dimanche 30 mai 2010

LES MAGASINS ALLEMANDS KARSTADT, EN DEPOT DE BILAN, INTERESSENT TROIS REPRENEURS POTENTIELS

Lu sur le site du journal Le Monde le 30 mai 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/29/les-magasins-allemands-karstadt-en-depot-de-bilan-depuis-un-an-interessent-trois-repreneurs_1364932_3234.html
Les magasins allemands Karstadt, en dépôt de bilan depuis un an, intéressent trois repreneurs potentiels
LEMONDE | 29.05.10 | 14h07 • Mis à jour le 29.05.10 | 14h12

La chaîne de grands magasins allemands Karstadt a-t-elle encore un avenir ? L'enseigne créée en 1881, présente dans quasiment chaque ville du pays, a été placée en dépôt de bilan le 9 juin 2009, dans la foulée de sa maison mère Arcandor. Karstadt cherche donc un repreneur.

Vendredi 28 mai, trois offres ont été déposées auprès de l'administrateur judiciaire chargé du dossier. Elles devaient être examinées par la commission des créanciers afin d'identifier un repreneur avant juillet.


L'une des offres associe le groupe franco-américain BCBG Max Azria au milliardaire Nicolas Berggruen, 48 ans, fils du collectionneur d'art Heinz Berggruen (1914-2007), un juif berlinois qui avait fui l'Allemagne nazie.

M. Azria est venu en personne, vendredi, depuis Los Angeles pour faire valoir ses arguments au côté de M. Berggruen. Il propose de mettre 50 et 100 millions d'euros sur la table et garantit tous les emplois et la continuité industrielle.

Le fonds germano-suédois Triton est aussi candidat. Il se dit prêt à débourser près de 500 millions d'euros sur cinq ans. Mais l'investisseur, qui envisagerait de supprimer plus de 4 000 emplois sur 25 000, a face à lui le puissant syndicat allemand des services Ver.di.

Le troisième repreneur potentiel est la société immobilière Highstreet, qui possède les deux tiers des murs de Karstadt et dont la banque américaine Goldman Sachs détient 51 %. Les autres actionnaires de Highstreet sont la Deutsche Bank, Generali et l'entrepreneur italien Borletti - il détient Le Printemps en France.

Pour aboutir et donner une chance aux magasins allemands, il est prévu, et nécessaire, que les créanciers renoncent à la quasi-totalité d'une dette estimée à 2,7 milliards d'euros et que les communes renoncent à toucher la taxe professionnelle. Au total, 92 d'entre elles sont mises à contribution pour un total de 140 millions d'euros.

Or, bien que Karstadt, et son magasin de Berlin, KaDeWe, une institution, fasse partie du paysage urbain, certaines communes, très endettées, refusent un tel sacrifice. Autrement dit, une disparition pure et simple de Karstadt n'est pas impossible.

UN MODÈLE À REPENSER

Comment en est-on arrivé là ? Le groupe, en déficit chronique, est plombé depuis plusieurs années par des charges immobilières jugées insoutenables. En 2006, la société a vendu les murs de ses locaux à hauteur de 51 % à un consortium auquel participe Goldman Sachs et, en 2007, les 49 % restants à un autre consortium qui comprend notamment Deutsche Bank et Pirelli. Depuis, Karstadt paie des loyers qualifiés d'exorbitants à ces propriétaires, pour un chiffre d'affaires moribond.

Mais pour Gilles Goldenberg, associé au sein du cabinet de conseil Deloitte, spécialiste de la grande distribution, l'origine des problèmes de Karstadt est plus profonde.

Selon M. Goldenberg, c'est le concept un peu "fourre-tout" de ses grands magasins "milieu de gamme" où offrant un large choix d'articles, du téléviseur aux sous-vêtements, en passant par les livres et les produits alimentaires, qui est trop vague et surtout dépassé.

Le groupe, dont l'histoire est née avec le mouvement de démocratisation de la consommation, semble passé de mode. Le consommateur préfère désormais à ces enseignes généralistes des magasins spécialisés. C'est donc tout un modèle qu'il faudrait repenser.
Claire Gatinois et intérim (à Berlin)
Article paru dans l'édition du 30.05.10

samedi 29 mai 2010

PHILIPPE SANCHEZ, DIRECTEUR GENERAL FRANCE DE STARBUCKS COFFE, RECONCILIE LES FRANCAIS AVEC LE CAFE AMERICAIN

Lu sur le site du journal CAPITAL LE 29 MAI 2010
http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/philippe-sanchez-directeur-general-france-de-starbucks-coffee-reconcilie-les-francais-avec-le-cafe-americain-503750?xtor=EPR-228
Le 24/05/2010 à 07:30 - Mis à jour le 24/05/2010 à 07:34
Philippe Sanchez, directeur général France de Starbucks Coffee, réconcilie les Français avec le café américain
Cet homme d’action a posé sa «French touch» sur l’offre de la chaîne de Seattle, dont il dirige la filiale France. Tout en pratiquant un management et une gestion très yankees.



«Excusez mon retard, un rendez-vous important.» Au milieu du spacieux café Starbucks de la rue des Capucines, à Paris, Philippe Sanchez s’assied dans son imposant fauteuil club. Le patron des lieux vient de raccompagner à la porte un grand gaillard en costume-cravate. «Un ancien DG de KFC», glisse-t-il en terminant son expresso. Recrutement de haut vol ? Négociation de contrat ? «Non, je lui demandais des conseils sur la restauration rapide en France, explique Philippe Sanchez. J’ai vécu si longtemps aux Etats-Unis que j’ai encore besoin de me mettre à jour.»

Vingt ans sur la côte ouest. Un manager franco-américain pour développer le café yankee au pays du petit noir ? L’idée n’est pas mauvaise. Depuis 2008, Philippe Sanchez dirige la filiale française de Starbucks, le leader mondial des «salons de café». Dans ces cafétérias cosy, le cappuc­cino peut se déguster nappé de chantilly ou de coulis au caramel. A emporter ou à savourer installé dans de grands canapés. Un concept «made in USA» que ce Montpelliérain de 46 ans, diplômé de l’Insa Lyon et de l’Insead, connaît bien : il a travaillé pendant vingt ans sur la côte ouest des Etats-Unis, à la division peluches de Disney, puis au marketing Amérique du Sud et Canada de Nike, avant de réorganiser l’agence Getty Images et de transformer le spécialiste du dé­veloppement de pellicules par corres­pon­dance Photoworks en prestataire 100% Internet. «Finalement, je suis presque autant américain que français», constate Philippe Sanchez.

Sa connaissance des deux cultures a visiblement séduit Howard Schultz, le fondateur de la chaîne américaine en 1978. Revenu aux commandes en 2008 pour redresser le géant américain, qui connaissait alors une grave crise de croissance, le milliardaire lui a confié les clés de l’activité en France. Philippe Sanchez pilote désormais 53 magasins à Paris, Lyon et bientôt Marseille, pour un chiffre d’affaires d’environ 55 millions d’eu­ros. Certes, c’est encore une goutte d’arabica comparé aux 10 milliards de dollars de revenus que le «king» du café gourmand a tiré de ses 16 700 boutiques dans le monde l’an dernier. «Mais la France n’a démarré qu’en 2004, et elle doit devenir un
relais de croissance important», explique l’ancien expatrié, qui parle d’une centaine de boutiques supplémentaires d’ici à cinq ans. Quid des 25 millions d’euros de pertes cumulées depuis l’ou­verture ? «C’est terminé : nous sommes rentables depuis les derniers mois
de 2009», assure-t-il de sa voix ferme.

Le début d’une nouvelle ère ? Ce serait une belle revanche sur ceux – et ils sont nombreux – qui pen­sent que le con­cept ne peut pas fonc­tion­ner chez nous. «Les Français pren­nent leur café serré, avant 14 heures et jamais en marchant, analyse Bernard Boutboul, PDG de Gira Conseil, un cabinet spécialisé dans la restauration. Et ils sont très sensibles au prix.» Gênant : le tarif moyen d’une boisson chez Starbucks tourne autour de 4 à 5 euros. Lorsqu’il est arrivé, Philippe Sanchez n’a pourtant pas souhaité revi­siter la recette. «De toute façon, c’est un tabou dans la maison», confirme Stéphane Klein, le précédent DG. L’envoyé de Seattle l’a quand même légèrement adaptée aux habitudes gauloises.

Il a ainsi remplacé le lait entier par du demi-écrémé, étoffé l’offre de thé et fait passer le prix de l’expresso sous la barre des 2 euros. Il a aussi revu la carte des en-cas, en ajoutant des salades, des sandwichs baguette et des crêpes dans les formules petit déjeuner. «L’alimentaire représente un tiers de nos ventes, un des taux les plus élevés de Starbucks dans le monde», clame le Frenchy, qui a appris à manier les superlatifs outre-Atlantique.
Côté services, le DG a équipé les vendeurs de tablettes électroniques pour prendre les commandes directement dans la file d’attente. Et il a exigé que les «baristas» – les préparateurs de cafés – ne demandent plus le prénom du client pour l’inscrire sur le gobelet. L’habitude, censée créer un lien de proximité, gênait les Français.

Le sens de l’“incentive”. Philippe Sanchez a en revanche conservé sa rigueur et son pragmatisme à l’américaine lors­qu’il s’est attaqué à la gestion de la filiale. Indispensable, vu les sommes colos­­sales déboursées pour s’offrir les meil­­leurs emplacements. Il a ainsi réduit les effec­tifs du siège de 20%, rendu les ­directeurs de magasin responsables du compte de résultats de leur point de vente, tout en les équipant de meil­leurs outils pour op­timiser le planning des employés et les stocks de café ou de crème chantilly. En salle, le Wi-Fi est payant, pour réduire les coûts et éviter que les clients n’occupent les conforta­bles fauteuils des heures durant sans con­sommer. Mais management à l’américaine rime aussi avec politique efficace de ressources humaines. Pour réduire le turn­over, le DG France a transformé les CDD des baristas en CDI et augmenté les sa­laires variables des ­cadres sur les points de vente. «C’est un très bon “incentive”», se félicite-t-il dans un de ces anglicismes dont il est coutumier.

“Open forum” trimestriel. De toute façon, Philippe Sanchez avoue qu’il ne sait pas diriger une entreprise à la française. «Je ne l’ai jamais fait !» Ses deux mots d’ordre, il les énonce toujours en anglais : «Bring solutions, evolve immediately» (apportez des solutions, passez à l’action immédiatement). «C’est un mal très français de tout analyser, surtout ce qui ne marche pas, ajoute-t-il avec une pointe d’ironie. Je préfère agir vite.» Lui-même n’a mis que six mois à appliquer la nouvelle stratégie de Starbucks : développer des salons «écoresponsables» (cons­truits en matériaux recyclés et économes en énergie). Un prototype, installé à Dis­neyland Paris, sert désormais de modèle pour la chaîne. Ses méthodes pour raccour­cir les délais ? Pas de secrétaire ni de hiérarchie trop lourde, rien de «tout ce qui crée une distance inutile». Chaque trimestre, il organise un «open forum» pour l’ensemble des 800 salariés du groupe, en poussant ces derniers à s’exprimer sur tous les sujets. «Pour l’instant, les contributions sont un peu timides, avoue un participant, ce n’est pas trop dans la culture française.» ça ne saurait tarder.

Grégoire Silly

GRANDES MANOEUVRES DANS LA DISTRIBUTION DE JOUETS

Lu sur le site du journal Le Figaro le 29 mai 2010
http://www.lefigaro.fr/societes/2010/05/28/04015-20100528ARTFIG00687-grandes-man339uvres-dans-la-distribution-de-jouets.php
Grandes manœuvres dans la distribution de jouets


Toys'R'Us est numéro un du marché français, juste devant La Grande Récré. Crédits photo : Marta NASCIMENTO/REA
Toys'R'Us veut lever 800 millions de dollars en Bourse, La Grande Récré accueille un nouvel actionnaire.

Les deux principaux distributeurs de jouets en France, ­Toys'R'Us (11,3 % du marché, 44 magasins) et Ludendo (10,7 % avec 157 magasins La Grande Récré, ainsi que Jouetland, Starjouet et Bébéland) ont annoncé vendredi des changements dans leur capital, détenu par des fonds, dans un contexte de course à la taille pour la domination du secteur.

Les géants américains KKR (Kohlberg Kravis Roberts), Bain et Vornado Realty Trust ont déposé une demande d'introduction à la Bourse de New York pour Toys'R'Us, qu'ils avaient racheté en 2005 pour plus de 7 milliards de dollars.

De ce côté-ci de l'Atlantique, le capital du groupe Ludendo, qui possède notamment La Grande ­Récré, a été réorganisé. Les fonds Siparex, EPF, Esfin et Fortis Private Equity sont sortis au profit d'Ixen Partners, qui prend, avec Avenir Entreprise (Caisse des dépôts) déjà présent, 30 % du capital. L'apport est de 80 millions d'euros, valorisant l'entreprise détenue à 67 % par la famille Grumberg plus de 200 millions d'euros. Ludendo réalise plus de 400 millions d'euros de chiffre d'affaires et ne révèle pas ses profits.

Bataille pour le leadership en France

En revenant en Bourse, Toys'R'Us espère lever jusqu'à 800 millions de dollars, destinés pour l'essentiel à alléger le poids de sa dette de 5 milliards de dollars, dont une large partie arrive à échéance cette année. L'opération symboliserait le redressement de l'enseigne américaine, qui a traversé des difficultés face à la concurrence de supermarchés comme Wal-Mart et à la généralisation d'une pratique de discount sur le marché américain du jouet.

L'an dernier, Toys'R'Us a réalisé un chiffre d'affaires de 13,6 milliards de dollars, en baisse de 1 %, mais son bénéfice net (312 millions d'euros) a bondi de 43 %. La société possède 850 magasins aux États-Unis et 700 dans le reste du monde.

Ces opérations affectant les numéros un et deux du marché français témoignent d'une recomposition en cours du secteur, très dynamique grâce à la multiplicité des enseignes spécialisées. Ce qui a permis de limiter l'emprise des hypermarchés, qui réalisent grosso modo la moitié des ventes de jouets. Ludendo affiche pour ambition de dépasser rapidement son rival américain en France, en doublant le nombre de magasins La Grande ­Récré dans les cinq ans.

«Il y a huit ans, nous étions une entreprise monoenseigne, monopays, commente Jean-Michel ­Grunberg, PDG de Ludendo. Nous avons maintenant plusieurs enseignes complémentaires et avons débuté notre internationalisation en Belgique, en Suisse et en Espagne. D'ici à 2015-2016, nous voulons doubler de taille pour atteindre un milliard d'euros de chiffre d'affaires.»

Les nouveaux actionnaires minoritaires seront prêts à participer à des opérations de croissance externe. «Nous sommes prêts à racheter tout ce qui se présente et, dans notre métier, de nombreux indépendants seront prêts à des opérations de rapprochement amical», souligne Jean-Michel Grunberg. L'un des plus petits acteurs, Fnac Éveil & Jeux, est, comme sa maison-mère filiale du groupe de la famille ­Pinault PPR, à vendre. Mais ce n'est pas le seul.
Par Florentin Collomp

JARDILAND VEUT OUVRIR 100 MAGASINS EN CINQ ANS

Lu sur le site du journal Le Figaro le 29 mai 2010
http://www.lefigaro.fr/societes/2010/05/27/04015-20100527ARTFIG00717-jardiland-veut-ouvrir-100-magasins-en-cinq-ans.php
Jardiland veut ouvrir 100 magasins en cinq ans

Mots clés : jardinerie, Guilhem Porcheron, JARDILAND
Par Alexandre Debouté
28/05/2010 | Mise à jour : 08:44 Réagir
Le chiffre d'affaires des 213 magasins Jardiland a atteint 787 millions d'euros en 2009.

Le leader de la jardinerie souhaite réaliser un milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2012.

«Nous sommes l'Ikea du végétal, le Décathlon de la plante !» Guilhem Porcheron, le directeur général de Jardiland, ne manque pas de verve pour qualifier la réussite du numéro un de la jardinerie, qu'il pilote depuis deux ans. Ses 213 magasins (dont 120 franchisés) ont le vent en poupe : Leur chiffre d'affaires a atteint l'an passé 787 millions d'euros, en hausse de 4,7 % sur un an. Une progression deux fois plus rapide que celle du marché.

L'enseigne, qui vient de lancer son site d'e-commerce, table cette année sur une nouvelle croissance de ses ventes de 5 %, malgré un chiffre stable depuis janvier. Jardiland mise sur son concept marchand, une «promenade végé­tale» qui fait pénétrer les clients dans une serre chaude (l'«effet wahoo» selon Guilhem Porcheron), sous les pépiements des oiseaux de l'animalerie, et les fait ensuite circuler dans un univers centré sur les plantes et leur entretien (équipement, outillage) auquel viennent d'être ajoutées des gammes d'achats plaisir, de la vaisselle pour pique-nique aux bougies en passant par l'alimentaire ou les cabanes de jardin.

«On montre comment faire de son jardin une cinquième pièce à vivre», explique Guilhem Porcheron. Jardiland a validé ses choix, notamment fin février, durant la vague de redoux. L'amélioration de l'expérience client a déjà permis d'augmenter le panier moyen. Guilhem Porcheron souhaite désormais faire passer la rentabilité de ses magasins de 750 euros/m2 par an à 1000 euros.

Expansion internationale

Le travail marketing réalisé sur l'offre se conjugue à l'homogénéisation de l'enseigne. La fusion des deux plus importants franchisés en 2006 et la déclinaison de la marque sous un nouveau petit format, l'esprit Jardiland, doivent permettre de gagner en visibilité. Jardiland ambitionne une centaine de magasins en plus sous sa bannière dans les cinq ans, dont les deux tiers ouverts par d'anciens ou de nouveaux franchisés.

Le groupe veut capitaliser sur son leadership pour les attirer mais aussi pour conquérir de nouveaux clients parmi ceux qui font leurs emplettes dans les grandes surfaces de bricolage (28 % du marché) ou les hypermarchés (21 %).

La franchise à l'international constitue l'autre relais de croissance. Neuf magasins ont déjà ouvert en Espagne, avec un objectif de 20 dans les cinq ans. Dix gros magasins sont aussi visés en Belgique. En 2012, pour ses 30 ans, Jardiland pourrait s'implanter en Italie et approcher le milliard d'euros de chiffre d'affaires.
Par Alexandre Debouté

vendredi 28 mai 2010

POINT SERVICE MOBILES INTENSIFIE SA SRATEGIE DE DEVELOPPEMENT

Lu sur le site du journal Points de Vente le 28 mai 2010
http://www.pointsdevente.fr/point-service-mobiles-intensifie-sa-strategie-de-developpement-art273058-19.html
Point Service Mobiles intensifie sa stratégie de développement

Recrutement intense pour Point Service Mobiles (PSM), la première chaîne dédiée à la réparation immédiate de téléphones mobiles multimarques. Celle-ci cherche en effet de nouveaux adhérents pour renforcer sa présence sur l’ensemble du territoire hexagonal.
Soucieuse d’étendre sa couverture régionale, l’enseigne souhaite principalement étendre son positionnement sur les régions Ouest, Centre et Sud-Ouest. Objectif affiché : trouver plus de 20 nouveaux adhérents d’ici à la fin de l’année.

LE PHARE DE L'EUROPE DEVOILE SA NOUVELLE IDENTITE A BREST

Lu sur le site du journal LSA le 28 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
Le Phare de l'Europe dévoile sa nouvelle identité à Brest
28/05/2010 - par D. B.

Et de seize ! Le centre commercial le Phare de l'Europe, à Brest, est le dernier du patrimoine de Mercialys à s'être métamorphosé au concept l'Esprit voisin. Le 19 mai, les clients ont pu découvrir les 16 nouvelles enseignes du site rénové. Parmi lesquelles Jack&Jones, Vero Moda, Réserve naturelle, Armand Thiery, Chausport, La Mode est à Vous, Morgan, Okaïdi-Obaïbi, Happy, Julien d'Orcel, GrandOptical... qui seront rejointes par H et M en octobre. Soit au total 70 boutiques. Cette nouvelle offre a été créée sur la surface libérée par Castorama (4 000 m²), sans étendre l'ensemble qui jauge 27 000 m² au total. L'Esprit voisin exprime la proximité et la convivialité par un environnement soigné et une ambiance chaleureuse. Accueilli par un portail, des boîtes aux lettres géantes, le chaland brestois retrouve une galerie baignée de lumière, agrémentée d'espaces de repos. Un accès Wifi gratuit est proposé dans des espaces spécifiques. Mercialys a poussé l'implication des « clients voisins » jusqu'à les associer à la recherche du nouveau nom de leur centre. Ainsi le Phare de l'Europe fait à la fois référence au quartier de l'Europe où se situe le site et à l'une des spécialités architecturales de la région !

FEU VERT POUR UN VILLAGE DE MARQUES AUX PORTES DE GENEVE

Lu sur le site de la Tribune de Genève le 28 mai 2010
http://www.tdg.ch/geneve/actu/feu-vert-village-marques-portes-geneve-2010-05-27
Feu vert pour un village de marques aux portes de Genève
FRANCE VOISINE | Quelque 90 magasins d’usines sont prévus à l’entrée de Bellegarde (Ain). Ouverture prévue dans trois ans.

Sophie Roselli | 27.05.2010 | 16:47

La décision est tombée ce matin. La Commission nationale d’aménagement commercial a donné son accord à la construction d’un village de 90 magasins d’usine à Bellegarde. Baptisé «Village des Alpes», cet espace s’étalera sur 15 hectares. Il pourrait accueillir chaque année 2 millions de visiteurs français comme suisses.

Ce centre de marques se dessine après cinq ans de gestation et quelques déconvenues. La nouvelle a donc soulagé les élus de Bellegarde et du Pays de Gex. «Notre bassin de vie est terriblement sinistré depuis des années. Nous subissons régulièrement des fermetures d’usines. Ce projet va apporter une attractivité économique importante», se réjouit l’un de ses initiateurs, Michel de Souza, président de la Communauté de communes du Pays Bellegardien.

Le village de marques représente l’un des plus importants projets économiques de l’Ain, avec la création de 500 emplois directs.

jeudi 27 mai 2010

UN BRICO USINE A LA CARTE

Lu sur le site du journal Points de Vnete le 27 mai 2010
http://www.pointsdevente.fr/distribution/concept.html?view=contenu
Un Brico Usine à la carte

Le groupe Bricorama mise sur un concept inédit en France, le magasin club, qui propose prix bas et carte de membre client.

Un Brico Usine à la carte

Le groupe Bricorama vient de faire sortir de terre un nouveau concept de magasin à bas prix : Brico Usine, à Clermont-Ferrand (63). Cette enseigne affiche des tarifs inférieurs de 15 à 60 % par rapport à ses concurrents et...

BEAUTY SUCCESS SE FAIT PLUS BELLE

Lu sur le site du journal Points de Vente le 27 mai 2010
http://www.pointsdevente.fr/distribution/concept.html?view=contenu
Beauty Success se fait plus belle

L’enseigne de parfumeries sélectives arbore une nouvelle identité visuelle. De quoi gagner en visibilité et en notoriété.

Beauty Success se fait plus belle

De la chrysalide au papillon, Beauty Success entame sa métamorphose, marquant une évolution de l’enseigne qui affiche et affirme ainsi ses partis pris. Proximité, conseils et optimisme sont les points forts de l’entreprise qui les met...

MONCEAU FLERUS EMET DES OBLIGATIONS POUR SE DEVELOPPER

Lu sur le site du journal LSA le 27 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/monceau-fleurs-emet-des-obligations-pour-se-developper,113910
Monceau Fleurs émet des obligations pour se développer
Le 26 mai 2010 par Jean-Baptiste DUVAL
Monceau Fleurs


Le groupe Monceau Fleurs a annoncé le 26 mai l’émission d’un emprunt obligataire d’un montant maximum de 12 millions d’euros d’une durée de 5 ans rémunéré à hauteur de 8% par an à taux fixe, ouvert aux particuliers et aux investisseurs institutionnels du 26 mai 2010 au 25 juin 2010. Le Groupe Monceau Fleurs réalise cette opération obligataire afin de financer la croissance de ses trois enseignes du Groupe, Monceau Fleurs, Happy et Rapid’Flore. Le groupe Monceau Fleurs envisage d’accélérer sa présence tant en France qu’à l’étranger par croissance organique et externe.

BURBERRY EST REPASSE DANS LE VERT EN 2009-2010

Lu sur le site du journal les Echos le 27 mai 2010
http://www.lesechos.fr/info/conso/020563583358-burberry-est-repasse-dans-le-vert-en-2009-2010.htm
Burberry est repassé dans le vert en 2009-2010

[ 26/05/10 - 13H07 - actualisé à 15:28:04 ]
Le groupe britannique va multiplier par deux ses investissements en 2010-2011 pour les porter à 130 millions de livres. 20 à 30 nouvelles boutiques seront ouvertes.
LES ECHOS

Le groupe de luxe Burberry a fait beaucoup mieux que prévu sur son exercice 2009-2010. Alors que les analystes attendaient un résultat imposable avant exceptionnels compris entre 201 et 208 millions de livres sterling, le Britannique a dégagé un profit avant impôts de 215 millions, soit une hausse de 23% au regard des 175 millions de livres dégagés un an auparavant.

De même, le groupe qui avait perdu 6 millions de livres en 2008-2009, après avoir passé une dépréciation d'actifs pour ses magasins espagnols, affiche un bénéfice net annuel de 81 millions de livres. Dans le même temps, le chiffre d'affaires a progressé de 7% à 1,28 milliard de livres.

Après avoir réduit la voilure en Espagne et accru l'offre en produits à forte marge tels les chaussures et les sacs à main, Burberry prévoit d'accroître ses investissements malgré la morosité de la conjoncture économique. Objectif annoncé pour l'exercice 2010-2011 : multiplier par deux les investissements -soit les porter à 130 millions de livres -, ouvrir entre 20 et 30 nouvelles boutiques en Amérique et sur la zone Asie-Pacifique, accélérer les rénovations de magasins et le commerce électronique.

Dans ce contexte, le dividende annuel est porté à 14 pence par action, soit une hausse de 17%.

Les entreprises du luxe profite depuis le dernier trimestre 2009 d'un redressement de leur activité. Prada a publié en début de semaine un résultat opérationnel multiplié par six au titre de son premier trimestre alors que les marques du groupe ont fortement accru leurs ventes dans les pays émergents. Le numéro deux mondial du luxe, le suisse Richemont présente ses résultats annuels le 27 mai

LE PARCOURS SANS FAUTES DE ¨PICARD SURGELES AIGUISE L'APPETIT DES FONDS D'INVESTISSEMENT

Lu sur le site du journal Le Monde le 27 mai 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/26/le-parcours-sans-fautes-de-picard-surgeles-aiguise-l-appetit-des-fonds-d-investissement_1363284_3234.html
Le parcours sans fautes de Picard Surgelés aiguise l'appétit des fonds d'investissement
LEMONDE | 26.05.10 | 15h37 • Mis à jour le 26.05.10 | 15h37


Picard Surgelés serait-il la "tirelire" des fonds d'investissement, comme le dénoncent les syndicats ? Depuis une dizaine d'années, le leader français de vente de produits surgelés n'a cessé de passer entre les mains de ces acteurs financiers.

Après avoir quitté le giron de Carrefour en 2001, Picard a été racheté par un consortium de fonds franco-britanniques mené par Candover, avant de devenir la propriété de BC Partners en 2004. Vendredi 21 mai, ce dernier a officialisé la mise en vente de l'entreprise à... de nouveaux fonds d'investissement. Seraient candidats le français PAI Partners et l'américain Blackstone, pour une valeur estimée autour de 1,5 milliard d'euros.

"La société arrivera-t-elle encore à nourrir ces goinfres ?" s'inquiète Elisabeth Jousselin, déléguée syndicale centrale de Force ouvrière. A chaque fois, le rachat de la société s'est fait via la méthode dite du LBO (leveraged buy-out). Une technique prisée par les fonds qui consiste à utiliser un fort recours à la dette pour financer le rachat de l'entreprise. En 2004, BC Partners a ainsi mis sur la table 1,3 milliard d'euros, dont 70 % étaient empruntés. Au final, ce n'est pas le fonds mais la société elle-même qui rembourse la dette grâce aux profits qu'elle génère.

Jusqu'ici, Picard a été suffisamment rentable pour supporter cette technique et permettre aux fonds d'investissement successifs de faire une culbute financière. A titre d'exemple, le consortium mené par Candover a réalisé, au moment de la revente, fin 2004, une plus-value de plus 300 millions d'euros pour 320 millions investis !

Picard est considéré comme une véritable pépite dans le secteur. Une success story à la française. Rachetée par Armand Decelle au début des années 1970, la société créée par Raymond Picard était initialement spécialisée dans la commercialisation de pains de glace. Mais très vite, M. Decelle réalise le potentiel que représente l'équipement des ménages en congélateurs. Il décide alors de proposer une gamme de produits, allant de l'entrée au dessert, adaptés à ce nouveau mode de conservation. Le "concept Picard" est né. En 1974, la première boutique est ouverte rue de Rome, à Paris.

Depuis, la croissance a toujours été au rendez-vous. Le groupe compte aujourd'hui 820 magasins en France et 30 en Italie, pour un chiffre d'affaires de 1,1 milliard d'euros, multiplié par deux en dix ans. En six ans, sa part de marché est passée de 13 % à 20 %.

Jusqu'ici, Picard a réalisé un parcours presque sans fautes. En 2009, le groupe a encore ouvert 48 magasins, recruté du personnel et maintenu un chiffre d'affaires stable. "Ce serait mentir de dire que la crise ne touche pas la société, mais Picard s'en sort bien et n'a jamais été dans le rouge", souligne Philippe Pauze, son PDG depuis avril 2009. Il affirme que ces résultats permettent d'assurer la distribution d'une partie des bénéfices aux salariés équivalente à deux mois de salaire.

Pour autant, l'appétit des fonds d'investissement semble user peu à peu les équipes. Certains salariés dénoncent la pression exercée par ces actionnaires financiers, soucieux d'améliorer à marche forcée les performances du groupe.

Si personne n'estime justifié que Picard ait figuré un temps dans la liste rouge des entreprises les plus stressantes, érigée en février par Xavier Darcos, le ministre du travail, la plupart notent toutefois que les choses changent. "On ouvre des magasins, on allonge les horaires d'ouverture, mais on ne recrute pas le personnel suffisant. Certains responsables de magasins se retrouvent parfois seuls dans la boutique ! indique Evelyne Figuier, déléguée centrale adjointe FO. On est en train de mettre l'entreprise en péril."

D'autres dénoncent une valse de dirigeants déstabilisante. "En trois ans, j'ai connu cinq responsables régionaux. La stratégie change tous les ans !", note ainsi Olivier Melhem, délégué CGT. En avril 2008, certains ont aussi été choqués par le départ "accéléré" du fils du fondateur, Xavier Decelle, évincé de ses fonctions de direction. Si la famille fondatrice est toujours propriétaire de 15 % à 17 % du groupe, son influence faiblit.

Aux yeux des fonds, Picard doit désormais s'atteler à l'expansion internationale. Après l'Italie, au succès mitigé, Picard pourrait lorgner vers les pays d'Europe du Nord, très friands de produits surgelés.
Claire Gatinois
Article paru dans l'édition du 27.05.10

mercredi 26 mai 2010

FRANCE : LA CONSOMMATION DES MENAGES RETOMBE EN AVRIL

Lu sur le site du journal les Echos le 26 mai 2010
http://www.lesechos.fr/info/france/reuters_00255163-france-la-consommation-des-menages-retombe-en-avril.htm
France : la consommation des ménages retombe en avril

[ 26/05/10 - 08H50 - Reuters ]


PARIS (Reuters) - La consommation des ménages français en produits manufacturés est retombée de 1,2% en avril après son rebond du mois précédent, sous le coup d'une baisse des ventes de voitures, a annoncé l'Insee mercredi.
Vingt économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une diminution de 0,5%.
La hausse de mars, qui faisait suite à deux mois de net recul, a été révisée à +1,6% après avoir été initialement annoncée à 1,2%.
Les dépenses en produits manufacturés représentent environ le quart de la consommation totale des ménages en biens et en services qui, elle, n'est connue qu'avec les chiffres trimestriels des comptes nationaux.
En avril, les achats d'automobiles ont chuté de 9,5%, après déjà une baisse de 11,2% au premier trimestre, indique l'Insee.
Les dépenses en équipement-logement ont également reculé, de 0,3%, tout comme les achats de textile-cuir qui ont baissé de 1,2% après une hausse de 4,4% en mars.
Véronique Tison

LE BOOM DES ACHATS SUR INTERNET VA-T-IL EFFACER LE COMMERCE LOCAL ,

Lu sur le site du journal Le Progrès le 26 mai 2010
http://www.leprogres.fr/fr/region/l-ain/ain/article/3200875/Le-boom-des-achats-sur-Internet-va-t-il-effacer-le-commerce-local.html
Le boom des achats sur Internet va-t-il effacer le commerce local ?


Dans l'Ain comme ailleurs, les magasins d'image, son et électroménager subissent la concurrence des ventes en ligne. Les indépendants souffrent, les géants s'adaptent, les petits installateurs proposent leurs services

Plus de 25 millions de cyber-acheteurs en France au premier trimestre 2010. 17 avril 2010 : liquidation du magasin Digital de Bourg. Cherchez l'erreur.

Le e-commerce n'est pas responsable à lui tout seul de la fermeture de l'ex-Connexion. Mais son impact sur le secteur « image, son, électroménager » est tel qu'il doit bien exister une relation de cause à effet.

Sylvain Limagne, directeur du magasin Cuny à Bourg en est persuadé : « La vente en ligne représente près de 15 % du marché. Pour nous, indépendants, ça devient compliqué. D'autant qu'on doit faire face à la crise et au contexte concurrentiel local. Même si nos clients sont fidèles, certains se sont évadés. Heureusement qu'on fait du service… »

L'indépendant regrette de ne pas pouvoir se battre à armes égales, la première étant le prix.

« Les gens viennent ici pour se renseigner et ensuite achètent sur Internet. Difficile de leur expliquer les avantages qu'ils ont à acheter chez nous : le paiement à la livraison, l'installation, le SAV, la récupération de l'ancien appareil… Ce qui explique que des enseignes ayant pignon sur rue déposent le bilan. Si ça continue, il ne restera que les grands groupes et le web. Il serait bien que les consommateurs grandissent un peu. Comme ceux qui prennent leur pain à Bourg et se plaignent quand le boulanger du village ferme boutique. »

Le e-commerce va-t-il effacer le commerce local ? Plutôt le réinitialiser répond le Boulanger de Beynost, l'hyper, pas l'artisan. « L'avenir est à l'entreprise multicanal : internet et magasin. Celui qui n'a pas cela sort du marché », explique Emmanuel Deschamps, directeur des seize Boulanger de la zone sud-est. « Au début, on s'est fait agresser par les prix des "pure players" (les entreprises qui ne vendent que sur Internet) », reconnait Wilfried Andrieux, le directeur du magasin de Beynost. « Depuis, les écarts se sont réduits et Internet nous a permis de prendre des parts de marché. »

Le géant de la distribution s'est ainsi lancé dans une compétition à couteaux aussi tirés que les prix : réduction des marges, priorité au service, à l'accueil et au confort d'achat. Derrière, les logiciels de www.boulanger.fr tournent jour et nuit pour s'aligner sur les tarifs de la concurrence. Loin de « cannibaliser » les ventes en magasin, le site permet de les préparer. Emmanuel Deschamps : « Avant, le client qui venait acheter un lave-linge faisait confiance au vendeur. Maintenant, il en connaît plus que nous ! Il sait ce qu'il veut. Il a comparé les prix, vérifié la disponibilité… Le métier a changé. À nous de répondre. »

À trois clics du centre commercial, la petite boutique de Technic Depan' se fait discrète au fond d'une place de Saint-Maurice de Beynost. Mais depuis 25 ans, elle ne désemplit pas, insensible aux bruits du net. « La concurrence du e-commerce, on l'a peut-être sentie un peu, à un moment », estime Stéphane Geoffray, l'un des trois tenanciers. « Ce que nos clients cherchent, c'est un service », ajoute son collègue Philippe Allognier.

Les techniciens dépanneurs gèrent tout de A à Z, de la vente à la réparation en passant par la pose, la mise en service ou le réglage. Au hasard, quand il faut installer un lecteur DVD acheté sur le net avec sa notice en chinois.

Ils sont devenus les utilitaires de la cyber-vente, aussi indispensables que le poisson-pilote au grand requin blanc. Le problème, c'est qu'entre les deux, quelques espèces risquent de disparaître.

Marc Dazy
« Pour résister, il faut être soit très grand, soit petit. Entre les deux, c'est plus difficile »

Maurice Poncet,

L'ex-directeur de Digital Bourg envisage de relancer une petite entreprise de service

« J'ai commencé chez Connexion à Bourg en 1986. La technique, la télé, la vidéo... Ça a toujours été mon domaine. Début 2008, Connexion est devenu Digital. Le repreneur trouvait un avantage à changer d'enseigne, mais on a senti la cassure. Un an après, on s'est installé à la Chambière. Un bon emplacement mais c'était trop tard. Le magasin a fermé le 17 avril. Treize licenciements depuis Connexion. Un beau gâchis quand on voit le savoir-faire et l'investissement de toute une équipe.

La concurrence d'Internet, on la sent de plus en plus, je dirais depuis quatre ans.

À une époque, le e-commerce ne concernait que les jeunes. Aujourd'hui, tout le monde achète sur le net. La clientèle cherche le moins cher, mais ce n'est pas le seul aspect. Il y a le côté temps : pas besoin de se déplacer, de faire la queue. Le temps de réponse est immédiat. En un clic, on a l'impression d'avoir son produit, même s'il est livré un mois après !

L'offre est infinie et le consommateur a tous les comparatifs sous les yeux. Il a déjà tout vu avant de rentrer dans le magasin. Ce qui ne l'empêche pas de venir y chercher le conseil et d'achèter sur Internet !

On fait des promos pour être dans le coup. Mais comme on travaille avec peu de marge, il faut du volume. Pour résister, il faut être soit très grand, soit petit. Entre les deux, c'est plus difficile.

Le nerf de la guerre, c'est le service. Les grandes enseignes n'ont pas forcément cette approche client. Avec le e-commerce, elle est ingérable. L'acheteur possède souvent le bon produit au meilleur prix, mais dans 80 % des cas, il est mal installé ou il reste dans le placard. Combien de fois je suis passé le soir pour régler un truc à un particulier ? Quand les gens revenaient à Connexion, ils demandaient : il est où Maurice ?

C'est pour ça que j'essaie de repartir avec une petite équipe, quatre personnes maximum. Vente, service, domotique, intégration, passer les fils... Je reviens à mes premiers amours. Là il y a un créneau. »

Propos recueillis par M. D.

Plus de 25 millions

Le nombre de cyber-acheteurs au premier trimestre en France, chiffre record. 3,5 millions de plus (+ 15 %) que l'an dernier, progression deux fois plus importante que le nombre d'internautes (+ 7 %).

Selon Médiamétrie et la fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) les seniors cliquent déjà à tout-va : + 41 % par rapport à l'an dernier.

Le Top 15

1. ebay (11 194 000 visiteurs uniques). 2. PriceMinister (10 738 000).
3. La Redoute (10 110 000).
4. Amazon (9 295 000).
5. Cdiscount (8 382 000). 6. 3 Suisses (8 231 000).
7. Fnac (8 141 000).
8. Voyages-sncf.com (6 964 000).
9. Carrefour (6 298 000).
10. Vente-privee.com (6 109 000).
11. Pixmania (6 036 000). 12. Rue du commerce (5 137 000).
13. La Maison de Valérie (4 473 000).
14. Spartoo (4 332 000). 15. Brandalley.com (4 029 000).+ 17 %

La progression des consultations sur les sites des grandes enseignes
de la distribution.

Avec près de 6,3 millions de visiteurs uniques, Carrefour arrive largement en tête, suivi d'
Auchan (2,31 millions), Leclerc (1,67 million), Intermarché (1,2 million)et Monoprix (601 000).
> Source : Médiamatrie/Netrating et ITRnews, quotidien des marchés numériques.

samedi 22 mai 2010

SHOPPING LIST A NYC

lu sur le site "we love new york" le 22 mai 2010
Magasins préférées pour une shopping List à NYC

Voici une liste de magasins incontournables à New York, par une bloggeuse de "We love New-York":

Pour les vêtements :

- MACY'S, oh Macy's, je ne me lasserai jamais de toi. Avec ta carte pour les étrangers qui permet d'appliquer une réduction de 10 % supplémentaire sur les articles, c'est le grand rêve ! (Les 10 % ne fonctionnent pas pour certaines cosmétiques, parfums, montres et bijoux).

A MACY'S, il y a toujours des soldes des - 25 % à - 75 % sur des collections en cours.

Le choix est large, quasiment que des marques et créateurs, souvent les mêmes : DKNY, NINE WEST, TAHARI, APPLE BOTTOMS, RALPH LAUREN, TOMMY HILFIGER, AMERICAN RAG, NAUTICA, JESSICA SIMPSON, GUESS, MARC JACOBS, ROCA WEAR, SEAN JOHN, ECKO, LEVI'S, LUCKY BRAND ..... Ce sont les noms qui reviennent souvent !

- CENTURY 21 : le top du top pour les vêtements de créateurs à prix discount !

Trop de bonnes affaires, pas spécialement des collections passées. Par exemple, j'avais vu un sac LUCKY BRAND à CENTURY 21 à 75 % moins cher que chez MACY'S. C'est pourtant une collection en cours. Le sac était impeccable. Si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi c'est moins cher ......

- ABERCROMBIE & FITCH et HOLLISTER pour le fun, je préfère HOLLISTER maintenant car trop de personnes portent déjà la marque à Paris. Et je déteste ça ! HOLLISTER, je trouve est excellent en terme de qualité, même peut être identique à ABERCROMBIE, dans le même style et beaucoup moins cher.

N'oubliez pas de prendre la photo avec le mannequin de l'entrée.

- FOREVER 21 de la 34th Street : pour les petits prix et les vêtements proposées, so fashion ! Beaucoup de vêtements imprimés fleuri 100 % Liberty sont proposés actuellement. On a envie de tout prendre.

- AMERICAN EAGLE OUTFITTER Times Square : le mieux pour moi est d'aller à Times Square. Le magasin est grand, beaucoup de choix et de promotions. Un tee-shirt acheté, l'autre à moitié prix. Ou pareil pour les chaussures. AMERICAN EAGLE, je trouve, propose beaucoup de vêtements confortables, et de qualité. Les prix sont plus élevés pour les jeans.

- LEVI'S Times Square : pleins de réducs aussi et un personnel chaleureux.

- URBAN OUTFITTERS : celui, près du bar à Smoothie LIQUETERIA, pas loin d'UNION Square.

J'ai été pour la première fois lors de ce nouveau voyage à NYC. Pas déçue du tout, les prix sont néanmoins plus élevés. J'aime bien le concept du magasin pour la présentation des articles. On dirait un loft aménagé. Pleins d'articles soldés dans l'étage du bas.

Pour les cosmétiques :

- COSMETIC WAREHOUSE pour les produits de beautés REVLON

- DUANE READE pour les vernis (OPI ça cartonne en ce moment), mascaras, soins pour cheveux black.

- RICKY'S : tout, tout et tout !

Pour les souvenirs en tout genre :

- FAO SCHWARTZ : y aller pour l'ouverture du magasin, c'est excellent vous êtes accueilli par tout le personnel avec des applaudissements ! Du show à l'américaine. Le paradis des enfants pour un souvenir de NYC : Piano géant, maison de poupée,

espace Barbie, ....

- MACY'S espace Gifts

- Petites boutiques sur Times Square

Pour les sous-vêtements :

- L'espace lingerie de CENTURY 21 : J'adore les soutiens gorges CALVIN KLEIN et DKNY à petits prix !

- VICTORIA SECRET de la 34th Street

Pour les chaussures :

- STEVE MADDEN pour le rapport qualité/prix et les modèles proposés

- CENTURY 21

- SHOE'S MANIA



Conseil : Bien faire votre liste de choses à ramener pour ne pas perdre de temps et d'argent. On marche beaucoup à NYC, et le temps passe très vite, vous ne pourrez donc pas retourner plusieurs fois au même magasin.

Attendez vous à faire de très bonnes affaires autant pour les femmes que pour les hommes ! Partez donc léger.

vendredi 21 mai 2010

AU JAPON, LES 15-35 ANS NE CONTRIBUENT PLUS A LA CROISSANCE

Lu sur le site du journal Le Monde le 21 mai 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/20/au-japon-les-15-35-ans-ne-contribuent-plus-a-la-croissance_1360441_3234.html
Au Japon, les 15-35 ans ne contribuent plus à la croissance
LEMONDE | 20.05.10 | 15h24 • Mis à jour le 20.05.10 | 15h24

Le PIB du Japon a enregistré une hausse de 4,9% au premier trimestre.

Tokyo

Les jeunes Japonais ont-ils beaucoup contribué à la hausse de 0,3 % de la consommation des ménages au premier trimestre 2010 ? Rien n'est moins sûr, même si le gouvernement ne semble guère s'en soucier.

De fait, avec des exportations en progrès de 6,9 %, la bonne tenue générale de cette consommation a favorisé la hausse du produit intérieur brut (PIB) de 1,2 % (4,9 % en glissement annuel) entre janvier et mars, et permis au Japon d'afficher quatre trimestres consécutifs de croissance. De quoi faire dire au ministre des finances nippon, Naoto Kan, que la tendance devrait se poursuivre grâce au rebond des investissements des entreprises et à la reprise au niveau mondial.

Ces statistiques ne sauraient occulter l'évolution de la consommation des jeunes vers la prudence et l'épargne. Les 15-35 ans, qui représentent 22,8 % de la population, ont vu leur contribution à la consommation passer de 18,6 % en 2000, à 15,5 % en 2009. En cause, la baisse régulière des salaires, la dégradation de l'emploi et sa précarisation, dont ils sont les premières victimes.

Le taux de chômage des 15-35 ans évolue autour de 7 %, contre 5 % pour l'ensemble de la population. Dans ces conditions, ils ne sont plus preneurs de ces appareils électroniques grand public ou de ces voitures, dont les ventes, soutenues par d'importantes mesures de relance, tirent les résultats des entreprises vers le haut et maintiennent l'économie japonaise à flot.

Eux ont toujours connu le Japon en crise et n'ont qu'un espoir limité. Ils suivent une tendance plus intime, qui donne lieu à une abondante littérature. L'analyste Taku Yamaoka résume ainsi ce phénomène dans son ouvrage Les jeunes qui ne veulent pas (ed. Nikkei) : "Ils adoptent un mode de vie tranquille et pacifique." Et l'auteur de noter leur désintérêt pour les produits de luxe. Une impression confirmée à la lecture du livre Les jeunes ne sont pas bons face au hasard (ed. Akishobo), de l'expert en communication Hidehiko Sekizawa, qui souligne leur aspiration à un quotidien stable et leur attachement aux habitudes, voire aux traditions.

Ces comportements se traduisent par un souci de faire des économies, de limiter les voyages, de se concentrer sur le cercle d'amis et de s'assurer un confort personnel peu onéreux. Cela explique le succès de la colocation et des marques de vêtements d'intérieur comme Gelatopique, ou d'enseignes comme le géant américain Forever 21, symbole de la "fast-fashion", des produits à bas prix pour une consommation à fréquence élevée.

Cette tendance n'exclut pas le désir de personnalisation, preuve que le souci de la mode n'a pas quitté l'Archipel. Mais au lieu d'accumuler les marques, les jeunes Japonais préfèrent faire les choses par eux-mêmes. "J'ai trouvé un tricot à rayures chez Uniqlo, explique une jeune femme. Puis je suis allée chez Yuzawaya pour acheter des brillants à fixer dessus."

Yuzawaya est une enseigne de mercerie et de bricolage créée en 1955, qui connaît un grand succès depuis l'ouverture, en 2009 et 2010, de trois points de vente dans les quartiers à la mode de Tokyo ; à Ginza, Shinjuku et Shibuya. Le groupe profite de "la tendance du "faire soi-même", explique Yoshio Funato, manager général chez Yuzawaya, qui caractérise cette période de crise".

Son succès est à rapprocher de celui des magasins de fast-fashion. "Ils produisent en grandes quantités des vêtements aux formes simples, ajoute M. Funato. Les acheteurs ne veulent pas être habillés comme les autres. Alors ils personnalisent."

La proximité des boutiques Yuzawaya avec celles de marques de vêtements bon marché, Uniqlo notamment, facilite l'expression de cette mode, qui commencerait à gagner des personnes plus âgées. Ces jeunes expriment également leur besoin de différenciation par un intérêt pour les produits uniques, qui les amène à fréquenter les salons artistiques, les musées et à s'intéresser aux réalisations artisanales. Là, ils s'autorisent des achats plus onéreux. Mais cela reste exceptionnel.
Philippe Mesmer
Article paru dans l'édition du 21.05.10

jeudi 20 mai 2010

329 GIFI

Lu sur le site du journal LSA le 20 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
329
20/05/2010

Le nombre de magasins GiFi au 31 mars 2010, soit 499 092 m2 (dont 27 points de vente en concession d'enseigne). GiFi compte 292 magasins en France, avec 8 ouvertures au premier semestre de son exercice à Bailleul (59), Fumel-Montayral (47), Lesneven (29), Loudéac (22), Paimpol (22), Raismes-Valenciennes (59), Vitry-sur-Seine (94) et Marseille Jeanne-d'Arc en concession (13).

GARDEN PRICE SE DÉVELOPPE EN LIGNE ET EN MAGASINS

Lu sur le site du journal LSA le 20 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
GARDEN PRICE SE DÉVELOPPE EN LIGNE ET EN MAGASINS
20/05/2010 - par C. J.-N.

Il y avait les magasins Garden Price, voici le site marchand (www.gardenprice.com). Ce site s'inscrit dans le développement logique de cette société indépendante créée en 2006 par Benoît Combes et Antoine de Courcel, deux anciens de Vilmorin. Quatre ans après, ce réseau, qui vise les amateurs de plantes prêts à sacrifier le choix, le conseil et la présentation, en contrepartie de prix moins chers qu'ailleurs, compte 5 jardineries - 1 000 à 1 500 m2 de surface, 5 000 références. Selon une enquête en avril 2010 par Easy Panel, 96 % des adeptes du jardinage seraient disposés à franchir les portes d'une jardinerie discount. La jeune société, qui réalise un chiffre d'affaires d'environ 6 M E, prévoit d'ouvrir d'autres Garden Price au rythme de trois par an en Île-de-France, où sont ses magasins, et dans d'autres régions. En se basant sur des secteurs (alimentaire, bricolage...) où le hard-discount pèse jusqu'à 20 % des ventes, les fondateurs estiment que des dizaines de Garden Price pourraient naître dans les prochaines années.

VET'AFFAIRES INAUGURE SON NOUVEAU CONCEPT LE 19 MAI PROCHAIN

Lu sur le site du journal La Provence le 20 mai 2010
http://www.laprovence.com/article/mode/vet-affaires-inaugure-son-nouveau-concept-le-19-mai-prochain-le-courrier-de-la-mode
Vêt' Affaires inaugure son nouveau concept le 19 mai prochain : le courrier de la mode



Publié le dimanche 16 mai 2010 à 19H00
Vêt'Affaires inaugure un nouveau concept de magasin pour améliorer le confort d'achat de ses clients

Vêt'Affaires inaugure un nouveau concept de magasin pour améliorer le confort d'achat de ses clients

Vêt' Affaires



Vêt' Affaires inaugure son nouveau concept le 19 mai prochain
L'enseigne de textile hard discount Vêt' Affaires propose un nouveau concept de magasin pour améliorer le confort d'achat des consommateurs. Au programme, des allées beaucoup plus larges pour permettre aux acheteurs d'identifier les produits, des rayons plus démarqués et mieux rangés, des vêtements exposés sur des mannequins et des cabines d'essayage confortables pour essayer chaque modèle. L'inauguration de ce nouveau concept aura lieu, le 19 mai prochain, en présence d'Adriana Karembeu et de la Croix-Rouge française qui recevront un chèque de 75.000 euros de la part de l'enseigne pour sceller leur partenariat. Vêt'Affaires propose quelque 2.000 références pour bébé, enfant, femme et homme à un prix moyen de 3,80 euros.

LES VENTES D'ATICLES D'HABILLEMENT ET DE TEXTILE PREOGRESSENT DE 4 % EN AVRIL

Lu sur le site du journal La Provence le 20 mai 2010
http://www.laprovence.com/article/mode/les-ventes-darticles-dhabillement-et-de-textile-progressent-de-4-en-avril
Les ventes d'articles d'habillement et de textile progressent de 4% en avril

Publié le mercredi 19 mai 2010 à 21H00

Elena Elisseeva

Les ventes d'articles d'habillement et de textile ont augmenté de 4% en valeur en avril 2010, selon les résultats provisoires communiqués par l'Institut Français de la Mode (IFM) ce mercredi 19 mai. Les indépendants multimarques et les magasins populaires ont particulièrement profité de cette embellie (+7%). Néanmoins, les grands magasins et l'ensemble des chaines ont vu leurs ventes augmenter respectivement de 5% et de 3% en avril.

Par rayon, les progressions les plus fortes ont été enregistrées par l'habillement enfant (+17%), devant les petites pièces homme (+8%), la lingerie et chaussants femme (+6%), le prêt-à-porter femme (+6%) et les sous-vêtements et chaussants homme (+5%).

"De nombreux détaillants font état d'une première quinzaine de mai plutôt calme. La météo capricieuse et l'environnement économique difficile ont pesé sur les ventes. Le solde d'opinions sur la tenue des ventes s'améliore légèrement, demeurant à un niveau négatif", indique Charles Tillard-Tête, chargé d'études statistiques à l'IFM.

mercredi 19 mai 2010

KFC TENTE DE BOUSCULER LE MARCHE FRANCAIS DU FAST-FOOD

Lu sur le site du journal Le Monde le 19 mai 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/18/kfc-tente-de-bousculer-le-marche-francais-du-fast-food_1353387_3234.html
KFC tente de bousculer le marché français du fast-food
LEMONDE | 18.05.10 | 15h30 • Mis à jour le 18.05.10 | 15h30
FlickR / Terry Wha
La chaîne KFC compte 16 000 restaurants dans le monde. L'entreprise veut développer un réseau de 300 établissements en France d'ici 2015 (contre une centaine actuellement).

Après McDonald's, la France est en passe de devenir la terre d'élection d'un autre géant américain du fast-food. Discrète depuis ses premières implantations en 1991, la chaîne Kentucky Fried Chicken (KFC) a inauguré, début mai, son centième restaurant, à Meaux (Seine-et-Marne). "Nous avons mis dix ans pour atteindre ce seuil, mais il nous faudra moins de temps pour créer 100 autres restaurants", assure Ivan Schofield, PDG de KFC-France.



Historique La société américaine Kentucky Fried Chicken (KFC), basée à Louisville (Kentucky), a été fondée en 1952. Elle est rachetée par Pepsico en 1986. En 1997, cette entreprise se sépare de sa branche restauration qui donnera naissance au groupe Yum !. Ce dernier pèse 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires (8 milliards d'euros) et possède, outre KFC, les enseignes Pizza Hut, Taco Bell ou Long John Silver's.

Restaurants et effectifs Kentucky Fried Chicken compte aujourd'hui 16 000 restaurants dans le monde. En France, leur nombre est passé de 57 en 2007 à 102 aujourd'hui - Ils emploient 4 500 salariés.
Sur le même sujet
Des salariés de KFC sans-papiers occupent un restaurant du groupe pour protester contre leur licenciement, lundi 23 mars 2009, à Paris.
Portfolio Licenciés, les salariés sans papiers de KFC occupent un restaurant
Eclairage Fast-food : quand les Français réinventent leur pause déjeuner
Les faits Les hamburgers halal de Quick passent mal

L'entreprise a prévu de doubler la mise d'ici 2013 et envisage de disposer d'un réseau de 300 établissements en 2015. A raison de quarante à cinquante salariés par point de vente, ce programme permettrait, en principe, de créer de 8 000 à 10 000 emplois en cinq ans. "Le marché français de la restauration rapide est très structuré ; on y compte peu de concurrents, les consommateurs réagissent bien aux innovations et le ticket moyen y est plus élevé qu'ailleurs", observe M. Schofield.

KFC, qui compte 16 000 restaurants dans le monde, propose, à prix serrés, des hamburgers et autres morceaux de poulet frits, le plus souvent roulés dans la chapelure, que l'on mange avec les doigts. Cette enseigne bon marché qui s'efforce de capter une clientèle familiale poursuit un important programme de développement en Chine, où elle compte 3 000 points de vente, ainsi qu'en Inde où l'objectif est d'atteindre sous peu le millier de restaurants.

ARBITRAGE DU CONSOMMATEUR

Aux Etats-Unis, Kentucky Fried Chicken - filiale du groupe Yum (Pizza Hut, Taco Bell) - est réputée pour être appréciée par les minorités ethniques. "En France, on retrouve un peu la même situation ; KFC s'est taillé un certain succès parmi une clientèle originaire d'Afrique - où le poulet est une denrée bien ancrée dans les habitudes de consommation - y compris ceux du Maghreb qui savent que la viande vendue par KFC est halal", souligne Thierry Poupard, consultant en marketing pour la restauration rapide.

Alors que Quick a décidé de proposer "à titre expérimental" des burgers halal dans huit de ses établissements - un "test" qui fera l'objet d'un bilan à la fin de l'été, indique la chaîne -, KFC assure "ne pas vouloir en faire un argument commercial". Ce choix, soulignent ses dirigeants, est lié au fait que les principaux fournisseurs - français - de l'entreprise ont décidé de "produire exclusivement du poulet halal compte tenu du business important qu'ils effectuent avec le Moyen-Orient".

Chez KFC, cette spécificité reste de l'ordre de l'implicite. Elle ne figure pas sur les menus affichés dans les restaurants qui, toutefois, disent tenir à la disposition du public les documents certifiant l'origine halal des produits.

L'offensive engagée par KFC ne semble guère inquiéter McDonald's (1 161 établissements) et Quick (360), qui se partagent un secteur qui ne cesse de gagner du terrain sous l'effet de la crise et dont ils s'efforcent de changer l'image en jouant la carte "éco responsable". Ainsi, McDo a troqué le rouge pour le vert dans son code couleur et Quick prévoit de lancer un hamburger "100 % bio " en septembre.

Evalué à 4,5 milliards d'euros, le marché français du "hamburger restaurant" a progressé de 6 % en 2009 alors que l'ensemble de la restauration faisait du surplace malgré la baisse de la TVA. "Même si le rythme d'ouverture de nouvelles implantations s'est ralenti, il existe manifestement d'importantes marges de progression", assure M. Poupard.

"Les effets de la crise sont indéniables mais ils agissent comme l'accélérateur d'un mouvement plus profond qui voit le public privilégier le rapport qualité-prix, chercher une façon plus économique de se nourrir", estime pour sa part Jacques-Edouard Charret, président du directoire de Quick. Cet arbitrage du consommateur ne profite pas seulement à la culture du hamburger, introduit en France il y a trente ans par McDonald's. Il contribue également à la bonne tenue du traditionnel sandwich "à la française".
Jean-Michel Normand
Article paru dans l'édition du 19.05.10

MEILLEURMOBILE HAPPYPHONE

Lu sur le site Francemobiles.com le 19 mai 2010
Le distributeur online " Meilleurmobile.com " et les magasins " Happy Phone " viennent de créer une enseigne commune : " Meilleurmobile Happy Phone ".


A l'heure actuelle, seules 5 enseignes de Happy Phone ont été remplacé par celle de meilleurmobile Happy Phone. La nouvelle société a annoncé que 30 magasins seront bientôt ouverts en région Parisienne.

Afin d'imposer la marque " Meilleurmobile Happy Phone ", la nouvelle entité a pour objectif de créer un réseau national de 150 magasins d'ici 18 mois sous l'enseigne " Meilleurmobile Happy Phone " en fédérant des magasins indépendants dans les régions Françaises.

Meilleurmobile Happy Phone va également lancer plusieurs campagnes de publicité, et compte obtenir des tarifs préférentiels auprès des grossistes et des fabricants de téléphonie mobile grâce à des achats groupés.

D'autre part, il faut savoir cette nouvelle société a réussi à recevoir l'agrément d'Apple pour commercialiser l'iPhone sur le site internet et dans les magasins sous enseigne " Meilleurmobile Happy Phone ".

L'ACTION ABERCROMBIE & FITCH

Lu dans un article sur le site du journal Le Figaro le 19 mai 2010
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20100518.REU9298/wall-street-termine-en-net-recul-avec-les-valeurs-financieres.html
L'action Abercrombie & Fitch a perdu 5,89% à 38,38 dollars après avoir annoncé sa décision de revoir à la baisse ses projets d'ouverture de magasins à l'étranger cette année, zone où la chaîne de magasins de vêtements pour jeunes dispose pourtant du meilleur potentiel de croissance.

H & M : MOINS DE VENTE QUE PREVU

Lu sue le site du journal Le Figaro le 18 mai 2010
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2010/05/17/97002-20100517FILWWW00385-hm-moins-de-ventes-que-prevu.php
H&M: moins de ventes que prévu
Reuters
17/05/2010 | Mise à jour : 09:29 Réagir
Hennes & Mauritz, le groupe suédois propriétaire de la chaîne d'habillement H&M, a fait état lundi une baisse plus marquée que prévu de ses ventes à magasins comparables du mois d'avril, une annonce qui fait baisser le titre.
Ces dernières ont ainsi reculé de 6% en le mois dernier, tandis que les ventes totales ont augmenté de 4%.
Les analystes attendaient en moyenne une baisse de 4,5% des ventes dans les magasins ouverts depuis plus d'un exercice fiscal et une hausse de 6,1% de l'ensemble des ventes.
Vers 7h15 GMT, l'action H&M perdait 0,9% à 438,50 couronnes.

lundi 17 mai 2010

PROPOSITION DE LOI RELATIVE A L’ URBANISME COMMERCIAL

Lu sur le site afac@ [afac-formation.com afac@afac-formation.com]le 17 mai 2010
PROPOSITION DE LOI RELATIVE A L’ URBANISME COMMERCIAL – ENREGISTREE A LA PRESIDENCE DE L’ASSEMBLEE NATIONALE LE 3 MAI 2010 – DEVANT VENIR VRAISEMBLABLEMENT EN PREMIERE LECTURE A L’ASSEMBLEE NATIONALE LORS DE LA SEANCE DU 15 JUIN 2010 – PROPOSITION DE LOI DITE « LOI OLLIER ».
Dans le cadre de cette proposition de loi déposée à l’assemblée nationale par Monsieur Patrick OLLIER qui a pris la suite de Monsieur Jean Paul CHARIE, celui-ci dans son exposé des motifs considère que les lois Royer de 1973 et Raffarin de 1996 n’ont pas empêchés l’urbanisme commercial de se développer dans le sens d’une véritable anarchie, qui a eu comme conséquences de restreindre la concurrence de désertifier les centres villes et d’enlaidir les faubourgs par la création de « métastases péri urbaines »
La LME a rapidement montré certaines imperfections et des limites propres à continuer de favoriser le développement des zones à pré dominance commerciale situées à la périphérie des villes au détriment des zones de centralité.
La finalité de cette proposition de loi est d’intégrer l’urbanisme commercial dans l’urbanisme de droit commun, comme cela avait d’ailleurs déjà été précisé comme un engagement du gouvernement lors du vote de la LME au Sénat.
Ce texte prévoit l’intégration des autorisations d’urbanisme commercial aux SCOT.
Le SCOT devra prescrire les règles d’implantation des commerces en centre ville ainsi qu’aux alentours.
Elles seront ensuite déclinées sur le plan local d’urbanisme ou sur le plan intercommunal.
En l’absence de SCOT on se replierait sur l’intercommunalité et en l’absence d’intercommunalité, le texte prévoit la création d’une commission régionale d’aménagement commercial dite « CRAC ». Cette commission composée d’élus qui dans tous les cas même en recours resteront majoritaires serait compétente pour autoriser les projets de commerce d’une surface supérieure à 500 mètres carrés.
L’article 5 de cette proposition de loi supprime les CDAC et les CNAC ainsi que les observatoires départementaux d’équipement commercial abrogeant ainsi le chapitre 1er du titre V du livre VII, du code de commerce.
En contrepartie, il créée un observatoire régional d’équipement commercial chargé, par le biais des informations qu’il collecte d’avoir une parfaite connaissance des installations existantes et d’assurer ainsi la cohérence de la couverture du territoire en termes d’équipements commerciaux.
Il convient sur ce point de rappeler que Patrick OLLIER rapporteur de la suite de la mise en application de la loi LME avait regretté qu’il n’existe à ce jour aucun organisme permettant de recenser les différentes créations d’équipements commerciaux.
Les articles 6 et 7 de cette proposition de loi sont relatifs aux dispositions transitoires.
Enfin, l’article 9 précise dans un souci de sécurité juridique que toute demande d’autorisation d’exploitation commerciale effectuée avant l’entrée en vigueur de cette future nouvelle loi reste soumise aux dispositions actuelles.
Il convient également ici de noter que plusieurs mesures votées actuellement dans le grenelle 2 vont tout de même avoir une incidence sur les nouvelles demandes d’urbanisme commercial.

INNOVER DANS LES MODES DE DISTRIBUTION CE N'EST PAS TOUT, IL FAUT VENDRE:

Lu sur le site Curiosités Stratégiques le 17 mai 2010http://curiosites-strat.blogspot.com/2010/05/cest-pas-tout-il-faut-vendre-partie-4.htmldimanche 16 mai 2010
C’est pas tout, il faut vendre ! (Partie 4 : Innover dans les modes de distribution)
Dans un mode hyperconcurrentiel, en réponse à des attentes clients qui évoluent radicalement, les modes de distribution sont un levier majeur de différenciation. Au-delà de l’expérience que l’on fait vivre au client à travers le canal de vente, sujet que nous n’aborderons pas ici, les modes même de distribution sont la source d’innovations potentielles importantes.

Deux approches les magasins éphémères et la distribution automatique peuvent être pertinents dans des contextes particuliers. Quant à l’intégration des canaux pour créer une proximité multicanal sans couture, elle m’apparaît comme une tendance de fond à laquelle toute entreprise devrait réfléchir.

1. Les magasins éphémères

Qu’on les nomme « pop-up stores », « magasins éphémères » ou « guerilla stores », depuis quelques années, ce format de distribution se multiplie. L’idée est de créer des points de vente à durée de vie limitée, de quelques jours à quelques mois. De nombreuses marques se sont lancées, tour d’horizon.

- Un modèle d’affaires
Chronostock a fait son modèle d’affaire de l’ouverture et de l’exploitation de magasins éphémères dans le domaine du petit électroménager et des instruments de cuisine. Cela la met en concurrence directe avec les sites de vente flash sur Internet.
L’enseigne investit un espace libre, par exemple une crèche désaffectée, et pendant quelques mois écoule son stock à prix cassés : 20% à 40% moins cher que dans le commerce traditionnel.
Dans une entrevue à Intermédia, l’un des deux fondateurs, Edouard de Jandin explique très clairement le modèle d’affaires : « Cela coûte très cher d'émerger en ligne. Et la logistique est également coûteuse. Alors qu'ici le client repart avec son produit. On loue simplement un entrepôt pour stocker le matériel qu'on achète. Et il n'y a pas de réassort. Quand le produit est épuisé, c'est fini. En réduisant les coûts au maximum, on propose des prix plus compétitifs que sur internet. »
Pour annoncer l’ouverture de ses magasins temporaires, Chronostock organise des jeux de piste sur Internet.

Chronostock est une exception. A première vue (et je peux me tromper) peu d’entreprise choisissent ce modèle d’affaires. Pour la plupart des marques les magasins éphémères sont des canaux complémentaires utilisés pour des occasions particulières.

- Une réponse à la saisonnalité des ventes
L’ouverture de magasins éphémères peut être une solution pertinente pour répondre à une forte saisonnalité des ventes. On pourrait ainsi imaginer des magasins qui ouvrent dans les stations de ski en hiver et sur les plages en été distribuant des marques (nombreuses) s’adressant à ces deux marchés. Ainsi Toys'R'Us ouvre 80 points de vente éphémères aux Etats-Unis au moment de Noël. Une première expérience a été menée en France dans un centre commercial de Seine-et-Marne.

- Une plateforme pour lancer un nouveau produit
La création d’une boutique éphémère est un bon moyen de créer du bruit autour du lancement d’un produit et de créer un cercle d’ambassadeurs autour de lui, tout en recueillant leurs commentaires. Les exemples sont multiples.
Pour lancer son Cube, Nissan a créé à Paris du 26 novembre au 31 décembre 2009 son Cube Store. Pour y entrer, il fallait avoir été coopté ou postuler sur Internet. A l’intérieur : la vente de produits japonais ainsi que des événements qui plongeaient le visiteur dans l’univers du produit.
Pour le lancement de Windows 7, un café design accueillait à Paris les impatients qui souhaitaient tester le nouveau système d’exploitation.
Procter et Gamble décline le concept pour plusieurs de ses marques. Clearblue a créé un lieu éphémère intimiste pour profiter de la Saint-Valentin et lancer son nouveau test de grossesse. Durée : 2 jours. Oral-B, spécialiste des brosses à dents électriques, ouvre pour la troisième année consécutive dans le quartier chic de paris : au 131 rue du Faubourg-Saint-Honoré, pour l'utilisation son bar éphémère axé sur la beauté. Karine Pinon, responsable des relations extérieures des produits santé et bien-être de Procter & Gamble, explique très bien l’utilité de cette opération dans le marketing de la marque : « Pour lever les freins à l'utilisation d'une brosse à dents électrique, il faut la faire essayer, donner des conseils et en dédramatiser l'usage en instaurant une atmosphère de bien-être. La personne fréquentant l'Oral-bar est un consommateur gagné qui parlera positivement de ce qu'il a vécu » (source : un article du journal Les Echos).
Les clientèles visées sont parfois étonnantes. Ainsi Meow Mix, une marque américaine d’aliments pour animaux, avait ouvert à la rentrée un bar pour chats en plein Manhattan. Ils pouvaient là goûter les nouvelles saveurs de les croquettes Hairball. Un concours identifiant le meilleur miauleur était aussi organisé.

- Un moyen de préparer l’ouverture d’un magasin
Un magasin éphémère peut aussi permettre de préparer le terrain avant une ouverture définitive. Deux exemples. L’enseigne japonaise de vêtements Uniqlo a présenté ses produits phares dans un petit local du Marais, avant l'installation de son premier magasin parisien. La Maison du Whisky a créé un espace thématique (calvados et cidre après les whiskies japonais) au carrefour de l'Odéon en attendant l'ouverture d'une boutique permanente de spiritueux.

- Une occasion de célébrer un événement
Pour fêter ses 50 ans Ferrero avait ouvert une espace éphémère retraçant son histoire et commercialisant en avant-première une édition limitée de produits estampillés « 50 ans », et proposant des animations ludiques, comme un atelier de recettes basées sur les produits du groupe.
Pendant l’été 2008, Nike a célébré les jeux Olympiques de Pékin dans des espaces éphémères ouverts dans sept villes. Le succès reposait sur la combinaison d’un lieu d’exception (à Paris, une péniche sur la Seine), d’une présentation très sélective de produits avec des bornes interactives et une série d’événements (visites d’athlètes et de personnalités).

- Organiser l’éphémère, un nouveau métier pour les agences de marketing
L’organisation de l’éphémère est compliquée : au niveau juridique, logistique, publicité, aménagement et décoration. Des agences se spécialisent dans ce créneau à la mode. Deux exemples en France.
L’agence My Pop Up Store « monte pour [une] marque une opération de magasin éphémère sur mesure et clé en main ». Pour ce faire, elle s’est dotée d’une agence immobilière.
Plusieurs agences se sont spécialisées dans l’organisation de ces opérations éphémères. Le modèle de l’agence Waf est intéressant. Elle a créé un espace nommé l’atelier dans une ancienne imprimerie située face au Centre Pompidou. Tous les mois, les produits présentés changent. Waf accompagne les marques dans la création de ces espaces éphémères. Facture annoncée par le magasine Capital : entre 35000 à 50000 euros, selon les options retenues par le client.

2. La distribution automatique

Les machines distributrices se multiplient. Boissons, sandwiches, revues, sextoys, de plus en plus de produits adoptent ce format en réponse à la mobilité des consommateurs et à leurs horaires de consommation atypiques. Pensons par exemple aux distributeurs automatiques de maillots et de bonnets de bain dans les piscines.
En France Petit Casino 24 est l’enseigne de référence dans le domaine. Ses 47 épiceries automatiques proposent 200 références dans des emplacements à fort trafic. Elles réalisent en moyenne 100 000 euros par an en vendant pour 30% des sodas, 30% des sandwiches et 20% des produits laitiers (chiffres de 2007).

Ce format peut-il être utile pour d’autres produits ? Pourquoi pas. Si vous vendez des produits qui peuvent être de première nécessité et qu’il existe un espace où votre clientèle est concentrée (idéalement avec des horaires atypiques) comme une piscine, une entreprise, ou une salle de spectacle.

3. L’intégration des canaux : la proximité multicanal sans couture

A mon avis, au-delà des concepts comme les magasins éphémères ou la distribution automatique qui ont des usages spécifiques, le principal axe d’innovation de fond est l’intégration des canaux de distribution pour créer une proximité multicanal sans couture.

L’enjeu est de permettre aux clients d’accéder au niveau de service souhaité au moment où ils le veulent et par le canal qui est le plus pratique.
Des innovations technologiques sont utiles : vidéoconférence, click-and-call, etc. Mais au-delà créer une approche multicanal intégrée est un enjeu majeur en ce qui concerne le système d’information, les modes d’organisation (beaucoup plus transversaux) et les réflexes culturels (par exemple imposer l’idée que le client n’appartient à personne et qu’on peut partager un client) conditionnés par des pratiques organisationnelles (comme la fixation des objectifs individuels de vente par exemple).

Réussir la proximité multicanal sans couture nécessite donc une transformation organisationnelle complexe et coûteuse. C’est pourtant un incontournable. En effet de nouveaux acteurs profitent des espaces nouveaux créés par les technologies pour se faufiler et grapiller des parts de marchés aux acteurs installés.
Publié par Jean-François Rougès à l'adresse 09:02

LES MAGASINS BIO EN PERTE DE VITESSE

Lu sur le site du journal Le Parisien le 17 mai 2010
http://www.leparisien.fr/societe/les-magasins-bio-en-perte-de-vitesse-17-05-2010-924702.php
Zoom
TENDANCE.
Les magasins bio en perte de vitesse
Les boutiques bio connaissent une baisse de leur chiffre d’affaires. La faute à la crise mais aussi à l’offre proposée par les supermarchés. Les consommateurs se tournent aussi directement vers les producteurs.

La crise et ses conséquences sur le pouvoir d’achat auraient-elles franchi les portes des magasins bio? Depuis plusieurs mois, à l’image du réseau Biocoop, les boutiques spécialisées en distribution de produits biologiques connaissent un net tassement d’activité. Habitués depuis plusieurs années à surfer sur une croissance exceptionnelle, certains magasins font face pour la première fois à une évolution négative de leur chiffre d’affaires.
« Ça nous tire depuis six mois. La chute est de l’ordre de – 1 à – 5% et se traduit surtout par une baisse du panier moyen de nos clients », constate Claude Colin, la directrice de la Coopérative d’alimentation biologique d’Anjou (Caba) qui chapeaute trois boutiques Biocoop de l’agglomération d’Angers. « La crise, qui nous avait épargnés ces deux dernières années, nous rattrape. Depuis janvier, nous constatons une régression de l’ordre de 5 à 7% qui se poursuit jusqu’à maintenant », constate Jean-Marc Lachat, créateur de l’enseigne So Bio dans l’agglomération bordelaise.

Les habitudes changeantes des clients

Fin d’un âge d’or? « Changement de donne », préfère évoquer Claude Colin, qui refuse de voir dans ce ralentissement la seule conséquence de la baisse du pouvoir d’achat. La concurrence des rayons bio des grandes surfaces est une évidence « difficile à quantifier cependant ».
« Des clients ont changé aussi leurs habitudes, analyse Claude Colin. Ceux qui résident le plus loin ont tendance à venir moins souvent. Certains ont trouvé à se fournir près de chez eux, directement chez les producteurs, via des Amap ou sur les marchés. C’est une logique qui a du sens pour nous aussi et qu’on ne va pas condamner. » Mais si le ralentissement enregistré en 2009 n’avait pas outre mesure surpris les responsables de boutiques bio, la situation actuelle les oblige à se repositionner et à communiquer encore. « Pour nous, insiste la responsable des Biocoop angevines, le message à privilégier reste celui d’une production biologique en lien avec son territoire. »

PROXIMITE

Lu sur le site du journal LSA le 17 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
PROXIMITÉ
14/05/2010 - par J.-N.C.

Pimlico, nouveau-né du bio parisien Sur 250 m², dans le XIIe arrondissement parisien, naîtra, le 18 mai, une nouvelle enseigne bio à Paris. Une de plus, diront certains, tant les spécialistes du bio se multiplient ces derniers temps : : après Bio C'bon, depuis 2009, qui compte maintenant six points de vente, voilà donc Pimlico. Avis de saturation, quand on sait que Biocoop, La Vie claire et Naturalia sont déjà plus que bien implantées à Paris et aux alentours. Pour se démarquer, Pimlico a confié à l'agence de design Curius le soin d'imaginer le concept de magasin. La volonté, proximité oblige, est d'essayer de retrouver l'ambiance d'une boutique de quartier, avec corner central dédié à l'ultrafrais, carrelage rétro et mur ardoises, sans oublier l'inévitable tablier des vendeurs, rebaptisés « conseillers ». Un parti pris nostalgique qui a le mérite de n'être encore occupé par personne.

samedi 15 mai 2010

LES MARQUES DE PRET-A-PORTER DE LUXE POUR ENFANTS, COMME LEURS DESIGNERS, NE CONNAISSENT PAS LA CRISE

Lu sur le site du journal Le Monde le 15 mai 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/14/les-marques-de-pret-a-porter-de-luxe-pour-enfants-comme-leurs-designers-ne-connaissent-pas-la-crise_1351572_3234.html
Les marques de prêt-à-porter de luxe pour enfants, comme leurs designers, ne connaissent pas la crise
LEMONDE | 14.05.10 | 15h58 • Mis à jour le 15.05.10 | 09h42

En 1957, la princesse de Monaco Grace Kelly demandait à Christian Dior de dessiner des robes petit format pour sa fille, Caroline... La première boutique Dior pour enfants s'ouvrait dix ans plus tard, avenue Montaigne à Paris. Depuis, la concurrence s'est aiguisée, et les grands du luxe parient, presque tous, sur les rejetons de leurs clients fortunés.
"La mode pour enfants est un amortisseur de la crise. Elle résiste mieux aux aléas du marché", assure Eric Vallat, PDG de Bonpoint (groupe EPI), l'une des rares marques de luxe destinée aux enfants. "On coupe dans les budgets mode des adultes avant d'entamer ceux des enfants", poursuit-il. Bonpoint, société non cotée, ne publie pas de résultats ; elle a 90 boutiques dans le monde.

Son PDG assure qu'elle a "bien résisté à la crise, avec un chiffre d'affaires en hausse de 5 % à 10 % en 2009". Ce temple de la mode ultrachic pour enfants se développe à marche forcée, à raison de dix nouveaux magasins par an - il y en aura bientôt onze à Tokyo, un troisième au Brésil et un "vaisseau amiral" à New York. Bonpoint crée, dans son bureau de style, quatre collections par an, et organise deux défilés.

Le plus important bureau de style pour enfants en Europe, celui de Children Worldwide Fashion (CWF) - filiale du fonds d'investissement Invus (groupe Artal) - est situé aux Herbiers (Vendée). Près de 200 stylistes dessinent et mettent au point les collections de prêt-à-porter de luxe sous licence - Burberry, Hugo Boss, Marithé et François Girbaud, Chloë, DKNY, Escada, Timberland...

Chaque équipe travaille pour une marque dédiée - un "secret défense" garantit l'étanchéité des équipes de création. Le patronnage, la gradation des tailles, le choix des matières et des fournisseurs sont réalisés aux Herbiers. Quant à la production, elle est délocalisée depuis longtemps, en Italie, en Tunisie, en Europe de l'Est ou en Chine.

CWF, dont le chiffre d'affaires a triplé en dix ans (à 170 millions d'euros), a choisi de lancer son propre réseau de boutiques, l'Atelier de Courcelles, et amorce ses ventes sur Internet.

Les spécificités de la mode enfantine sont légion. Les enfants changent en moyenne de taille tous les six mois : chaque modèle est ainsi réalisé en quatorze tailles différentes. Il doit aussi recevoir l'imprimatur d'un collège de sécurité sourcilleux d'éviter tout accident.

Pendant la crise, le marché mondial du prêt-à-porter de luxe pour adultes a baissé d'au moins 20 % ; dans le même temps, celui pour les enfants, estimé à 3,5 milliards d'euros en Europe selon Global Industry Analysts, de 10 %. "Les enfants sont plus gâtés qu'avant. Cela se vérifie pour les cadeaux de naissance", explique Chrystel Abadie Truchet, présidente de CWF. Ils sont "dans les pays matures, comme dans les pays émergents, le miroir social de la famille". Et si un trench Burberry coûte de 1 000 à 1 500 euros pour un adulte, il ne vaut "que" de 100 à 200 euros pour un écolier.

"Les enfants savent surtout de plus en plus tôt ce qu'ils veulent porter. Il ne sert donc à rien de ne s'adresser qu'à la mère après 4 ans", tranche Mme Abadie Truchet. A ses yeux, les enfants aiment "les marques qui se voient, les logos. Comme les Italiens et les riches des pays émergents".

Le mastodonte de la mode enfantine Zannier - il détient les licences de Little Marc Jacobs, Jean Paul Gaultier, Kenzo ou Paul Smith - reste muet comme une carpe sur ses résultats et sa stratégie.

Seule certitude, la moindre minirobe à bretelles est vendue une centaine d'euros. Très chers petits.
Nicole Vulser
Article paru dans l'édition du 15.05.10

TRANSPORTS A TOUT FAIRE

Lu sur le site du journal Le Monde le 15 mai 2010
http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2010/05/13/transports-a-tout-faire_1351004_3238.html
Transports à tout faire
LEMONDE | 13.05.10 | 17h53 • Mis à jour le 14.05.10 | 07h42

Depuis quelques semaines, des habitants de la région d'Annecy (Haute-Savoie) se font livrer leurs courses commandées en ligne... sur une aire d'autoroute. Ces automobilistes paient et chargent leurs achats en fin de journée, de retour du travail. Le service, proposé par l'entreprise de vente par correspondance Provencia (groupe Carrefour) en coopération avec Adelac, société concessionnaire de l'autoroute A41, s'adresse surtout aux salariés frontaliers qui se déplacent chaque jour entre Annecy et Genève. Le prix de la livraison, 7 euros en dessous de 100 euros de marchandises achetées, 5 euros au-delà, n'est pas plus élevé que pour un portage à domicile.

"Un peu plus d'une dizaine de personnes en profitent chaque jour mais l'offre demeure encore méconnue", précise Yves Vanhelmon, responsable Internet chez Provencia. La société, qui mise sur le bouche-à-oreille, souhaite une "montée en puissance régulière" du service, de façon à maîtriser l'afflux des automobilistes et la gestion des stocks.

De temps contraint, le trajet quotidien se transforme ainsi en temps utile. Si l'expérience se révèle concluante, le concessionnaire de l'autoroute, filiale du groupe Bouygues, envisage de proposer d'autres services, "pressing, cordonnerie ou boulangerie", indique-t-on chez Adelac.

Les sociétés exploitant les parkings songent, elles aussi, à optimiser les déplacements de leurs clients. Les dalles souterraines, qu'on est désormais prié d'appeler "parcs" et non plus "parkings", sont depuis quelques années déjà "éclairées et parfumées", indique François Le Vert, directeur de la communication de Vinci Park.

L'entreprise s'est essayée au prêt de parapluie, un objet qui remporte davantage de succès "dans les villes où les averses peuvent être soudaines, par exemple en Martinique, à Rouen ou Dieppe", explique M. Le Vert. Dans une partie des 610 parkings Vinci, les clients ont également accès à des présentoirs de journaux gratuits ou à des cireuses de chaussures et peuvent emprunter une bicyclette aussi longtemps que leur voiture reste stationnée. "Cette formule plaît à certains abonnés qui se garent en centre-ville puis honorent leurs rendez-vous à vélo", indique le responsable de Vinci Park.

La Saemes, société d'économie mixte qui gère les parkings de la Ville de Paris, cherche pour sa part à "développer l'attractivité du stationnement souterrain, concurrencé par les places en surface, que 90 % des conducteurs parisiens ne paient pas", affirme Yves Contassot, conseiller de Paris (Verts) et président de la structure.

PRESTATIONS INATTENDUES

M. Contassot veut "permettre à l'automobiliste de poursuivre son voyage jusqu'à sa destination finale". Les agents de la Saemes fournissent des plans du quartier, vendent des tickets de métro, louent des vélos à assistance électrique. Comme chez Vinci, les clients peuvent faire laver leur véhicule et, depuis peu, réserver une place, afin d'éviter le désagrément occasionné par un parking plein. L'imagination semble ne pas avoir de limites. M. Contassot aimerait transformer les parkings vides, la nuit, "en espaces de répétition". Les musiciens, constate-t-il, "peinent à trouver des endroits insonorisés où les décibels ne dérangent personne".

La logique de l'optimisation gagne aussi le chemin de fer. La SNCF a créé, en avril 2009, une nouvelle branche, Gares & Connexions, chargée de gérer les 3 000 gares françaises. Parmi les projets du transporteur figurent la restructuration de la gare de Lyon, à Paris, ou le développement de l'intermodalité, la connexion entre différents moyens de transport.

La SNCF a aussi imaginé des prestations plus inattendues. Ainsi, à la prochaine rentrée scolaire, un bâtiment situé près de la gare de Roanne (Loire) sera aménagé en mini-crèche susceptible d'accueillir neuf enfants de 6 h 45 à 19 heures. Les parents, utilisateurs quotidiens du train régional, déposeront leur enfant avant de partir travailler et le retrouveront à leur retour, le soir. "Pour les salariés, surtout les femmes, les journées sont longues. Nous répondons à leurs besoins et leur donnons envie de prendre le train", argumente Bernadette Laclais, vice-présidente (PS) chargée des transports dans la région Rhône-Alpes, partenaire du projet.

L'initiative ne restera pas isolée, si l'on en croit Fabienne Keller, sénatrice (UMP) du Bas-Rhin, qui a remis l'an dernier un rapport au gouvernement sur "la gare contemporaine". "La gare, dans une ville, est le lieu le plus passant, un peu comme la place du village. On doit pouvoir y trouver des supermarchés, un pressing, une poste, voire un pôle médical", affirme l'ancienne maire de Strasbourg.
Olivier Razemon
Article paru dans l'édition du 14.05.10

vendredi 14 mai 2010

VENTE ECLAIR A MULHOUSE CC MARECHAUX

Vu à Mulhouse Centre Commercial Les Maréchaux, VENTE ECLAIR a pris pla place de GO SPORT jusqu'au 30 juin

DAMART A MULHOUSE CC DES MARECHAUX

Vu à Mulhouse au Centre Commercial Les Maréchaux : DAMART s'est installé dans l'emplacment autrefois ocupé par JULES ; à c^té de GENEVIEVE LETHU, en face de CELIO

DAMART ACQUIERT AFIBEL

Lu sur le site du journal LSA le 14 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/damart-acquiert-afibel,113641
Damart acquiert Afibel
Le 12 mai 2010 par Olivier COSTIL


Le groupe Damartex est entré en négociation exclusive avec Primondo Specialty Group (ex-Arcandor) visant à l’acquisition de la totalité du capital de la société Afibel. Ce projet d’acquisition sera soumis au Comité d’Entreprise d’Afibel et devra être autorisé par l’Autorité de la Concurrence en France. La société est, avec les marques Afibel et Delaby, le numéro trois français de la vente à distance de vêtements et d’accessoires pour seniors. Elle compte près de 500 salariés, employés pour la plupart sur son site de Villeneuve d’Ascq, et détient un fichier d’1,3 million de clients actifs. Son chiffre d’affaires a atteint l’an dernier 151,9 millions d’euros, hors taxes, montant se répartissant entre la France, le Royaume-Uni et la Belgique. Lors du dernier exercice fiscal clos le 30 septembre 2009, son résultat opérationnel, corrigé des éléments exceptionnels, s’est élevé à 4,4 millions d’euros. L’opération permettrait à Damartex de bénéficier d’un effet de taille significatif, de mieux segmenter et couvrir le marché du Senior mais aussi et surtout d’accélérer la mutation entreprise ces dernières années. Le groupe pourrait ainsi s’appuyer sur deux entités culturellement et géographiquement proches, et sur deux marques fortes et complémentaires, à savoir Damart, avec une offre davantage positionnée sur l’innovation, la qualité, la mode et la proximité (réseau magasins) et Afibel avec une offre plus fantaisie, élégante et adaptée à une clientèle plus traditionnelle. L’objectif n'est pas de procéder à une fusion, mais de maintenir des structures séparées et autonomes de manière à continuer leur développement. De ce fait, aucune suppression d’emploi n’est envisagée. Quelques synergies sont attendues sur les contrats externes et le partage de bonnes pratiques, notamment sur les marchés internationaux. La consolidation de la société dans les comptes de Damartex ne devrait pas intervenir avant début juillet. Compte tenu de la solidité financière de Damartex, cette opération aurait un très faible impact sur le niveau d’endettement du groupe et aurait un effet relutif dès le prochain exercice.

DISNEY STORE ANNONCE LE LANCEMENT D'UN NOUVEAU DESIGN MAGIQUE DE MAGASIN SUR DES MACHES MAJEURS AUX ETATS-UNIS ET EN EUROPE POUR L'ETE 2010

Lu sur le site de Bourse.LCI le 14 mai 2010
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW100513_00005804&numligne=0&date=100513
Disney Store annonce le lancement d'un nouveau design magique de magasin sur des marchés majeurs aux États-Unis et en Europe pour l'été 2010

Disney Store est en passe de redéfinir l'expérience du magasin de détail pour enfants avec le lancement d'un nouveau design de magasin dans ses marchés majeurs aux États-Unis et en Europe cet été. Le design innovant Disney Store sera dévoilé pour la première fois en juin au centre commercial The Shops de Montebello à Montebello, en Californie, juste à l'extérieur de Los Angeles, et sera suivi de la première européenne début juillet à Madrid, en Espagne, à La Vaguada. Le nouveau design du magasin, une destination unique développée du point de vue d'un enfant, intègre une technologie de pointe pour créer une expérience d'achat optimisée inspirée par les personnages et les contes les plus populaires de Disney.

« Nous avons infusé la magie de Disney dans tous les éléments de cette expérience inégalée du magasin de détail, et sélectionné des centres de détail haut de gamme pour lancer le Disney Store du futur », a déclaré Jim Fielding, président de Disney Stores Worldwide. « Des aménagements spéciaux tels que le château emblématique Disney Princess avec miroir magique et le Disney Store Theater ne sont que deux des éléments fabuleux du nouveau magasin qui vont enrichir l'expérience de chaque enfant et de sa famille au Disney Store. »

L'ouverture de plus de 20 magasins Disney Store nouveaux et remodelés est prévue pour cette année dans des centres commerciaux haut de gamme à travers l'Amérique du Nord et l'Europe. Les magasins nord américains ont été confirmés pour le Roosevelt Field Mall à Garden City, New York ; Santa Monica Place à Santa Monica, en Californie ; International Plaza à Tampa, en Floride ; Stockton St. à San Francisco, en Californie ; et Fashion Valley à San Diego, en Californie. Les magasins européens couvrent quatre marchés avec des ouvertures en Espagne, au Portugal, en Italie et au Royaume-Uni. Citons notamment NorteShopping à Oporto, au Portugal ; Orio Center à Bergamo, en Italie ; et des magasins britanniques dont Centre MK à Milton Keynes, Bon Accord Centre à Aberdeen et Donegal Place à Belfast.

Chaque nouveau magasin a une importance particulière et sera célébré en tant qu'événement marquant dans la croissance et l'évolution de Disney Store.

* Roosevelt Field sera le premier magasin de conception nouvelle de la côte Est à s'ouvrir aux États-Unis.
* En août, Disney Store va rejoindre un groupe de détaillants exclusifs pour la réouverture du nouveau centre commercial Santa Monica Place à proximité de la fameuse jetée de Santa Monica en Californie du Sud. Santa Monica Place est une destination de commerce et de restauration moderne qui allie des styles contemporains à une architecture durable, et Disney Store va offrir un assortiment complet de produits Disney uniques à la clientèle élitiste.
* Disney Store à International Plaza à Tampa, en Floride, sera le plus proche de Walt Disney World Resort, ce qui permettra aux familles de visiter les deux cet été.
* Fashion Valley rassemble la plus belle collection de magasins de San Diego dans un superbe centre commercial en plein air, et le Disney Store de conception nouvelle s'y ouvrira cet été.
* Disney Store va rejoindre des détaillants dans l'Union Square historique de San Francisco, l'une des plus grandes zones commerciales des États-Unis. Union Square est devenu l'épicentre commercial de San Francisco au début des années 1900 ; aujourd'hui, des magasins et des hôtels de luxe entourent Union Square, et les magasins s'étendent sur plusieurs pâtés à partir de la place centrale.
* En Europe, Oporto sera le premier Disney Store à s'ouvrir dans le nord du Portugal et seulement le deuxième à s'ouvrir dans le pays, suite au succès du lancement de la marque sur le marché en 2007.

Avec chaque ouverture de magasin en 2010, Disney Store va désigner une journée pendant laquelle 10 % du produit des ventes sera donné à la Make-A-Wish Foundation aux États-Unis, en Espagne, en Italie et au Portugal et à l'organisation caritative pour les enfants de Great Ormond Street Hospital au Royaume-Uni.

Pour trouver un Disney Store, les visiteurs peuvent consulter www.DisneyStore.com/storelocator ou appeler le (866) 902-2798. Pour en savoir plus, veuillez consulter www.disneyconsumerproducts.com/press/us. Les visiteurs peuvent également s'inscrire pour recevoir des avis électroniques à l'adresse www.DisneyStore.com/Updates, devenir fan sur Facebook www.facebook.com/DisneyStore ou nous suivre sur Twitter www.twitter.com/DisneyStore pour rester connectés à leur destination favorite.

À propos de Disney Store

La chaîne de magasins de détail Disney Store, qui a fait ses débuts en 1987, est détenue et exploitée par Disney en Amérique du Nord, en Europe, et au Japon. Disney Store est une société affiliée de Disney Consumer Products, le segment commercial en charge de la déclinaison de la marque Disney en produits dérivés. Disney Store offre des produits de haute qualité, y compris des gammes de produits exclusifs qui appuient et promeuvent les personnages et les initiatives de divertissements clés de Disney. Disney Store a ouvert son premier magasin à Glendale, en Californie et, ce faisant, a créé le modèle commercial de détail à thème. Il existe actuellement plus de 200 magasins Disney Store en Amérique du Nord, et plus de 40 magasins Disney Store au Japon. Disney Store Europe exploite actuellement plus de 100 magasins Disney Store au Royaume-Uni, en France, en Espagne, en Italie et au Portugal, et unmagasin en ligne, disneystore.co.uk. Chaque Disney Store offre une expérience d'achat magique que seule Disney (NYSE : DIS), l'une des sociétés de divertissement les plus importantes et les plus performantes au monde, peut offrir.

mercredi 12 mai 2010

LA FREQUENTATION DES CENTRES COMMERCIAUX EN FRANCE RECULE EN AVRIL

Lu sur le site du journal Les Echos le 12 mai 2010
La fréquentation des centres commerciaux en France recule en avril

PARIS, 11 mai (Reuters) - L'indice de fréquentation des centres commerciaux de France a baissé de 2,2% en avril traduisant "la prudence extrême" des consommateurs dans le contexte économique et social actuel, selon le Conseil national des centres commerciaux (CNCN).

LE COMMERCE SPECIALISE PERCOIT LES PREMIERS SIGNES DE REPRISE

Lu sur le site du journal LSA le 12 mai 2010
http://www.lsa-conso.fr/le-commerce-specialise-percoit-les-premiers-signes-de-reprise,113630
Le commerce spécialisé perçoit les premiers signes de reprise
Le 12 mai 2010 par Magali Picard


+2,2% : c'est la progression de chiffre d'affaires des enseignes du commerce spécialisé selon Procos. Après une année 2009 très difficile, durant laquelle les enseignes ont connu neuf mois de baisse de chiffre d'affaires, ce premier trimestre apparaît encourageant. Cette embellie confirme les deux précédentes performances mensuelles (+3,4% et +5,8% en février et en mars), même si cette croissance est à relativiser compte tenu du fait que les enseignes évoluaient sur un historique très dégradé (-3,5% au premier trimestre 2009). En cumul sur le premier trimestre 2010, le centre-ville a fait mieux que la périphérie, enregistrant une croissance de 2,9% de son chiffre d'affaires, soit un point de plus que les sites périphériques (+1,8%). Cette croissance a été tirée par les centres commercaiux de centre-ville (+4,4%). A contrario, les grandes et moyennes surfaces de périphérie ont connu les évolutions les plus faibles ce trimestre (+1%).