).
> Opération Ginko sur la zone Berge-du-Lac (Bouygues Immobilier /Immochan) : 30 000 m² de commerces associés à 30 000 m² de bureaux et 2 500 logements près de Bordeaux (Gironde).
> Costières Sud (Icade) : retail-park de 27 000 m² à Nîmes (Gard).
> Greencenter d’Agen-Boé (Frey) : 18 000 m² (Lot-et-Garonne)
> Normandie Village à Ifs (Bouygues Immobilier) : centre de marques de 15 000 m² avec 10 000 m² d’autres commerces près de Caen (Calvados)
> Marques Avenue de Montpellier (Concepts & Distribution) : 14 000 m² (Hérault)
> Les Rives de la Glissoire (Immochan) : une surface alimentaire et sa galerie, 8 500 m² de commerces en strip mall, une halle commerçante de 2 000 m² à Lens-Liévin (Pas-de-Calais).
> Extension du centre commercial Mont-Gaillard (Immochan) : extension d’Auchan de 2 000 m² avec 5 nouvelles moyennes surfaces et 45 nouvelles boutiques au Havre (Seine-Maritime).


2013
> La Capelette (Icade/Sifer) : 42 500 m² à Marseille (Bouches-du-Rhône)
> Passage du Nord (Icade) : 32 500 m² dans le 19e arrondissement de Paris
> L’Amphithéâtre (ING Real Estate Development /Apsys) : 25 000 m² de commerce associés à 35 000 m² de logements et bureaux à Metz (Moselle).
> Place Sainte-Catherine (Redevco) : 15 000 m² commerciaux et 10 000 m² de logement à Bordeaux (Gironde).
> Marques Avenue de Beaune (Concepts & Distribution) : 14 000 m² (Côte-d’Or)

2014
> Pôle Théâtre (Multi Development) : 20 à 25 000 m² à Dunkerque (Nord)
> Projet de Joué-Lès-Tours (Bouygues Immobilier) : 15 000 m² près de Tours (Indre-et-Loire)