Lu sur le site du journal Le Monde le 30 avril 2010
La City en . redressement judiciaire
L'enseigne de prêt-à-porter La City, rachetée fin 2008 par le fonds 21 Centrale Partners, a été placée, mardi 27 avril, en procédure de redressement judiciaire au tribunal de commerce de Bobigny, selon le site Fashion-mag.com. La City compte plus de 70 magasins en France et avait réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de quelque 5o millions d'euros.
vendredi 30 avril 2010
LE PARI CHINOIS DES COSMETIQUES L'OCCITANE N'EST PAS SANS RISQUES
Lu sur le site du journal Le Monde le 28 avril 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/04/28/le-pari-chinois-des-cosmetiques-l-occitane-n-est-pas-sans-risques_1343990_3234.html
Le pari chinois des cosmétiques L'Occitane n'est pas sans risques
LEMONDE | 28.04.10 | 17h16 • Mis à jour le 28.04.10 | 17h16
La société de cosmétiques française L'Occitane poursuit son odyssée asiatique, et sera cotée à la Bourse de Hongkong à partir du 7 mai. Le choix de cette place - où l'entreprise espère lever environ 700 millions de dollars (530 millions d'euros) contre 25 % de son capital - paraît logique, puisqu'elle a maintenant plus de boutiques en "grande Chine" (Hongkong, Macao et Taïwan inclus) qu'en France.
C'est un coup audacieux que de se poser comme la première entreprise française à entrer sur la place de Hongkong. L'Occitane a déjà obtenu l'approbation des autorités depuis que le fonds souverain chinois China Investment Corp. s'est engagé à devenir un actionnaire de référence. A elle seule, la publicité qui a été faite autour de l'événement va non seulement favoriser l'écoulement des actions sur le marché, mais aussi faire grimper les ventes.
Mais l'opération ne va pas tout à fait de soi. La valorisation de l'entreprise a été calculée "à la chinoise", et a l'air bien gourmande. D'après UBS, le milieu de la fourchette envisagée pour le prix d'introduction de l'action valorise la société à 20 fois ses bénéfices attendus pour 2010, ce qui en ferait l'égale du spécialiste chinois de la distribution de cosmétiques, Sasa. Il n'y aurait donc aucune décote offerte à l'introduction. Il est plus pertinent de comparer L'Occitane au fabricant de produits de maquillage Avon, qui vaut 16 fois ses bénéfices prévisionnels. Ou de faire un parallèle avec la chaîne de prêt-à-porter occidentale Esprit, qui a aussi beaucoup investi en Chine et dont la valorisation s'élève à 15 fois ses bénéfices.
UN DANGER : PERDRE SON AURA
Les boutiques chinoises de L'Occitane déjà ouvertes ne sont pas très productives. Il y en a 46 - c'est-à-dire plus qu'au Royaume-Uni et presque autant qu'en France -, et pourtant, le groupe se refuse à communiquer des chiffres sur leur volume d'activité.
Le pari d'une expansion rapide présente aussi un certain nombre de risques. L'Occitane a prévu d'ouvrir jusqu'à 650 nouveaux magasins dans les trois à cinq prochaines années, contre 59 en 2010. La société pourrait en gros doubler de taille en Chine. Les marges devraient s'en ressentir, du fait de l'ouverture de nouveaux points de vente, mais aussi parce que, en étant présente partout, la marque pourrait changer d'image et perdre son aura de "marque de luxe abordable" aux yeux d'Orientaux attachés aux signes extérieurs de réussite sociale. La Chine a beau être devenue la première implantation étrangère de L'Occitane, cela ne justifie pas que l'on accepte de lui accorder dès maintenant une "prime chinoise".
(Traduction de Christine Lahuec)
Wei Gu
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/04/28/le-pari-chinois-des-cosmetiques-l-occitane-n-est-pas-sans-risques_1343990_3234.html
Le pari chinois des cosmétiques L'Occitane n'est pas sans risques
LEMONDE | 28.04.10 | 17h16 • Mis à jour le 28.04.10 | 17h16
La société de cosmétiques française L'Occitane poursuit son odyssée asiatique, et sera cotée à la Bourse de Hongkong à partir du 7 mai. Le choix de cette place - où l'entreprise espère lever environ 700 millions de dollars (530 millions d'euros) contre 25 % de son capital - paraît logique, puisqu'elle a maintenant plus de boutiques en "grande Chine" (Hongkong, Macao et Taïwan inclus) qu'en France.
C'est un coup audacieux que de se poser comme la première entreprise française à entrer sur la place de Hongkong. L'Occitane a déjà obtenu l'approbation des autorités depuis que le fonds souverain chinois China Investment Corp. s'est engagé à devenir un actionnaire de référence. A elle seule, la publicité qui a été faite autour de l'événement va non seulement favoriser l'écoulement des actions sur le marché, mais aussi faire grimper les ventes.
Mais l'opération ne va pas tout à fait de soi. La valorisation de l'entreprise a été calculée "à la chinoise", et a l'air bien gourmande. D'après UBS, le milieu de la fourchette envisagée pour le prix d'introduction de l'action valorise la société à 20 fois ses bénéfices attendus pour 2010, ce qui en ferait l'égale du spécialiste chinois de la distribution de cosmétiques, Sasa. Il n'y aurait donc aucune décote offerte à l'introduction. Il est plus pertinent de comparer L'Occitane au fabricant de produits de maquillage Avon, qui vaut 16 fois ses bénéfices prévisionnels. Ou de faire un parallèle avec la chaîne de prêt-à-porter occidentale Esprit, qui a aussi beaucoup investi en Chine et dont la valorisation s'élève à 15 fois ses bénéfices.
UN DANGER : PERDRE SON AURA
Les boutiques chinoises de L'Occitane déjà ouvertes ne sont pas très productives. Il y en a 46 - c'est-à-dire plus qu'au Royaume-Uni et presque autant qu'en France -, et pourtant, le groupe se refuse à communiquer des chiffres sur leur volume d'activité.
Le pari d'une expansion rapide présente aussi un certain nombre de risques. L'Occitane a prévu d'ouvrir jusqu'à 650 nouveaux magasins dans les trois à cinq prochaines années, contre 59 en 2010. La société pourrait en gros doubler de taille en Chine. Les marges devraient s'en ressentir, du fait de l'ouverture de nouveaux points de vente, mais aussi parce que, en étant présente partout, la marque pourrait changer d'image et perdre son aura de "marque de luxe abordable" aux yeux d'Orientaux attachés aux signes extérieurs de réussite sociale. La Chine a beau être devenue la première implantation étrangère de L'Occitane, cela ne justifie pas que l'on accepte de lui accorder dès maintenant une "prime chinoise".
(Traduction de Christine Lahuec)
Wei Gu
BIENTÔT DES GRANDES VILLES SANS POMPISTES
Lu sur le site du journal Les Echos le 30 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/020481381452-bientot-des-grandes-villes-sans-pompistes-.htm
Bientôt des grandes villes sans pompistes ?
[ 30/04/10 ]
Déjà sinistré, très peu rentable et confronté au vieillissement de ses exploitants, le secteur de la distribution d'essence doit faire face à un durcissement continu des normes environnementales. Alors qu'on comptait 42.500 points de vente en 1975, il n'y en aura plus que 10.000 d'ici à 2011. Il va devenir de plus en plus difficile de faire le plein dans la capitale.
Sur le même sujet
La vente d'alcool, l'autre sujet qui fâche
C'est le rêve de tout militant écologiste : au 180 bis, rue des Pyrénées à Paris, un garage trentenaire, longtemps pourvu d'une station-service, a laissé la place il y a près d'un an à une boutique Naturalia vendant des produits bio. Qui s'en plaindrait ? Certainement pas les voisins. Située au rez-de-chaussée d'un immeuble d'habitation, la nouvelle boutique n'inquiète plus les riverains. D'autant, explique la chargée de développement de Naturalia, que « nous avons pris à notre charge les centaines de milliers d'euros de dépollution du site ». Un investissement en parfaite adéquation avec l'image environnementale de l'enseigne, et qu'elle rentabilise en payant son loyer moins cher que si elle avait jeté son dévolu sur un site non pollué, ou déjà nettoyé. Et l'expérience est appelée à se reproduire : « Pour trouver dans Paris les grandes surfaces dont nous avons besoin, nous devons nous tourner en priorité vers les stations-service et les garages », témoigne la responsable.
Cela tombe bien : à l'avenir, les emplacements de ce genre devraient être de plus en plus faciles à trouver, tant le métier de pompiste, déjà sinistré, apparaît menacé. Toujours plus contraignantes, les normes environnementales découragent bien des exploitants de stations-service de poursuivre leur activité. Dictées par Bruxelles, les prochaines règles doivent entrer en vigueur le 31 décembre prochain. Elles leur imposeront notamment des cuves à double enveloppe, ou équipées d'une fosse étanche afin d'éviter les fuites de carburant dans le sol ; des pistes, c'est-à-dire les aires où se garent les camions-citernes, étanches également ; ou encore des décanteurs-séparateurs d'hydrocarbures permettant de récolter l'essence tombée par mégarde et l'eau que l'on a ensuite projetée pour nettoyer le sol, tout en séparant les deux éléments.
Au moins 30.000 euros d'investissement
Coût de l'investissement ? « J'en ai eu pour plus de 30.000 euros et un mois d'arrêt d'activité pour changer mes cuves », témoigne le gérant d'une toute petite station (une pompe diesel, une pompe sans plomb) proche de la place Stalingrad, à quelques pâtés de maison de la station-service immortalisée par Coluche, dans le film « Tchao pantin ». Officiant en face de l'université de Jussieu, dans le 5 e arrondissement de Paris, Marc Meyrignac, responsable du garage Mercedes créé par son grand-père et disposant de quatre doubles pompes à l'enseigne Total, affirme quant à lui en être à 100.000 euros d'investissements. Compte tenu du faible revenu tiré de la vente d'essence -3 à 4 centimes d'euro par litre -, et du caractère marginal de cette activité par rapport à la réparation automobile, ne devrait-il pas profiter du changement de normes pour fermer ses pompes ? « Nous y avons songé, bien sûr, répond le gérant, mais la distribution de carburant fait partie de notre palette de services, avec le parking et le garage. Alors nous continuons, peut-être par atavisme… »
Un de ses confrères, implanté dans un quartier parisien prestigieux, hésite encore, pour sa part, à changer ses cuves. Quels sont les termes de son équation ? « Nous pouvons être subventionnés à hauteur de 70 % des travaux avec un plafond de 38.500 euros par le CPDC (Comité professionnel de la distribution de carburants, NDLR), explique-t-il. Mais ce dernier ne rembourse qu'au vu des factures acquittées. « En attendant, nous devons avancer l'argent pour un investissement qui ne nous rapportera aucun chiffre d'affaires supplémentaire. D'un autre côté, si nous arrêtons la distribution d'essence pour ne garder que le garage, nous devrons neutraliser le site à nos frais. Or, dégazer les cuves, les combler avec du sable ou du béton, enlever les tubulures nous coûterait presque aussi cher que de nous mettre aux nouvelles normes. » Face à ce dilemme, ce gérant se demande donc s'il n'aurait pas plutôt intérêt à garder ses anciennes cuves au-delà de la date limite, au risque, en cas de contrôle, d'écoper d'une suspension administrative.
Combien des quelque 140 stations-service encore en activité dans Paris décideront de jeter l'éponge d'ici au 31 décembre ? Impossible, pour l'heure, de le savoir. Mais à plus long terme, une chose est sûre : l'automobiliste ou le possesseur de deux-roues à court de carburant aura de plus en plus de difficultés à faire le plein dans la capitale, et plus généralement au coeur d'une grande ville. Déjà, les petites stations dites de « filling », avec pompes sur le trottoir, sont pour la plupart condamnées, estiment les professionnels du secteur, car elles empiètent sur le domaine public, et, bien souvent, ne respectent pas les distances minimales par rapport à un immeuble ; beaucoup fermeront au moment du départ à la retraite de leur gérant. Mais d'autres stations typiquement urbaines, celles situées en rez-de-chaussée d'un immeuble habité, ou bien en sous-sol, dans un parking, sont aussi dans le collimateur : sauf à investir dans de nouvelles installations de sécurité (détection des vapeurs d'hydrocarbures, ventilation d'urgence, arrêt d'urgence automatique…), elles devront fermer au 1 er janvier 2020, explique-t-on au Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), en vertu d'un arrêté ministériel du 19 décembre 2008. Et certaines auront mis la clef sous la porte avant : sous la pression des riverains et des élus écologistes -élu Verts dans le 18 e arrondissement de Paris, Sylvain Garel dénonce ces « bombes à retardement » que sont à ses yeux les stations en immeuble -, les organismes HLM ont de plus en plus tendance à ne pas renouveler les baux quand ils arrivent à expiration. La station Esso de la rue Geoffroy-Saint-Hilaire, près de la mosquée de Paris, en a déjà fait les frais, remplacée pour moitié par un centre de radiologie médicale, et pour l'autre par un local commercial… n'ayant pas encore trouvé preneur.
Ce durcissement continu des normes est-il un mal nécessaire ? Si l'on en croit les professionnels, qui soulignent l'absence de catastrophe dans une station-service depuis un grand nombre d'années, on en fait bien trop. « Nous demandons une écologie mesurée, tenant compte des contraintes économiques », plaide Christian Roux, représentant de la profession des stations-service au CNPA. Il dénonce en particulier la nécessité d'entreprendre, à quelques années d'intervalle, de lourds travaux de génie civil pour se mettre aux normes. Pourtant, il faut reconnaître que dans bien des cas, ces aménagements ne sont pas du luxe : selon les résultats d'une opération coup-de-poing menée en 2009 au niveau national par le ministère de l'Environnement auprès de 308 stations-service, leur niveau de conformité par rapport à la réglementation alors en vigueur était « assez moyen, avec un tiers de non-conformité ».
Le pari d'Avia
Quoi qu'il en soit, le phénomène contribue à accélérer le déclin de la profession. Alors qu'on recensait 42.500 points de vente de carburant au niveau national en 1975, il n'y en avait plus que 12.250 en 2009, dont 4.600 appartenant aux grandes et moyennes surfaces (Carrefour, Leclerc…), 1.800 aux compagnies pétrolières, et un peu moins de 6.000 à des indépendants, qu'ils affichent ou non le panonceau d'un pétrolier. « Compte tenu de l'échéance de la fin décembre qui va conduire beaucoup de petites stations de rase campagne à fermer, on sera plus proche des 10.000 points de vente en 2011 que des 12.000 », pronostique-t-on chez un spécialiste de la conception, construction et maintenance de stations-service. D'autant, ajoute Christian Roux, que la moitié des exploitants propriétaires de leur point de vente ont plus de cinquante-cinq ans. Du fait de leurs faibles revenus -30.000 euros par an pour un couple qui écoule 100.000 litres par mois, calcule-t-il -, rares sont les enfants qui voudront prendre la succession.
Adieu, donc, le petit pompiste indépendant. Mais adieu aussi la grande compagnie pétrolière ! En l'espace de quelques années, plusieurs d'entre elles se sont désengagées de la distribution, trop peu rentable et trop concurrencée par les grandes surfaces, qui ont capté 60 % du marché avec moins de 40 % des points de vente. Dès 2002, Shell annonçait son intention de ramener en quatre ans son réseau de près de 1.000 points de vente à 300. Le groupe a, depuis, encore réduit la voilure, se concentrant désormais sur les grands axes routiers. Au début 2010, BP a été plus radical encore, revendant la totalité de ses 416 stations à l'israélien Delek. Seuls parmi les majors du pétrole, Total et Esso restent très actifs dans la distribution en France, le premier avec un peu plus de 4.700 points de vente (gérés en propre ou bien par des indépendants qui portent ses couleurs), le second avec 780 stations. Ce qui ne les empêche pas, eux aussi, de restructurer leur réseau. Total estime par exemple qu'environ 500 stations détenues par des exploitants indépendants affichant ses couleurs ou celles de la marque soeur, Elan, risquent de fermer à cause des nouvelles normes environnementales. Quant à Esso, il a concentré son parc sur les stations de grande taille, dont beaucoup sont automatisées.
Seul, ou presque, à croire encore à ce marché, Avia s'est hissé au deuxième rang l'an dernier en rachetant 163 stations Shell. Une opération qui lui permettra de franchir le cap des 900 points de vente, lorsque les changements de panonceaux seront achevés. Pour Jean-Michel Ducrot, l'un des dirigeants de cette enseigne à capitaux familiaux, « la décision de renforcer notre maillage géographique repose sur notre conviction que les voitures du futur seront hybrides, légères et dotées d'une faible autonomie, de l'ordre de 250 à 320 kilomètres ». Si tel est le cas, mieux vaudra en effet ne pas devoir parcourir d'énormes distances à la recherche d'une pompe…
CLAUDE BARJONET, Les Echos
Publié par Patrick Lener à l'adresse 04:00 0 commentaires
SIMPLY MARKET : 250 RECRUTEMENTS LE 20 MAI PROCHAIN
Lu sur le site www.jopetic.net le 30 avril 2010
http://www.jobetic.net/Simply-Market-250-recrutements-le-20-mai-prochain_a3278.html
Actualités
Jeudi 29 Avril 2010
Simply Market : 250 recrutements le 20 mai prochain
Communiqué
Déployée sur l’ensemble du territoire en avril 2009, l’enseigne de supermarchés Simply Market organise pour la 2e année consécutive une journée de recrutement à l’échelle nationale.
250 postes de futurs directeurs de magasin et futurs managers de rayon sont à pourvoir. Les candidats seront reçus dans les 20 magasins participants en France. Priorité de l’édition 2010 : le recrutement de jeunes en alternance.
Une journée sur le terrain
La 1e édition en 2009 a été un beau succès pour l’enseigne : 19 magasins participants, 2000 CV reçus, 500 personnes présentes et 30 recrutés en CDI pour des postes de manager de rayon et de directeur de magasin.
Fort du bilan positif de cette 1e édition, Simply Market réitère l’expérience le jeudi 20 mai 2010. Objectif : l’embauche de 200 managers de rayon et 50 directeurs de magasin (soit 250 postes). Plus de la moitié de ces postes pourraient être proposés en alternance à des étudiants en cours de formation.
Il s’agit d’une journée Portes Ouvertes organisée dans 20 supermarchés Simply Market. Les candidats s’inscrivent sur le sitewww.votre-avenir-simply.fr; .
Ils sont ensuite conviés à visiter le magasin participant de leur choix, à y rencontrer le directeur du magasin et les managers de rayon afin d’échanger sur les différents métiers et les spécificités de la profession. Des entretiens individuels de premier contact sont aussi organisés.
L’occasion pour les candidats de découvrir sur place le concept de l’enseigne et de s’entretenir avec les recruteurs dans un cadre plus informel et convivial. Les candidats trouveront des informations complémentaires sur le nouveau site de recrutement dédié, riche en témoignages, offres d’emploi et offres de stages.
Publié par Patrick Lener à l'adresse 03:55 0 commentaires
http://www.lesechos.fr/info/distri/020481381452-bientot-des-grandes-villes-sans-pompistes-.htm
Bientôt des grandes villes sans pompistes ?
[ 30/04/10 ]
Déjà sinistré, très peu rentable et confronté au vieillissement de ses exploitants, le secteur de la distribution d'essence doit faire face à un durcissement continu des normes environnementales. Alors qu'on comptait 42.500 points de vente en 1975, il n'y en aura plus que 10.000 d'ici à 2011. Il va devenir de plus en plus difficile de faire le plein dans la capitale.
Sur le même sujet
La vente d'alcool, l'autre sujet qui fâche
C'est le rêve de tout militant écologiste : au 180 bis, rue des Pyrénées à Paris, un garage trentenaire, longtemps pourvu d'une station-service, a laissé la place il y a près d'un an à une boutique Naturalia vendant des produits bio. Qui s'en plaindrait ? Certainement pas les voisins. Située au rez-de-chaussée d'un immeuble d'habitation, la nouvelle boutique n'inquiète plus les riverains. D'autant, explique la chargée de développement de Naturalia, que « nous avons pris à notre charge les centaines de milliers d'euros de dépollution du site ». Un investissement en parfaite adéquation avec l'image environnementale de l'enseigne, et qu'elle rentabilise en payant son loyer moins cher que si elle avait jeté son dévolu sur un site non pollué, ou déjà nettoyé. Et l'expérience est appelée à se reproduire : « Pour trouver dans Paris les grandes surfaces dont nous avons besoin, nous devons nous tourner en priorité vers les stations-service et les garages », témoigne la responsable.
Cela tombe bien : à l'avenir, les emplacements de ce genre devraient être de plus en plus faciles à trouver, tant le métier de pompiste, déjà sinistré, apparaît menacé. Toujours plus contraignantes, les normes environnementales découragent bien des exploitants de stations-service de poursuivre leur activité. Dictées par Bruxelles, les prochaines règles doivent entrer en vigueur le 31 décembre prochain. Elles leur imposeront notamment des cuves à double enveloppe, ou équipées d'une fosse étanche afin d'éviter les fuites de carburant dans le sol ; des pistes, c'est-à-dire les aires où se garent les camions-citernes, étanches également ; ou encore des décanteurs-séparateurs d'hydrocarbures permettant de récolter l'essence tombée par mégarde et l'eau que l'on a ensuite projetée pour nettoyer le sol, tout en séparant les deux éléments.
Au moins 30.000 euros d'investissement
Coût de l'investissement ? « J'en ai eu pour plus de 30.000 euros et un mois d'arrêt d'activité pour changer mes cuves », témoigne le gérant d'une toute petite station (une pompe diesel, une pompe sans plomb) proche de la place Stalingrad, à quelques pâtés de maison de la station-service immortalisée par Coluche, dans le film « Tchao pantin ». Officiant en face de l'université de Jussieu, dans le 5 e arrondissement de Paris, Marc Meyrignac, responsable du garage Mercedes créé par son grand-père et disposant de quatre doubles pompes à l'enseigne Total, affirme quant à lui en être à 100.000 euros d'investissements. Compte tenu du faible revenu tiré de la vente d'essence -3 à 4 centimes d'euro par litre -, et du caractère marginal de cette activité par rapport à la réparation automobile, ne devrait-il pas profiter du changement de normes pour fermer ses pompes ? « Nous y avons songé, bien sûr, répond le gérant, mais la distribution de carburant fait partie de notre palette de services, avec le parking et le garage. Alors nous continuons, peut-être par atavisme… »
Un de ses confrères, implanté dans un quartier parisien prestigieux, hésite encore, pour sa part, à changer ses cuves. Quels sont les termes de son équation ? « Nous pouvons être subventionnés à hauteur de 70 % des travaux avec un plafond de 38.500 euros par le CPDC (Comité professionnel de la distribution de carburants, NDLR), explique-t-il. Mais ce dernier ne rembourse qu'au vu des factures acquittées. « En attendant, nous devons avancer l'argent pour un investissement qui ne nous rapportera aucun chiffre d'affaires supplémentaire. D'un autre côté, si nous arrêtons la distribution d'essence pour ne garder que le garage, nous devrons neutraliser le site à nos frais. Or, dégazer les cuves, les combler avec du sable ou du béton, enlever les tubulures nous coûterait presque aussi cher que de nous mettre aux nouvelles normes. » Face à ce dilemme, ce gérant se demande donc s'il n'aurait pas plutôt intérêt à garder ses anciennes cuves au-delà de la date limite, au risque, en cas de contrôle, d'écoper d'une suspension administrative.
Combien des quelque 140 stations-service encore en activité dans Paris décideront de jeter l'éponge d'ici au 31 décembre ? Impossible, pour l'heure, de le savoir. Mais à plus long terme, une chose est sûre : l'automobiliste ou le possesseur de deux-roues à court de carburant aura de plus en plus de difficultés à faire le plein dans la capitale, et plus généralement au coeur d'une grande ville. Déjà, les petites stations dites de « filling », avec pompes sur le trottoir, sont pour la plupart condamnées, estiment les professionnels du secteur, car elles empiètent sur le domaine public, et, bien souvent, ne respectent pas les distances minimales par rapport à un immeuble ; beaucoup fermeront au moment du départ à la retraite de leur gérant. Mais d'autres stations typiquement urbaines, celles situées en rez-de-chaussée d'un immeuble habité, ou bien en sous-sol, dans un parking, sont aussi dans le collimateur : sauf à investir dans de nouvelles installations de sécurité (détection des vapeurs d'hydrocarbures, ventilation d'urgence, arrêt d'urgence automatique…), elles devront fermer au 1 er janvier 2020, explique-t-on au Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), en vertu d'un arrêté ministériel du 19 décembre 2008. Et certaines auront mis la clef sous la porte avant : sous la pression des riverains et des élus écologistes -élu Verts dans le 18 e arrondissement de Paris, Sylvain Garel dénonce ces « bombes à retardement » que sont à ses yeux les stations en immeuble -, les organismes HLM ont de plus en plus tendance à ne pas renouveler les baux quand ils arrivent à expiration. La station Esso de la rue Geoffroy-Saint-Hilaire, près de la mosquée de Paris, en a déjà fait les frais, remplacée pour moitié par un centre de radiologie médicale, et pour l'autre par un local commercial… n'ayant pas encore trouvé preneur.
Ce durcissement continu des normes est-il un mal nécessaire ? Si l'on en croit les professionnels, qui soulignent l'absence de catastrophe dans une station-service depuis un grand nombre d'années, on en fait bien trop. « Nous demandons une écologie mesurée, tenant compte des contraintes économiques », plaide Christian Roux, représentant de la profession des stations-service au CNPA. Il dénonce en particulier la nécessité d'entreprendre, à quelques années d'intervalle, de lourds travaux de génie civil pour se mettre aux normes. Pourtant, il faut reconnaître que dans bien des cas, ces aménagements ne sont pas du luxe : selon les résultats d'une opération coup-de-poing menée en 2009 au niveau national par le ministère de l'Environnement auprès de 308 stations-service, leur niveau de conformité par rapport à la réglementation alors en vigueur était « assez moyen, avec un tiers de non-conformité ».
Le pari d'Avia
Quoi qu'il en soit, le phénomène contribue à accélérer le déclin de la profession. Alors qu'on recensait 42.500 points de vente de carburant au niveau national en 1975, il n'y en avait plus que 12.250 en 2009, dont 4.600 appartenant aux grandes et moyennes surfaces (Carrefour, Leclerc…), 1.800 aux compagnies pétrolières, et un peu moins de 6.000 à des indépendants, qu'ils affichent ou non le panonceau d'un pétrolier. « Compte tenu de l'échéance de la fin décembre qui va conduire beaucoup de petites stations de rase campagne à fermer, on sera plus proche des 10.000 points de vente en 2011 que des 12.000 », pronostique-t-on chez un spécialiste de la conception, construction et maintenance de stations-service. D'autant, ajoute Christian Roux, que la moitié des exploitants propriétaires de leur point de vente ont plus de cinquante-cinq ans. Du fait de leurs faibles revenus -30.000 euros par an pour un couple qui écoule 100.000 litres par mois, calcule-t-il -, rares sont les enfants qui voudront prendre la succession.
Adieu, donc, le petit pompiste indépendant. Mais adieu aussi la grande compagnie pétrolière ! En l'espace de quelques années, plusieurs d'entre elles se sont désengagées de la distribution, trop peu rentable et trop concurrencée par les grandes surfaces, qui ont capté 60 % du marché avec moins de 40 % des points de vente. Dès 2002, Shell annonçait son intention de ramener en quatre ans son réseau de près de 1.000 points de vente à 300. Le groupe a, depuis, encore réduit la voilure, se concentrant désormais sur les grands axes routiers. Au début 2010, BP a été plus radical encore, revendant la totalité de ses 416 stations à l'israélien Delek. Seuls parmi les majors du pétrole, Total et Esso restent très actifs dans la distribution en France, le premier avec un peu plus de 4.700 points de vente (gérés en propre ou bien par des indépendants qui portent ses couleurs), le second avec 780 stations. Ce qui ne les empêche pas, eux aussi, de restructurer leur réseau. Total estime par exemple qu'environ 500 stations détenues par des exploitants indépendants affichant ses couleurs ou celles de la marque soeur, Elan, risquent de fermer à cause des nouvelles normes environnementales. Quant à Esso, il a concentré son parc sur les stations de grande taille, dont beaucoup sont automatisées.
Seul, ou presque, à croire encore à ce marché, Avia s'est hissé au deuxième rang l'an dernier en rachetant 163 stations Shell. Une opération qui lui permettra de franchir le cap des 900 points de vente, lorsque les changements de panonceaux seront achevés. Pour Jean-Michel Ducrot, l'un des dirigeants de cette enseigne à capitaux familiaux, « la décision de renforcer notre maillage géographique repose sur notre conviction que les voitures du futur seront hybrides, légères et dotées d'une faible autonomie, de l'ordre de 250 à 320 kilomètres ». Si tel est le cas, mieux vaudra en effet ne pas devoir parcourir d'énormes distances à la recherche d'une pompe…
CLAUDE BARJONET, Les Echos
Publié par Patrick Lener à l'adresse 04:00 0 commentaires
SIMPLY MARKET : 250 RECRUTEMENTS LE 20 MAI PROCHAIN
Lu sur le site www.jopetic.net le 30 avril 2010
http://www.jobetic.net/Simply-Market-250-recrutements-le-20-mai-prochain_a3278.html
Actualités
Jeudi 29 Avril 2010
Simply Market : 250 recrutements le 20 mai prochain
Communiqué
Déployée sur l’ensemble du territoire en avril 2009, l’enseigne de supermarchés Simply Market organise pour la 2e année consécutive une journée de recrutement à l’échelle nationale.
250 postes de futurs directeurs de magasin et futurs managers de rayon sont à pourvoir. Les candidats seront reçus dans les 20 magasins participants en France. Priorité de l’édition 2010 : le recrutement de jeunes en alternance.
Une journée sur le terrain
La 1e édition en 2009 a été un beau succès pour l’enseigne : 19 magasins participants, 2000 CV reçus, 500 personnes présentes et 30 recrutés en CDI pour des postes de manager de rayon et de directeur de magasin.
Fort du bilan positif de cette 1e édition, Simply Market réitère l’expérience le jeudi 20 mai 2010. Objectif : l’embauche de 200 managers de rayon et 50 directeurs de magasin (soit 250 postes). Plus de la moitié de ces postes pourraient être proposés en alternance à des étudiants en cours de formation.
Il s’agit d’une journée Portes Ouvertes organisée dans 20 supermarchés Simply Market. Les candidats s’inscrivent sur le sitewww.votre-avenir-simply.fr; .
Ils sont ensuite conviés à visiter le magasin participant de leur choix, à y rencontrer le directeur du magasin et les managers de rayon afin d’échanger sur les différents métiers et les spécificités de la profession. Des entretiens individuels de premier contact sont aussi organisés.
L’occasion pour les candidats de découvrir sur place le concept de l’enseigne et de s’entretenir avec les recruteurs dans un cadre plus informel et convivial. Les candidats trouveront des informations complémentaires sur le nouveau site de recrutement dédié, riche en témoignages, offres d’emploi et offres de stages.
Publié par Patrick Lener à l'adresse 03:55 0 commentaires
CONFORAMA MANCE SES MAGASINS SPECIALISES DANS LA DECO
Lu sur le site du journal Le Parisien le 30 avril 2010
http://www.leparisien.fr/laparisienne/deco/conforama-lance-ses-magasins-specialises-dans-la-deco-29-04-2010-904078.php
Conforama lance ses magasins spécialisés dans la déco
29.04.2010, 11h50
En octobre prochain ouvrira la première enseigne dédiée à la décoration de Conforama, Confo Déco. Selon Thierry Guibert, patron de Conforama, interrogé dans Le Figaro du jeudi 29 avril, ce nouveau magasin sera installé dans le centre commercial de la Part-Dieu à Lyon (Rhône). Il prévoit l'ouverture de plusieurs magasins dont un en 2011 à Lille, puis sur un rythme de 3 à 5 par an.
D'une superficie de 500 à 700 m², les Confo Déco devraient être implantés en centre-ville ou en centre commercial.
De nombreux produits en marque propre seront proposés, le tout dans six univers différents dont la cuisine, la nuit ou encore le bain.
http://www.leparisien.fr/laparisienne/deco/conforama-lance-ses-magasins-specialises-dans-la-deco-29-04-2010-904078.php
Conforama lance ses magasins spécialisés dans la déco
29.04.2010, 11h50
En octobre prochain ouvrira la première enseigne dédiée à la décoration de Conforama, Confo Déco. Selon Thierry Guibert, patron de Conforama, interrogé dans Le Figaro du jeudi 29 avril, ce nouveau magasin sera installé dans le centre commercial de la Part-Dieu à Lyon (Rhône). Il prévoit l'ouverture de plusieurs magasins dont un en 2011 à Lille, puis sur un rythme de 3 à 5 par an.
D'une superficie de 500 à 700 m², les Confo Déco devraient être implantés en centre-ville ou en centre commercial.
De nombreux produits en marque propre seront proposés, le tout dans six univers différents dont la cuisine, la nuit ou encore le bain.
jeudi 29 avril 2010
PPR RENOUE AVEC UNE LEGERE CROISSANCE AU 1er TRIMESTRE
Lu sur le site du journal Les Echos le 29 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/reuters_00248150-ppr-renoue-avec-une-legere-croissance-au-1er-trimestre.htm
PPR renoue avec une légère croissance au 1er trimestre
[ 28/04/10 - 18H18 - Reuters ]
François-Henri Pinault, PDG de PPR - AFP/Patrick Kovarick
François-Henri Pinault, PDG de PPR - AFP/Patrick Kovarick
PARIS (Reuters) - PPR a renoué avec la croissance au premier trimestre, après cinq trimestres consécutifs de baisse, et a dit anticiper une poursuite de l'accélération de ses ventes dans le courant de l'année.
Le groupe, qui a entamé son recentrage sur le luxe et les marques de mode ou de sport avec la cession d'une majorité de du capital de CFAO, a vu ses ventes progresser de 1,2% à 4.129 millions d'euros, un chiffre en ligne avec la prévision des analystes interrogés par Reuters (4.100 millions) et sa croissance organique est ressortie à 1,3%, contre 1,0% attendus.
"L'amélioration significative du chiffre d'affaires de nos activités au premier trimestre nous conforte dans notre capacité à accélérer la croissance de nos ventes tout au long de cette année", déclare François-Henri Pinault, PDG du groupe, dans un communiqué.
Il ajoute anticiper "une bonne progression des performances opérationnelles et financières en 2010".
Les ventes du premier trimestre ont bénéficié d'une accélération de la croissance organique dans le luxe (+6,1%) par rapport aux 3% du dernier trimestre 2009.
LVMH, numéro un mondial du secteur, a quant à lui vu les ventes de son pôle maroquinerie progresser de 10%.
Les ventes de PPR ont aussi profité d'une meilleure tenue de la consommation dans les activités de distribution (Conforama et Fnac, avec des hausses respectives de 2,6% et 1,6%), tandis que le pôle de vente à distance Redcats et l'équipementier sportif Puma sont encore restés dans le rouge (-0,5% et
-2,7%).
La valeur a clôturé mercredi à 103,95 euros (-1,38%) à la Bourse de Paris, signant la plus forte hausse (+23%) du secteur du luxe depuis janvier.
Le titre, qui a retrouvé ses niveaux de janvier 2008, a quasiment doublé depuis ses plus bas de juin 2009, un rattrapage guidé par la cession attendue à moyen terme de ses activités de distribution et par la reprise de la consommation constatée au premier trimestre dans le secteur du luxe.
Pascale Denis, édité par Benoît Van Overstraeten
http://www.lesechos.fr/info/distri/reuters_00248150-ppr-renoue-avec-une-legere-croissance-au-1er-trimestre.htm
PPR renoue avec une légère croissance au 1er trimestre
[ 28/04/10 - 18H18 - Reuters ]
François-Henri Pinault, PDG de PPR - AFP/Patrick Kovarick
François-Henri Pinault, PDG de PPR - AFP/Patrick Kovarick
PARIS (Reuters) - PPR a renoué avec la croissance au premier trimestre, après cinq trimestres consécutifs de baisse, et a dit anticiper une poursuite de l'accélération de ses ventes dans le courant de l'année.
Le groupe, qui a entamé son recentrage sur le luxe et les marques de mode ou de sport avec la cession d'une majorité de du capital de CFAO, a vu ses ventes progresser de 1,2% à 4.129 millions d'euros, un chiffre en ligne avec la prévision des analystes interrogés par Reuters (4.100 millions) et sa croissance organique est ressortie à 1,3%, contre 1,0% attendus.
"L'amélioration significative du chiffre d'affaires de nos activités au premier trimestre nous conforte dans notre capacité à accélérer la croissance de nos ventes tout au long de cette année", déclare François-Henri Pinault, PDG du groupe, dans un communiqué.
Il ajoute anticiper "une bonne progression des performances opérationnelles et financières en 2010".
Les ventes du premier trimestre ont bénéficié d'une accélération de la croissance organique dans le luxe (+6,1%) par rapport aux 3% du dernier trimestre 2009.
LVMH, numéro un mondial du secteur, a quant à lui vu les ventes de son pôle maroquinerie progresser de 10%.
Les ventes de PPR ont aussi profité d'une meilleure tenue de la consommation dans les activités de distribution (Conforama et Fnac, avec des hausses respectives de 2,6% et 1,6%), tandis que le pôle de vente à distance Redcats et l'équipementier sportif Puma sont encore restés dans le rouge (-0,5% et
-2,7%).
La valeur a clôturé mercredi à 103,95 euros (-1,38%) à la Bourse de Paris, signant la plus forte hausse (+23%) du secteur du luxe depuis janvier.
Le titre, qui a retrouvé ses niveaux de janvier 2008, a quasiment doublé depuis ses plus bas de juin 2009, un rattrapage guidé par la cession attendue à moyen terme de ses activités de distribution et par la reprise de la consommation constatée au premier trimestre dans le secteur du luxe.
Pascale Denis, édité par Benoît Van Overstraeten
LES ENSEIGNES MISES EN VENTE PAR PPR ONT VU LEUR ACTIVITE S'AMELIORER AU PREMIER TRIMESTRE
Lu sur le site du journal Les Echos le 29 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/index.htm
Les enseignes mises en vente par PPR ont vu leur activité s'améliorer au premier trimestre
[ 29/04/2010 - Les Echos ]
Le groupe de distribution et de luxe a publié un chiffre d'affaires des activités poursuivies de 4,1 milliards d'euros, en hausse de 1,3 % en comparable. Les ventes de la FNAC, de Redcats et de Conforama se sont améliorées.
http://www.lesechos.fr/info/distri/index.htm
Les enseignes mises en vente par PPR ont vu leur activité s'améliorer au premier trimestre
[ 29/04/2010 - Les Echos ]
Le groupe de distribution et de luxe a publié un chiffre d'affaires des activités poursuivies de 4,1 milliards d'euros, en hausse de 1,3 % en comparable. Les ventes de la FNAC, de Redcats et de Conforama se sont améliorées.
PPR : CHIFFRE D'AFFAIRES DU 1er TRIMESTRE 2010
Lu sur le site Zone Bourse le 29 avril 2010
http://www.zonebourse.com/PPR-4683/actualite/PPR-Chiffre-d-affaires-du-1er-trimestre-2010-13362302/
Ppr : Chiffre d'affaires du 1er trimestre 2010
28/04/2010 | 17:40
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 28 avril 2010
Chiffre d′affaires du 1er trimestre 2010
- Chiffre d′affaires en croissance de 1,3% en comparable
- Amélioration des tendances dans chacune des activités de PPR
Au 1er trimestre 2010, PPR a réalisé un chiffre d′affaires des activités poursuivies de
4,1 milliards d′euros, en croissance de 1,3% à périmètre et taux de change comparables et de 1,2% en réel par rapport au 1er trimestre 2009.
Les ventes sur Internet ont progressé de 14% au 1er trimestre 2010 en comparable par rapport au 1er trimestre 2009 et représentent 13% des ventes totales du groupe au 31 mars 2010. PPR a poursuivi son expansion à l′international et en particulier dans les pays émergents, qui représentent 34% des ventes de Gucci Group au 1er trimestre 2010.
François-Henri Pinault, Président-Directeur général de PPR, a déclaré :
" L′amélioration significative du chiffre d′affaires de nos activités au premier trimestre nous conforte dans notre capacité à accélérer la croissance de nos ventes tout au long de cette année. Ces performances sont en grande partie le fruit des offensives commerciales que nous avons engagées l′an passé et que nous poursuivons activement tout en maintenant nos efforts en matière de maîtrise des coûts. Ceci devrait nous permettre d′afficher une bonne progression de nos performances opérationnelles et financières en 2010 ".
T1 2010
Variation
Variation
(en millions d′E) Réel Comparable (1)
Fnac 982 + 2,4% + 1,6%
Redcats Group 844 - 2,6% - 0,5%
Conforama 730 + 2,9% + 2,6%
Puma 683 - 2,1% - 2,7%
Gucci Group 895 + 4,7% + 6,1%
Eliminations et autres -5 ns ns
PPR - Activités poursuivies 4 129 + 1,2% + 1,3%
(1) A périmètre et taux de change comparables.
Fnac
La Fnac confirme au 1er trimestre 2010 l′amélioration observée au 2ème semestre 2009, le chiffre d′affaires trimestriel progressant de 1,6% en comparable et 2,4% en réel par rapport au
1er trimestre 2009. En France, l′activité de l′enseigne est quasi stable (-0,6%) et les ventes en ligne progressent fortement (+15%). La dynamique commerciale du site bénéficie pleinement du très bon démarrage de la Market Place dont l′activité a été élargie à la mi-février à certains petits produits techniques. L′activité des produits techniques progresse et enregistre des gains de parts de marché. Les ventes des produits éditoriaux sont en baisse. A l′international, la Fnac enregistre une nouvelle progression de son chiffre d′affaires (+6,3% en comparable au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009). La reprise est forte au Portugal et en Espagne avec des gains de parts de marché très significatifs. Le Brésil affiche une forte croissance. La Belgique, l′Italie ainsi que la Suisse enregistrent un bon début d′année. Les nouveaux sites Internet basés sur la plateforme Fnac.com connaissent un excellent démarrage en Italie et en Espagne.
Redcats
Redcats affiche un 1er trimestre 2010 en nette amélioration avec un chiffre d′affaires quasi-stable (-0,5% en comparable et -2,6% en réel par rapport au 1er trimestre 2009). La nouvelle dynamique commerciale déployée à La Redoute permet à la marque d′inverser les tendances et d′afficher des ventes stables en France ce trimestre. A l′international, La Redoute progresse de 5% au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009, dynamisée par les ventes en ligne. L′activité en Scandinavie enregistre une nouvelle progression (+1%) sur le trimestre. Aux Etats-Unis, le chiffre d′affaires du pôle Grandes tailles a progressé de 2% au 1er trimestre 2010, tiré par la bonne performance des ventes à distance qui compense la baisse d′activité des magasins. Le pôle Sports & Loisirs enregistre un léger retrait sur des bases de comparaison élevées. Les ventes en ligne de Redcats poursuivent leur solide progression (+12%) et représentent 51% du chiffre d′affaires total au 1er trimestre 2010.
Conforama
Conforama renoue durablement avec la croissance. L′enseigne réalise au 1er trimestre 2010 sa meilleure performance depuis 2 ans et améliore la tendance mois après mois. Le chiffre d′affaires de Conforama progresse de 2,6% en comparable et de 2,9 % en réel au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. En France, l′activité progresse de 3% ; toutes les catégories de produits ont gagné des parts de marché ce trimestre, en particulier le meuble qui réalise des performances remarquables. Les ventes en ligne sont en croissance de 46% au
1er trimestre 2010. A l′international, le chiffre d′affaires de Conforama progresse de 2,3% au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Les performances sont excellentes dans la péninsule ibérique (+9% et +25% retraitées de la fermeture de 3 magasins en 2009) et en Suisse (+13%). L′Italie enregistre une activité en baisse de 11%, mais de 2% seulement si retraitée de la fermeture de 4 magasins en 2009.
Puma
Au 1er trimestre 2010, les ventes de Puma enregistrent un repli de 2,7% en comparable et 2,1% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité des magasins en propre a été impactée par les fermetures qui s′inscrivent dans le programme d′optimisation du réseau. Les ventes aux distributeurs tiers sont en léger retrait. L′activité de la zone Amériques a progressé de 10%, dynamisée par les bonnes performances des Chaussures. Les ventes sont en baisse dans la région Asie-Pacifique (-8%) et dans la zone Europe/Moyen-Orient/Afrique (-6%). Le niveau soutenu des prises de commandes dans la plupart des régions devrait se traduire par un rebond des ventes au second semestre.
Gucci Group
Gucci Group réalise un bon début d′année avec un chiffre d′affaires en progression de 6,1% en comparable et 4,7% en réel au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Toutes les marques ont enregistré une amélioration de leur activité mois après mois. Les ventes réalisées dans les boutiques en propre progressent de 9%, reflétant la puissance des marques du portefeuille. Les ventes aux distributeurs tiers sont stables et les prises de commandes des collections Automne/Hiver affichent des tendances très positives. Le chiffre d′affaires de la Maroquinerie progresse de 9%. Si les pays émergents tirent toujours la croissance de Gucci Group au 1er trimestre 2010 (+15%), tous les pays matures enregistrent également une amélioration de tendance solide à l′exception du Japon. Portée par le dynamisme de la Grande Chine (+39%), l′activité progresse de 22% dans la zone Asie-Pacifique hors Japon représentant 29% des ventes de Gucci Group au 1er trimestre 2010. Gucci Group totalise 615 boutiques en propre à la fin mars 2010, dont 157 dans les pays émergents.
Gucci
Au 1er trimestre 2010, le chiffre d′affaires de Gucci progresse de 5,3% en comparable et 3,8% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. Une vaste campagne institutionnelle mettant en valeur le savoir-faire artisanal de la marque, " Forever Now ", a été lancée au cours de ce trimestre. Les ventes réalisées dans les magasins en propre enregistrent une croissance de 7%. Les ventes aux distributeurs tiers progressent très légèrement et les carnets de commandes de la collection Automne/Hiver affichent des progressions à deux chiffres. L′activité de Gucci dans les pays émergents poursuit sa forte croissance (+16%) et représente 38% de son chiffre d′affaires ce trimestre. Les ventes progressent de 21% dans la zone Asie-Pacifique hors Japon et de 37% en Grande Chine qui représente 21% des ventes de Gucci au 1er trimestre. L′Europe occidentale enregistre une solide croissance (+11%) et représente 30% des ventes de Gucci ce trimestre. L′activité Timepieces confirme son succès commercial au 1er trimestre 2010, à +36%. La marque Gucci dispose à fin mars 2010 d′un réseau de 284 boutiques, dont 92 dans les pays émergents.
Bottega Veneta
Au 1er trimestre 2010, le chiffre d′affaires de Bottega Veneta progresse de 11,0% en comparable et de 9,5% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité du trimestre a été soutenue par une remarquable stratégie de communication qui a renforcé la notoriété de la marque et permis d′enregistrer des progressions de ventes à deux chiffres dans toutes les régions (exception faite du Japon). La zone Asie-Pacifique hors Japon représente désormais le premier marché de Bottega Veneta (31% de son chiffre d′affaires) et poursuit son excellente dynamique au
1er trimestre 2010 (+26%). Bottega Veneta progresse de 61% en Grande Chine qui représente 17% de son activité ce trimestre. La marque enregistre un rebond de croissance en Europe occidentale (+29%) et en Amérique du Nord (+13%). Toutes les collections connaissent un très bon début d′année. En Maroquinerie, les ventes sont tirées par les sacs iconiques. Les prises de commandes des collections Automne/Hiver sont encourageantes. Bottega Veneta totalise 137 boutiques à fin mars 2010, dont 39 dans les pays émergents.
Yves Saint Laurent
Yves Saint Laurent réalise un chiffre d′affaires en léger retrait (-0,7% en comparable et -1,7% en réel) au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité des boutiques en propre affiche une progression de 12% et toutes les régions enregistrent une croissance, y compris le Japon. Les ventes aux distributeurs tiers sont en repli de 19% ce trimestre mais les prises de commandes des collections Automne/Hiver affichent des tendances de progression à deux chiffres. Le montant des royalties liées aux activités parfums et cosmétiques progresse de 8%. La Maroquinerie poursuit sa croissance, dynamisée par le succès commercial des lignes historiques (Muse, Muse 2) et le lancement réussi du nouveau sac Roady. La zone Asie- Pacifique hors Japon progresse à nouveau fortement (+19%) ce trimestre, et représente 14% des ventes. L′activité rebondit en Amérique du Nord (+10%) et au Japon (+2%) mais est en retrait en Europe occidentale (-6%) du fait d′une baisse marquée des ventes aux distributeurs tiers. Yves Saint Laurent compte 66 boutiques à fin mars 2010 et poursuit le rééquilibrage géographique de son réseau.
Les autres marques
Le chiffre d′affaires des autres marques progresse de 8,9% en comparable et 7,6% en réel au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Balenciaga enregistre une croissance à deux chiffres, soutenue par l′extraordinaire succès de ses collections et par la forte visibilité résultant du lancement de son nouveau parfum pour femme. Boucheron réalise un bon début d′année dans les montres et la joaillerie. La collection Cirque du Soleil a été saluée dans le monde entier. Chez Sergio Rossi, les ventes du trimestre sont contrastées selon les régions. Alexander McQueen réalise une croissance exceptionnelle au 1er trimestre 2010. La performance de Stella McCartney est remarquable, tirée par les collections de prêt-à-porter et de sacs. Les autres marques disposent d′un réseau de 128 boutiques en propre à fin mars 2010.
Opérations et événements marquants intervenus depuis le 1er janvier 2010
Le 10 mars 2010, Puma a annoncé avoir signé avec la société Acushnet un accord au terme duquel Puma acquiert 100% de l′équipementier de golf Cobra. Cette acquisition inclut la marque Cobra, les stocks, les droits de propriété intellectuelle et les avenants aux contrats.
Le 25 mars 2010, PPR a réalisé une émission obligataire à taux fixe de 500 millions d′euros à
5 ans assortie d′un coupon de 3,75%.
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE
PPR tiendra une conférence téléphonique pour les analystes et les investisseurs à 18h00 (Europe continentale) / 17h00 (Royaume-Uni) / 12h00 (heure de la côte Est américaine) le mercredi 28 avril 2010.
Le numéro à composer est le :
Pour la France +33 (0) 1 70 99 42 73
Pour l′Angleterre +44 (0) 20 7138 0824
Pour les États Unis +1 212 444 0481
Code d′accès : 4702526
Retransmission :
France +33 (0) 1 74 20 28 00
UK +44 (0) 20 7111 1244
US +1 347 366 9565
Code d′accès retransmission : 4702526# (jusqu′au 18 mai 2010)
PRESENTATION
Les visuels de présentation (PDF) seront disponibles avant la conférence téléphonique sur le site www.ppr.com
A propos de PPR
PPR développe un portefeuille de marques mondiales à fort potentiel de croissance. Avec ses marques Grand Public et ses marques de Luxe, PPR a réalisé, en 2009, un chiffre d′affaires de 16,5 milliards d′euros. Le Groupe rassemble plus de 73 000 collaborateurs dans 59 pays. Le titre de PPR est coté à Euronext Paris (FR 0000121485, PRTP.PA, PPFP).
Retrouvez tout l′univers des marques de PPR sur www.ppr.com : Fnac, Redcats Group (La Redoute, Vertbaudet, Somewhere, Cyrillus, Daxon, Ellos, The Sportsman′s Guide, The Golf Warehouse et les marques du pôle grandes tailles), Conforama, Puma et les marques de luxe de Gucci Group (Gucci, Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Balenciaga, Boucheron, Sergio Rossi, Alexander McQueen et Stella McCartney).
Contacts
Presse : Charlotte Judet 01 45 64 65 06 cjudet@ppr.com
Analystes/Investisseurs : Alexandre de Brettes 01 45 64 61 49 adebrettes@ppr.com
Emmanuelle Marque 01 45 64 63 28 emarque@ppr.com
Site Internet : www.ppr.com
Annexe 1 : Chiffre d′affaires du premier trimestre 2010
Variation
Variation
(en millions d′E) T1 2010 T1 2009 Réel Comparable (1)
Fnac 982,2 959,1 + 2,4% + 1,6%
Redcats Group 843,7 866,6 - 2,6% - 0,5%
Conforama 730,1 709,8 + 2,9% + 2,6%
Puma 683,1 697,4 - 2,1% - 2,7%
Gucci Group 894,8 854,8 + 4,7% + 6,1%
Gucci 588,7 567,1 + 3,8% + 5,3%
Bottega Veneta 113,6 103,7 + 9,5% + 11,0%
Yves Saint Laurent 58,7 59,7 - 1,7% - 0,7%
Autres marques 133,8 124,3 + 7,6% + 8,9%
Eliminations et autres -4,6 -5,4 ns ns
PPR - Activités poursuivies 4 129,3 4 082,3 + 1,2% + 1,3%
Activités non poursuivies 22,4 745,9
(1) A périmètre et taux de change comparables.
Copyright Hugin
The appendixes relating to the press release are available on:
http://www.hugingroup.com/documents_ir/PJ/CO/2010/165569_88_4PG7_PPRCAT12010.pdf
Information réglementée :
Type : Nouvelle information
Thème(s):
Communiqués au titre de l′obligation d′information permanente - Communiqué sur comptes, résultats, chiffres d′affaires
Ce communiqué de presse est diffusé par Hugin. L′émetteur est seul responsable du contenu de ce communiqué.
http://www.zonebourse.com/PPR-4683/actualite/PPR-Chiffre-d-affaires-du-1er-trimestre-2010-13362302/
Ppr : Chiffre d'affaires du 1er trimestre 2010
28/04/2010 | 17:40
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 28 avril 2010
Chiffre d′affaires du 1er trimestre 2010
- Chiffre d′affaires en croissance de 1,3% en comparable
- Amélioration des tendances dans chacune des activités de PPR
Au 1er trimestre 2010, PPR a réalisé un chiffre d′affaires des activités poursuivies de
4,1 milliards d′euros, en croissance de 1,3% à périmètre et taux de change comparables et de 1,2% en réel par rapport au 1er trimestre 2009.
Les ventes sur Internet ont progressé de 14% au 1er trimestre 2010 en comparable par rapport au 1er trimestre 2009 et représentent 13% des ventes totales du groupe au 31 mars 2010. PPR a poursuivi son expansion à l′international et en particulier dans les pays émergents, qui représentent 34% des ventes de Gucci Group au 1er trimestre 2010.
François-Henri Pinault, Président-Directeur général de PPR, a déclaré :
" L′amélioration significative du chiffre d′affaires de nos activités au premier trimestre nous conforte dans notre capacité à accélérer la croissance de nos ventes tout au long de cette année. Ces performances sont en grande partie le fruit des offensives commerciales que nous avons engagées l′an passé et que nous poursuivons activement tout en maintenant nos efforts en matière de maîtrise des coûts. Ceci devrait nous permettre d′afficher une bonne progression de nos performances opérationnelles et financières en 2010 ".
T1 2010
Variation
Variation
(en millions d′E) Réel Comparable (1)
Fnac 982 + 2,4% + 1,6%
Redcats Group 844 - 2,6% - 0,5%
Conforama 730 + 2,9% + 2,6%
Puma 683 - 2,1% - 2,7%
Gucci Group 895 + 4,7% + 6,1%
Eliminations et autres -5 ns ns
PPR - Activités poursuivies 4 129 + 1,2% + 1,3%
(1) A périmètre et taux de change comparables.
Fnac
La Fnac confirme au 1er trimestre 2010 l′amélioration observée au 2ème semestre 2009, le chiffre d′affaires trimestriel progressant de 1,6% en comparable et 2,4% en réel par rapport au
1er trimestre 2009. En France, l′activité de l′enseigne est quasi stable (-0,6%) et les ventes en ligne progressent fortement (+15%). La dynamique commerciale du site bénéficie pleinement du très bon démarrage de la Market Place dont l′activité a été élargie à la mi-février à certains petits produits techniques. L′activité des produits techniques progresse et enregistre des gains de parts de marché. Les ventes des produits éditoriaux sont en baisse. A l′international, la Fnac enregistre une nouvelle progression de son chiffre d′affaires (+6,3% en comparable au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009). La reprise est forte au Portugal et en Espagne avec des gains de parts de marché très significatifs. Le Brésil affiche une forte croissance. La Belgique, l′Italie ainsi que la Suisse enregistrent un bon début d′année. Les nouveaux sites Internet basés sur la plateforme Fnac.com connaissent un excellent démarrage en Italie et en Espagne.
Redcats
Redcats affiche un 1er trimestre 2010 en nette amélioration avec un chiffre d′affaires quasi-stable (-0,5% en comparable et -2,6% en réel par rapport au 1er trimestre 2009). La nouvelle dynamique commerciale déployée à La Redoute permet à la marque d′inverser les tendances et d′afficher des ventes stables en France ce trimestre. A l′international, La Redoute progresse de 5% au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009, dynamisée par les ventes en ligne. L′activité en Scandinavie enregistre une nouvelle progression (+1%) sur le trimestre. Aux Etats-Unis, le chiffre d′affaires du pôle Grandes tailles a progressé de 2% au 1er trimestre 2010, tiré par la bonne performance des ventes à distance qui compense la baisse d′activité des magasins. Le pôle Sports & Loisirs enregistre un léger retrait sur des bases de comparaison élevées. Les ventes en ligne de Redcats poursuivent leur solide progression (+12%) et représentent 51% du chiffre d′affaires total au 1er trimestre 2010.
Conforama
Conforama renoue durablement avec la croissance. L′enseigne réalise au 1er trimestre 2010 sa meilleure performance depuis 2 ans et améliore la tendance mois après mois. Le chiffre d′affaires de Conforama progresse de 2,6% en comparable et de 2,9 % en réel au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. En France, l′activité progresse de 3% ; toutes les catégories de produits ont gagné des parts de marché ce trimestre, en particulier le meuble qui réalise des performances remarquables. Les ventes en ligne sont en croissance de 46% au
1er trimestre 2010. A l′international, le chiffre d′affaires de Conforama progresse de 2,3% au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Les performances sont excellentes dans la péninsule ibérique (+9% et +25% retraitées de la fermeture de 3 magasins en 2009) et en Suisse (+13%). L′Italie enregistre une activité en baisse de 11%, mais de 2% seulement si retraitée de la fermeture de 4 magasins en 2009.
Puma
Au 1er trimestre 2010, les ventes de Puma enregistrent un repli de 2,7% en comparable et 2,1% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité des magasins en propre a été impactée par les fermetures qui s′inscrivent dans le programme d′optimisation du réseau. Les ventes aux distributeurs tiers sont en léger retrait. L′activité de la zone Amériques a progressé de 10%, dynamisée par les bonnes performances des Chaussures. Les ventes sont en baisse dans la région Asie-Pacifique (-8%) et dans la zone Europe/Moyen-Orient/Afrique (-6%). Le niveau soutenu des prises de commandes dans la plupart des régions devrait se traduire par un rebond des ventes au second semestre.
Gucci Group
Gucci Group réalise un bon début d′année avec un chiffre d′affaires en progression de 6,1% en comparable et 4,7% en réel au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Toutes les marques ont enregistré une amélioration de leur activité mois après mois. Les ventes réalisées dans les boutiques en propre progressent de 9%, reflétant la puissance des marques du portefeuille. Les ventes aux distributeurs tiers sont stables et les prises de commandes des collections Automne/Hiver affichent des tendances très positives. Le chiffre d′affaires de la Maroquinerie progresse de 9%. Si les pays émergents tirent toujours la croissance de Gucci Group au 1er trimestre 2010 (+15%), tous les pays matures enregistrent également une amélioration de tendance solide à l′exception du Japon. Portée par le dynamisme de la Grande Chine (+39%), l′activité progresse de 22% dans la zone Asie-Pacifique hors Japon représentant 29% des ventes de Gucci Group au 1er trimestre 2010. Gucci Group totalise 615 boutiques en propre à la fin mars 2010, dont 157 dans les pays émergents.
Gucci
Au 1er trimestre 2010, le chiffre d′affaires de Gucci progresse de 5,3% en comparable et 3,8% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. Une vaste campagne institutionnelle mettant en valeur le savoir-faire artisanal de la marque, " Forever Now ", a été lancée au cours de ce trimestre. Les ventes réalisées dans les magasins en propre enregistrent une croissance de 7%. Les ventes aux distributeurs tiers progressent très légèrement et les carnets de commandes de la collection Automne/Hiver affichent des progressions à deux chiffres. L′activité de Gucci dans les pays émergents poursuit sa forte croissance (+16%) et représente 38% de son chiffre d′affaires ce trimestre. Les ventes progressent de 21% dans la zone Asie-Pacifique hors Japon et de 37% en Grande Chine qui représente 21% des ventes de Gucci au 1er trimestre. L′Europe occidentale enregistre une solide croissance (+11%) et représente 30% des ventes de Gucci ce trimestre. L′activité Timepieces confirme son succès commercial au 1er trimestre 2010, à +36%. La marque Gucci dispose à fin mars 2010 d′un réseau de 284 boutiques, dont 92 dans les pays émergents.
Bottega Veneta
Au 1er trimestre 2010, le chiffre d′affaires de Bottega Veneta progresse de 11,0% en comparable et de 9,5% en réel par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité du trimestre a été soutenue par une remarquable stratégie de communication qui a renforcé la notoriété de la marque et permis d′enregistrer des progressions de ventes à deux chiffres dans toutes les régions (exception faite du Japon). La zone Asie-Pacifique hors Japon représente désormais le premier marché de Bottega Veneta (31% de son chiffre d′affaires) et poursuit son excellente dynamique au
1er trimestre 2010 (+26%). Bottega Veneta progresse de 61% en Grande Chine qui représente 17% de son activité ce trimestre. La marque enregistre un rebond de croissance en Europe occidentale (+29%) et en Amérique du Nord (+13%). Toutes les collections connaissent un très bon début d′année. En Maroquinerie, les ventes sont tirées par les sacs iconiques. Les prises de commandes des collections Automne/Hiver sont encourageantes. Bottega Veneta totalise 137 boutiques à fin mars 2010, dont 39 dans les pays émergents.
Yves Saint Laurent
Yves Saint Laurent réalise un chiffre d′affaires en léger retrait (-0,7% en comparable et -1,7% en réel) au 1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. L′activité des boutiques en propre affiche une progression de 12% et toutes les régions enregistrent une croissance, y compris le Japon. Les ventes aux distributeurs tiers sont en repli de 19% ce trimestre mais les prises de commandes des collections Automne/Hiver affichent des tendances de progression à deux chiffres. Le montant des royalties liées aux activités parfums et cosmétiques progresse de 8%. La Maroquinerie poursuit sa croissance, dynamisée par le succès commercial des lignes historiques (Muse, Muse 2) et le lancement réussi du nouveau sac Roady. La zone Asie- Pacifique hors Japon progresse à nouveau fortement (+19%) ce trimestre, et représente 14% des ventes. L′activité rebondit en Amérique du Nord (+10%) et au Japon (+2%) mais est en retrait en Europe occidentale (-6%) du fait d′une baisse marquée des ventes aux distributeurs tiers. Yves Saint Laurent compte 66 boutiques à fin mars 2010 et poursuit le rééquilibrage géographique de son réseau.
Les autres marques
Le chiffre d′affaires des autres marques progresse de 8,9% en comparable et 7,6% en réel au
1er trimestre 2010 par rapport au 1er trimestre 2009. Balenciaga enregistre une croissance à deux chiffres, soutenue par l′extraordinaire succès de ses collections et par la forte visibilité résultant du lancement de son nouveau parfum pour femme. Boucheron réalise un bon début d′année dans les montres et la joaillerie. La collection Cirque du Soleil a été saluée dans le monde entier. Chez Sergio Rossi, les ventes du trimestre sont contrastées selon les régions. Alexander McQueen réalise une croissance exceptionnelle au 1er trimestre 2010. La performance de Stella McCartney est remarquable, tirée par les collections de prêt-à-porter et de sacs. Les autres marques disposent d′un réseau de 128 boutiques en propre à fin mars 2010.
Opérations et événements marquants intervenus depuis le 1er janvier 2010
Le 10 mars 2010, Puma a annoncé avoir signé avec la société Acushnet un accord au terme duquel Puma acquiert 100% de l′équipementier de golf Cobra. Cette acquisition inclut la marque Cobra, les stocks, les droits de propriété intellectuelle et les avenants aux contrats.
Le 25 mars 2010, PPR a réalisé une émission obligataire à taux fixe de 500 millions d′euros à
5 ans assortie d′un coupon de 3,75%.
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE
PPR tiendra une conférence téléphonique pour les analystes et les investisseurs à 18h00 (Europe continentale) / 17h00 (Royaume-Uni) / 12h00 (heure de la côte Est américaine) le mercredi 28 avril 2010.
Le numéro à composer est le :
Pour la France +33 (0) 1 70 99 42 73
Pour l′Angleterre +44 (0) 20 7138 0824
Pour les États Unis +1 212 444 0481
Code d′accès : 4702526
Retransmission :
France +33 (0) 1 74 20 28 00
UK +44 (0) 20 7111 1244
US +1 347 366 9565
Code d′accès retransmission : 4702526# (jusqu′au 18 mai 2010)
PRESENTATION
Les visuels de présentation (PDF) seront disponibles avant la conférence téléphonique sur le site www.ppr.com
A propos de PPR
PPR développe un portefeuille de marques mondiales à fort potentiel de croissance. Avec ses marques Grand Public et ses marques de Luxe, PPR a réalisé, en 2009, un chiffre d′affaires de 16,5 milliards d′euros. Le Groupe rassemble plus de 73 000 collaborateurs dans 59 pays. Le titre de PPR est coté à Euronext Paris (FR 0000121485, PRTP.PA, PPFP).
Retrouvez tout l′univers des marques de PPR sur www.ppr.com : Fnac, Redcats Group (La Redoute, Vertbaudet, Somewhere, Cyrillus, Daxon, Ellos, The Sportsman′s Guide, The Golf Warehouse et les marques du pôle grandes tailles), Conforama, Puma et les marques de luxe de Gucci Group (Gucci, Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Balenciaga, Boucheron, Sergio Rossi, Alexander McQueen et Stella McCartney).
Contacts
Presse : Charlotte Judet 01 45 64 65 06 cjudet@ppr.com
Analystes/Investisseurs : Alexandre de Brettes 01 45 64 61 49 adebrettes@ppr.com
Emmanuelle Marque 01 45 64 63 28 emarque@ppr.com
Site Internet : www.ppr.com
Annexe 1 : Chiffre d′affaires du premier trimestre 2010
Variation
Variation
(en millions d′E) T1 2010 T1 2009 Réel Comparable (1)
Fnac 982,2 959,1 + 2,4% + 1,6%
Redcats Group 843,7 866,6 - 2,6% - 0,5%
Conforama 730,1 709,8 + 2,9% + 2,6%
Puma 683,1 697,4 - 2,1% - 2,7%
Gucci Group 894,8 854,8 + 4,7% + 6,1%
Gucci 588,7 567,1 + 3,8% + 5,3%
Bottega Veneta 113,6 103,7 + 9,5% + 11,0%
Yves Saint Laurent 58,7 59,7 - 1,7% - 0,7%
Autres marques 133,8 124,3 + 7,6% + 8,9%
Eliminations et autres -4,6 -5,4 ns ns
PPR - Activités poursuivies 4 129,3 4 082,3 + 1,2% + 1,3%
Activités non poursuivies 22,4 745,9
(1) A périmètre et taux de change comparables.
Copyright Hugin
The appendixes relating to the press release are available on:
http://www.hugingroup.com/documents_ir/PJ/CO/2010/165569_88_4PG7_PPRCAT12010.pdf
Information réglementée :
Type : Nouvelle information
Thème(s):
Communiqués au titre de l′obligation d′information permanente - Communiqué sur comptes, résultats, chiffres d′affaires
Ce communiqué de presse est diffusé par Hugin. L′émetteur est seul responsable du contenu de ce communiqué.
STYLECO : OUVERTURE DE 13 MAGASINS EN FRANCE
Lu sur le site de Franchise Magazine le 29 avril 2010
http://www.franchise-magazine.com/communique-franchise-styleco-ouverture-de-13-magasins-en-france-1468.html
Styleco : Ouverture de 13 magasins en France
JL International renforce son réseau Styleco : ouverture de 13 nouveaux magasins en France
Depuis plus de 25 ans, JL International est la maison mère de Styleco, réseau de distribution en propre, enseigne regroupant des magasins succursales, des magasins partenaires et des magasins affiliés.
Poursuivant sa stratégie d’expansion sur le territoire national, JL International vient d’annoncer l’ouverture de 13 nouveaux magasins Styleco pour le premier semestre 2010, à Albert, Chinon, Colombiers, Friville-Escarbotin, Lavaur, Mamers, Oisemont, Oyonnax, Questembert, Rostrenen, Saint-Constest, Saint-Paul-Lès-Dax et Somain*.
Avec une surface moyenne de 793 m2 par ouverture, l’enseigne voit progresser sa surface globale de vente de plus de 13 %.
Environ 40% de ces ouvertures viennent développer le réseau de magasins Styleco que JL International possède en propre tandis que les autres ont été réalisées par des partenaires.
Parmi ces magasins ouverts entre mars et avril, neuf étaient détenus jusqu’alors par VETI. Le groupe a ainsi acquis des emplacements particulièrement stratégiques, des effectifs qualifiés et motivés par la perspective d’un nouveau challenge.
A l’occasion de ces implantations, JL International a reçu un accueil particulièrement chaleureux de la part de sa nouvelle clientèle locale privée jusqu’alors d’une enseigne textile de qualité.
Ces 13 nouvelles ouvertures viennent s’ajouter aux 147 magasins Styleco existants et devraient en appeler d’autres au cours du second semestre 2010 puisque quatre autres projets sont d’ores et déjà finalisés.
De nouvelles implantations et un dynamisme affiché qui consolident le positionnement et la visibilité du réseau Styleco.
*Albert (80) : 720 m², Chinon (37) : 875 m², Colombiers (34) : 960 m², Friville-Escarbotin (80) : 590 m², Lavaur (81) : 735 m², Mamers (72) : 920 m², Oisemont (80) : 550 m², Oyonnax (01) : 790 m², Questembert (56) : 825 m², Rostrenen (22) : 950 m², Saint-Constest (14) : 950 m², Saint-Paul-lès-Dax (40) : 920 m², Somain (59) : 560 m².
http://www.franchise-magazine.com/communique-franchise-styleco-ouverture-de-13-magasins-en-france-1468.html
Styleco : Ouverture de 13 magasins en France
JL International renforce son réseau Styleco : ouverture de 13 nouveaux magasins en France
Depuis plus de 25 ans, JL International est la maison mère de Styleco, réseau de distribution en propre, enseigne regroupant des magasins succursales, des magasins partenaires et des magasins affiliés.
Poursuivant sa stratégie d’expansion sur le territoire national, JL International vient d’annoncer l’ouverture de 13 nouveaux magasins Styleco pour le premier semestre 2010, à Albert, Chinon, Colombiers, Friville-Escarbotin, Lavaur, Mamers, Oisemont, Oyonnax, Questembert, Rostrenen, Saint-Constest, Saint-Paul-Lès-Dax et Somain*.
Avec une surface moyenne de 793 m2 par ouverture, l’enseigne voit progresser sa surface globale de vente de plus de 13 %.
Environ 40% de ces ouvertures viennent développer le réseau de magasins Styleco que JL International possède en propre tandis que les autres ont été réalisées par des partenaires.
Parmi ces magasins ouverts entre mars et avril, neuf étaient détenus jusqu’alors par VETI. Le groupe a ainsi acquis des emplacements particulièrement stratégiques, des effectifs qualifiés et motivés par la perspective d’un nouveau challenge.
A l’occasion de ces implantations, JL International a reçu un accueil particulièrement chaleureux de la part de sa nouvelle clientèle locale privée jusqu’alors d’une enseigne textile de qualité.
Ces 13 nouvelles ouvertures viennent s’ajouter aux 147 magasins Styleco existants et devraient en appeler d’autres au cours du second semestre 2010 puisque quatre autres projets sont d’ores et déjà finalisés.
De nouvelles implantations et un dynamisme affiché qui consolident le positionnement et la visibilité du réseau Styleco.
*Albert (80) : 720 m², Chinon (37) : 875 m², Colombiers (34) : 960 m², Friville-Escarbotin (80) : 590 m², Lavaur (81) : 735 m², Mamers (72) : 920 m², Oisemont (80) : 550 m², Oyonnax (01) : 790 m², Questembert (56) : 825 m², Rostrenen (22) : 950 m², Saint-Constest (14) : 950 m², Saint-Paul-lès-Dax (40) : 920 m², Somain (59) : 560 m².
mercredi 28 avril 2010
LEADER PRICE EXASPERE SES "CHERS CONCURRENTS"
Lu sur le site du journal Le Monde le 28 avril 2010
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/04/27/leader-price-exaspere-ses-chers-concurrents_1343279_3234.html
Leader Price exaspère ses "chers concurrents"
Qui est le moins cher ? Les groupes de grande distribution assènent régulièrement leur propre réponse à cette question dans leurs publicités comparatives - un procédé qui suscite toujours la controverse. Leader Price ne fait pas exception. A la mi-avril, la filiale du groupe Casino a lancé une campagne visant ses concurrents Leclerc et Carrefour. Mais ce dernier, qui n'a guère apprécié l'exercice de comparaison en sa défaveur, a riposté en assignant Leader Price en référé, mercredi 21 avril.
NOUVEAU : Les articles du journal Le Monde dès 15h dans un grand confort de lecture
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Sur le même sujet
Les faits Intermarché condamné à 40 000 euros d'amende pour publicité trompeuse
Edition abonnés Archive : En 2009, Casino est resté à l'écart de la guerre des prix pour préserver ses marges
Le tribunal de commerce de Paris, qui a statué vendredi 23 avril, l'a débouté de sa demande de cessation de diffusion de la publicité incriminée. Cependant, il a condamné la filiale de Casino à verser 10 000 euros au plaignant au titre des frais engagés par la procédure. Carrefour ne souhaite pas en rester là. Il va maintenant poursuivre Leader Price sur le fond pour atteinte à son image.
"Chers concurrents, très chers concurrents, merci de prouver chaque jour que nous sommes les moins chers", clamait l'enseigne discompte en affichant trois tickets de caisse listant 49 produits dont les prix ont été comparés. Et d'affirmer que le montant de l'addition est supérieur de 22 % chez Leclerc et de 34 % chez Carrefour.
Cette publicité, préparée par Leader Price avec l'agence CA Communication, a été diffusée en affichage, dans la presse quotidienne régionale, en radio et sur Internet. Tout était minutieusement cadré. L'enseigne avait d'abord testé le concept en région, histoire de cadrer le projet, qui nécessite de nombreux relevés de prix constatés par huissier et une base juridique précise.
Quant au moment de l'attaque, il n'a pas été choisi au hasard. Après être resté à l'écart de l'intense guerre des prix que se sont livrées les enseignes en 2009, le groupe Casino a décidé de faire un grand coup de baisse des étiquettes dans les magasins Leader Price en mars et avril, avec des rabais de l'ordre de 20 % à 25 %. Pour le faire savoir, le groupe a brandi l'arme fatale : la publicité comparative.
Il suit en cela les traces de Leclerc. Michel-Edouard Leclerc, le grand communicateur de l'enseigne, a d'ailleurs immédiatement réagi sur son blog "De quoi je me M.E.L.". Sur un ton ironique, voire condescendant, il répond à ceux qui s'interrogeaient sur une éventuelle action en justice de Leclerc : "Soyons beaux joueurs, aidons Leader Price à améliorer son expertise de la publicité comparative. Vous verrez, un jour, ils auront le courage de publier, comme nous, les prix de 1 500 articles parmi les plus vendus dans les magasins." Il conteste aussi la comparaison entre des produits de marques de distributeurs, par nature différents.
Chez Leclerc, cette réponse s'est doublée d'une réplique publicitaire conçue par l'agence Australie. L'enjeu : minimiser le terrain de comparaison en affirmant qu'un chariot de 49 produits n'est pas suffisant pour s'acheter une image d'enseigne à prix bas. Et réaffirmer sa revendication d'"être le moins cher", une stratégie de communication qui s'appuie sur les résultats du baromètre maison, le comparateur "quiestlemoinscher".
En 2006, le lancement d'une première version de ce comparateur de prix avait provoqué une réaction immédiate de Carrefour qui avait porté l'affaire devant les tribunaux. Cette bataille judiciaire s'est achevée en février, la Cour de cassation ayant refusé le pourvoi formé par Carrefour pour faire interdire ce comparateur.
"La grande distribution utilise la publicité comparative dans une optique de "coup médiatique". C'est un point paroxystique d'une bataille d'enseignes pour leur "image prix". Mais la loi française reste contraignante : soit on ne compare pas grand-chose, soit c'est contestable", affirme le patron de l'agence TBWA Paris, Guillaume Pannaud, qui a conçu l'une des premières publicités comparatives en France pour la purée Vico en 2003.
Autorisé en 1992, cet outil a vu ses règles d'utilisation s'assouplir en 2001 avec la transposition d'une directive européenne, mais son usage reste délicat. On est loin des sagas américaines comme le duel Apple-Microsoft, où le groupe à la pomme s'acharne à ringardiser le leader mondial du logiciel...
Laurence Girard
Article paru dans l'édition du 28.04.10
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/04/27/leader-price-exaspere-ses-chers-concurrents_1343279_3234.html
Leader Price exaspère ses "chers concurrents"
Qui est le moins cher ? Les groupes de grande distribution assènent régulièrement leur propre réponse à cette question dans leurs publicités comparatives - un procédé qui suscite toujours la controverse. Leader Price ne fait pas exception. A la mi-avril, la filiale du groupe Casino a lancé une campagne visant ses concurrents Leclerc et Carrefour. Mais ce dernier, qui n'a guère apprécié l'exercice de comparaison en sa défaveur, a riposté en assignant Leader Price en référé, mercredi 21 avril.
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"Chers concurrents, très chers concurrents, merci de prouver chaque jour que nous sommes les moins chers", clamait l'enseigne discompte en affichant trois tickets de caisse listant 49 produits dont les prix ont été comparés. Et d'affirmer que le montant de l'addition est supérieur de 22 % chez Leclerc et de 34 % chez Carrefour.
Cette publicité, préparée par Leader Price avec l'agence CA Communication, a été diffusée en affichage, dans la presse quotidienne régionale, en radio et sur Internet. Tout était minutieusement cadré. L'enseigne avait d'abord testé le concept en région, histoire de cadrer le projet, qui nécessite de nombreux relevés de prix constatés par huissier et une base juridique précise.
Quant au moment de l'attaque, il n'a pas été choisi au hasard. Après être resté à l'écart de l'intense guerre des prix que se sont livrées les enseignes en 2009, le groupe Casino a décidé de faire un grand coup de baisse des étiquettes dans les magasins Leader Price en mars et avril, avec des rabais de l'ordre de 20 % à 25 %. Pour le faire savoir, le groupe a brandi l'arme fatale : la publicité comparative.
Il suit en cela les traces de Leclerc. Michel-Edouard Leclerc, le grand communicateur de l'enseigne, a d'ailleurs immédiatement réagi sur son blog "De quoi je me M.E.L.". Sur un ton ironique, voire condescendant, il répond à ceux qui s'interrogeaient sur une éventuelle action en justice de Leclerc : "Soyons beaux joueurs, aidons Leader Price à améliorer son expertise de la publicité comparative. Vous verrez, un jour, ils auront le courage de publier, comme nous, les prix de 1 500 articles parmi les plus vendus dans les magasins." Il conteste aussi la comparaison entre des produits de marques de distributeurs, par nature différents.
Chez Leclerc, cette réponse s'est doublée d'une réplique publicitaire conçue par l'agence Australie. L'enjeu : minimiser le terrain de comparaison en affirmant qu'un chariot de 49 produits n'est pas suffisant pour s'acheter une image d'enseigne à prix bas. Et réaffirmer sa revendication d'"être le moins cher", une stratégie de communication qui s'appuie sur les résultats du baromètre maison, le comparateur "quiestlemoinscher".
En 2006, le lancement d'une première version de ce comparateur de prix avait provoqué une réaction immédiate de Carrefour qui avait porté l'affaire devant les tribunaux. Cette bataille judiciaire s'est achevée en février, la Cour de cassation ayant refusé le pourvoi formé par Carrefour pour faire interdire ce comparateur.
"La grande distribution utilise la publicité comparative dans une optique de "coup médiatique". C'est un point paroxystique d'une bataille d'enseignes pour leur "image prix". Mais la loi française reste contraignante : soit on ne compare pas grand-chose, soit c'est contestable", affirme le patron de l'agence TBWA Paris, Guillaume Pannaud, qui a conçu l'une des premières publicités comparatives en France pour la purée Vico en 2003.
Autorisé en 1992, cet outil a vu ses règles d'utilisation s'assouplir en 2001 avec la transposition d'une directive européenne, mais son usage reste délicat. On est loin des sagas américaines comme le duel Apple-Microsoft, où le groupe à la pomme s'acharne à ringardiser le leader mondial du logiciel...
Laurence Girard
Article paru dans l'édition du 28.04.10
FORMEN N'EST PAS RACHETE PAR CELIO
Lu sur le site du journal La Dépêche le 28 avril 2010
http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/28/824912-Formen-n-est-pas-rachete-par-celio.html
Formen n'est pas racheté par Celio
Le conseil de direction du groupe Formen apporte un démenti par rapport au titre paru dans notre édition du samedi 24 avril. En effet, le groupe Formen n'est nullement cédé au groupe Celio. Les deux groupes ont signé un accord de partenariat qui permet à Formen de poursuivre son développement sous l'enseigne Celio (n° 1 français du Prêt à Porter masculin). Des contrats d'affiliation vont permettre de transformer 41 magasins Formen en Celio à partir du mois d'août. Le Groupe Formen reste propriétaire de ses fonds de commerces et développera, en 2011, d'autres magasins sous l'enseigne Celio.
Par ailleurs, la centrale d'achats SOCAFOR International va développer un réseau de magasins sous l'enseigne Oliphil grâce à un nouveau concept qui permettra de positionner cette marque parmi les principaux leaders du Rugbywear en France.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/28/824912-Formen-n-est-pas-rachete-par-celio.html
Formen n'est pas racheté par Celio
Le conseil de direction du groupe Formen apporte un démenti par rapport au titre paru dans notre édition du samedi 24 avril. En effet, le groupe Formen n'est nullement cédé au groupe Celio. Les deux groupes ont signé un accord de partenariat qui permet à Formen de poursuivre son développement sous l'enseigne Celio (n° 1 français du Prêt à Porter masculin). Des contrats d'affiliation vont permettre de transformer 41 magasins Formen en Celio à partir du mois d'août. Le Groupe Formen reste propriétaire de ses fonds de commerces et développera, en 2011, d'autres magasins sous l'enseigne Celio.
Par ailleurs, la centrale d'achats SOCAFOR International va développer un réseau de magasins sous l'enseigne Oliphil grâce à un nouveau concept qui permettra de positionner cette marque parmi les principaux leaders du Rugbywear en France.
TADDUNI C'EST FINI
Lu sur le site Zoom 43.fr du le 28 avril 2010
http://www.zoom43.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=44145&strArtTypId=2
Brives-Charensac : Tadduni c'est fini
Ce mercredi après-midi, le tribunal de commerce de St-Etienne devrait mettre fin à Tadduni. Fondée juste après la seconde guerre mondiale, l'enseigne légendaire devrait définitivement tirer le rideau avant la fin de la semaine faute de repreneur. Depuis le placement de l'entreprise, il y a un an, en redressement judiciaire, il ne reste plus que deux magasins (St-Etienne et Brives-Charensac) alors qu'à son apogée, une douzaine de boutiques "cassaient les prix" sur le sol français. Au magasin de Brives-Charensac, les moins 70 % étaient accompagnés d'un pincement au coeur. Le 27/04/2010
"Emotionnellement, c'est un peu dur, moi je laisse 20 ans derrière moi. On avait notre clientèle attitrée, il y avait donc forcément des affinités qui s'étaient créées au long des années" remarque Laurie, responsable du magasin Tadduni de Brives-Charensac. Elle poursuit : "il y a beaucoup de gens qui regrettent que le magasin ferme, les clientes venaient ici, même si elles n'achetaient rien, il y avait toujours une discussion avec le personnel, on était vraiment un commerce de proximité". Une proximité qui existe à Corsac depuis 22 ans. Sauf coup de théâtre, mercredi soir sera la dernière représentation.
Tout le monde fouillait
Dans les travées du magasin de prêt à porter à petit prix, on croise encore quelques clientes. Avec des réductions à moins 70 %, la grosse affluence a surtout eu lieu la première semaine et le stock a été considérablement décimé. Marie-Claire, cliente habituelle, regrette cette fermeture : "ça fait de la peine de les voir fermer, c'était sympa comme magasin. On y trouvait des sous-vêtements pas très chers et de bonne qualité, c'était le seul magasin à proposer ce rapport qualité prix. C'était un commerce de proximité, c'était bien pratique mais bon... il reste encore deux trois bricoles à moins 70 % alors ça vaut le coup". Avec un soupçon de nostalgie dans son pas, elle retourne à ses achats.
[Une poignée de clientes fouille dans les présentoirs, Arlette fouille elle dans ses souvenirs. /MP ] Alors qu'une poignée de clientes fouille dans les présentoirs, Arlette, une habituée de très longue date, fouille dans ses souvenirs : " je connais bien Tadduni, depuis l'ouverture du premier magasin à Saint-Etienne. Je me souviens, ma maman nous y menait avec nos propres enfants et Monsieur Tadduni disait "allez madame, mais prenez un sac, allez !" et il le remplissait et il disait "pour vos petits enfants, allez, c'est cadeau". Tout était dans des cartons, par terre et tout le monde fouillait".
Mais les temps ont changé. La multiplication des magasins discount, à prix cassés, les solderies et autres magasins de déstockage ont fleuri, venant directement concurencer Tadduni jusque sur ses terres. Arlette regrette cette évolution : "Maintenant, avec tous ces produits qui viennent de Chine, nous on aime [Arlette: ''tous ces produits qui viennent de Chine, nous on aime pas tellement''. / MP] pas tellement alors qu'à Tadduni, il y avait des produits de marque française, de qualité et surtout pas cher. Pour nos hommes, on y prenait les pantalons parce qu'il n'y avait que ceux là qui leur allaient. Nos parents, puis nous, on y a habillé nos enfants puis nos petits enfants donc on est forcément déçu d'apprendre la fermeture de l'enseigne".
Vague à l'âme
Sur les deux sites, il reste encore seize employés. Tous devraient se trouver au chômage dans la foulée. Laurie, présente depuis 20 ans au magasin de prêt à porter de Corsac relativise : " on est sans amertume bien sûr puisque nous, on ne nous a jamais caché ce qui se passait donc ça fait une petite année qu'on sait que les magasins sont en vente et malheureusement, le jour J, c'est demain soir". Mais comment expliquer cette fermeture ? "Il y a beaucoup de choses qui se sont passées : il y a eu la crise au départ, après, c'est un cercle vicieux, des fournisseurs à prix moyen qui ferment aussi et ainsi de suite, c'est un engrenage qui se fait au fil des mois".
[A droite, Laurie, en compagnie d'une employée du magasin de Corsac, laisse 20 ans derrière elle./MP] Déçue de la fermeture, elle apprécie quand même le soutien de sa clientèle : "ça nous a fait beaucoup de bien de revoir les gens, parfois des clientes de longue date que l'on avait pas revues depuis longtemps et ça nous a aussi mis un peu le vague à l'âme".
Maxime Pitavy
http://www.zoom43.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=44145&strArtTypId=2
Brives-Charensac : Tadduni c'est fini
Ce mercredi après-midi, le tribunal de commerce de St-Etienne devrait mettre fin à Tadduni. Fondée juste après la seconde guerre mondiale, l'enseigne légendaire devrait définitivement tirer le rideau avant la fin de la semaine faute de repreneur. Depuis le placement de l'entreprise, il y a un an, en redressement judiciaire, il ne reste plus que deux magasins (St-Etienne et Brives-Charensac) alors qu'à son apogée, une douzaine de boutiques "cassaient les prix" sur le sol français. Au magasin de Brives-Charensac, les moins 70 % étaient accompagnés d'un pincement au coeur. Le 27/04/2010
"Emotionnellement, c'est un peu dur, moi je laisse 20 ans derrière moi. On avait notre clientèle attitrée, il y avait donc forcément des affinités qui s'étaient créées au long des années" remarque Laurie, responsable du magasin Tadduni de Brives-Charensac. Elle poursuit : "il y a beaucoup de gens qui regrettent que le magasin ferme, les clientes venaient ici, même si elles n'achetaient rien, il y avait toujours une discussion avec le personnel, on était vraiment un commerce de proximité". Une proximité qui existe à Corsac depuis 22 ans. Sauf coup de théâtre, mercredi soir sera la dernière représentation.
Tout le monde fouillait
Dans les travées du magasin de prêt à porter à petit prix, on croise encore quelques clientes. Avec des réductions à moins 70 %, la grosse affluence a surtout eu lieu la première semaine et le stock a été considérablement décimé. Marie-Claire, cliente habituelle, regrette cette fermeture : "ça fait de la peine de les voir fermer, c'était sympa comme magasin. On y trouvait des sous-vêtements pas très chers et de bonne qualité, c'était le seul magasin à proposer ce rapport qualité prix. C'était un commerce de proximité, c'était bien pratique mais bon... il reste encore deux trois bricoles à moins 70 % alors ça vaut le coup". Avec un soupçon de nostalgie dans son pas, elle retourne à ses achats.
[Une poignée de clientes fouille dans les présentoirs, Arlette fouille elle dans ses souvenirs. /MP ] Alors qu'une poignée de clientes fouille dans les présentoirs, Arlette, une habituée de très longue date, fouille dans ses souvenirs : " je connais bien Tadduni, depuis l'ouverture du premier magasin à Saint-Etienne. Je me souviens, ma maman nous y menait avec nos propres enfants et Monsieur Tadduni disait "allez madame, mais prenez un sac, allez !" et il le remplissait et il disait "pour vos petits enfants, allez, c'est cadeau". Tout était dans des cartons, par terre et tout le monde fouillait".
Mais les temps ont changé. La multiplication des magasins discount, à prix cassés, les solderies et autres magasins de déstockage ont fleuri, venant directement concurencer Tadduni jusque sur ses terres. Arlette regrette cette évolution : "Maintenant, avec tous ces produits qui viennent de Chine, nous on aime [Arlette: ''tous ces produits qui viennent de Chine, nous on aime pas tellement''. / MP] pas tellement alors qu'à Tadduni, il y avait des produits de marque française, de qualité et surtout pas cher. Pour nos hommes, on y prenait les pantalons parce qu'il n'y avait que ceux là qui leur allaient. Nos parents, puis nous, on y a habillé nos enfants puis nos petits enfants donc on est forcément déçu d'apprendre la fermeture de l'enseigne".
Vague à l'âme
Sur les deux sites, il reste encore seize employés. Tous devraient se trouver au chômage dans la foulée. Laurie, présente depuis 20 ans au magasin de prêt à porter de Corsac relativise : " on est sans amertume bien sûr puisque nous, on ne nous a jamais caché ce qui se passait donc ça fait une petite année qu'on sait que les magasins sont en vente et malheureusement, le jour J, c'est demain soir". Mais comment expliquer cette fermeture ? "Il y a beaucoup de choses qui se sont passées : il y a eu la crise au départ, après, c'est un cercle vicieux, des fournisseurs à prix moyen qui ferment aussi et ainsi de suite, c'est un engrenage qui se fait au fil des mois".
[A droite, Laurie, en compagnie d'une employée du magasin de Corsac, laisse 20 ans derrière elle./MP] Déçue de la fermeture, elle apprécie quand même le soutien de sa clientèle : "ça nous a fait beaucoup de bien de revoir les gens, parfois des clientes de longue date que l'on avait pas revues depuis longtemps et ça nous a aussi mis un peu le vague à l'âme".
Maxime Pitavy
20ème MAGASIN POUR L'EAU VIVE
Lu sur le site de Franchise magazine. com le 28 avril 2010
http://www.franchise-magazine.com/actualite/breves/20eme-magasin-pour-l-eau-vive-5113.html
20ème magasin pour l’Eau Vive
Par Philippe Beaulieu, Franchise-Magazine.com
PRODUITS BIO - DEVELOPPEMENT, publié le mardi 27 avril 2010
Spécialiste du bio depuis 30 ans, L’Eau Vive annonce l’ouverture, le 30 avril, de son 20ème magasin à Bourgoin-Jallieu dans la ZAC de la Maladière, en Isère, berceau historique de l’enseigne. Aux normes du concept finalisé mi-2007, cette nouvelle unité de 500 m² bénéficiera cependant d’une nouveauté, puisqu’un espace « vrac » en libre-service y a été intégré.
Une autre succursale verra le jour une semaine plus tard, dans le troisième arrondissement de Lyon. Et la chaîne, qui n’a recours à la franchise que depuis le début 2009, annonce également deux magasins animés par des partenaires : à Courbevoie (Hauts-de-Seine), en mai, et à proximité de Toulouse, mi-août.
Plus d'informations sur l'enseigne L'EAU VIVE
Plus d'informations sur l'activité PRODUITS BIO
http://www.franchise-magazine.com/actualite/breves/20eme-magasin-pour-l-eau-vive-5113.html
20ème magasin pour l’Eau Vive
Par Philippe Beaulieu, Franchise-Magazine.com
PRODUITS BIO - DEVELOPPEMENT, publié le mardi 27 avril 2010
Spécialiste du bio depuis 30 ans, L’Eau Vive annonce l’ouverture, le 30 avril, de son 20ème magasin à Bourgoin-Jallieu dans la ZAC de la Maladière, en Isère, berceau historique de l’enseigne. Aux normes du concept finalisé mi-2007, cette nouvelle unité de 500 m² bénéficiera cependant d’une nouveauté, puisqu’un espace « vrac » en libre-service y a été intégré.
Une autre succursale verra le jour une semaine plus tard, dans le troisième arrondissement de Lyon. Et la chaîne, qui n’a recours à la franchise que depuis le début 2009, annonce également deux magasins animés par des partenaires : à Courbevoie (Hauts-de-Seine), en mai, et à proximité de Toulouse, mi-août.
Plus d'informations sur l'enseigne L'EAU VIVE
Plus d'informations sur l'activité PRODUITS BIO
KIABI A DEPASSE LE MILLIARD D'EUROS DE CHIFFRE D'AFFAIRES
Lu sur le site du journal Les Echos le 28 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/conso/020503907583-kiabi-a-depasse-le-milliard-d-euros-de-chiffre-d-affaires.htm
Kiabi a dépassé le milliard d'euros de chiffre d'affaires
[ 28/04/10 ]
La chaîne d'habillement compte 377 magasins, dont 77 à l'étranger. Elle prévoit d'en avoir au total 440 d'ici à la fin de cette année.
NICOLE BUYSE, Les Echos
DE NOTRE CORRESPONDANTE À LILLE.
Comme elle le visait, Kiabi, la chaîne de prêt-à-porter homme-femme-enfant contrôlée majoritairement par la famille Mulliez, a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires hors taxes de 1,05 milliard d'euros, passant la barre symbolique du milliard. « L'activité a progressé de 16,6 % globalement », a indiqué, hier, Jean-Christophe Garbino, son directeur général sans préciser la progression à surface comparable. Or le distributeur a ouvert l'année dernière 35 nouveaux magasins dans l'Hexagone (21 en propre) et 22 à l'étranger. « Nous gagnons des clients dans tous les pays où nous sommes », a-t-il juste lâché, en ajoutant, tout aussi sybillin, que le résultat net de l'entreprise -positif - « progresse lui aussi ».
En France, Kiabi a commencé l'intégration des magasins Vêti (anciens adhérents du groupement des Mousquetaires) devenus des affiliés. Depuis le début 2010, 72 sont passés sous enseigne Kiabi. Douze autres devraient suivre d'ici à la fin de l'année, suivis par quelques autres en 2011. Avec 21 ouvertures en propre programmées par ailleurs en 2010, la chaîne totalisera près de 330 points de vente dans l'Hexagone à la fin de l'année.
Un projet stratégique à 10 ans
A l'international, le distributeur comptait à fin mars 77 magasins, dont 59 en Espagne où il prévoit d'en ouvrir 10 nouveaux cette année et autant en 2011. En Italie, où Kiabi compte 16 points de vente, l'objectif est d'atteindre les 22 en 2010 et 30 en 2011. En Roumanie, un troisième magasin vient d'ouvrir, qui sera suivi de deux autres d'ici à la fin de l'année avec l'objectif d'un parc d'une vingtaine de grandes surfaces d'ici à 2015.
La chaîne va en outre s'implanter dans deux pays supplémentaires. Au Portugal, 6 ou 7 Vêti vont rouvrir en septembre prochain sous l'enseigne Kiabi. Enfin, en Russie où il avait fermé ses quatre magasins l'an dernier en raison de la faillite de son partenaire russe, le distributeur français va rouvrir en propre 4 magasins dès cette année.
Kiabi, en train d'écrire son projet stratégique à dix ans, prévoit un chiffre d'affaires de 1,3 milliard d'euros HT (dont 20 % à l'étranger) en 2010, avec 440 magasins.
Les données clefs
· 377 magasins à fin mars 2010, dont 300 en France (195 en propre et 105 affiliés), 59 en Espagne, 16 en Italie et 2 en Roumanie.
· 1,05 milliard d'euros de chiffre d'affaires HT en 2009.
· 143 millions de pièces vendues l'an dernier, contre 116 en 2008.
· 8.000 salariés à fin mars 2010, dont 6.300 en France.
http://www.lesechos.fr/info/conso/020503907583-kiabi-a-depasse-le-milliard-d-euros-de-chiffre-d-affaires.htm
Kiabi a dépassé le milliard d'euros de chiffre d'affaires
[ 28/04/10 ]
La chaîne d'habillement compte 377 magasins, dont 77 à l'étranger. Elle prévoit d'en avoir au total 440 d'ici à la fin de cette année.
NICOLE BUYSE, Les Echos
DE NOTRE CORRESPONDANTE À LILLE.
Comme elle le visait, Kiabi, la chaîne de prêt-à-porter homme-femme-enfant contrôlée majoritairement par la famille Mulliez, a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires hors taxes de 1,05 milliard d'euros, passant la barre symbolique du milliard. « L'activité a progressé de 16,6 % globalement », a indiqué, hier, Jean-Christophe Garbino, son directeur général sans préciser la progression à surface comparable. Or le distributeur a ouvert l'année dernière 35 nouveaux magasins dans l'Hexagone (21 en propre) et 22 à l'étranger. « Nous gagnons des clients dans tous les pays où nous sommes », a-t-il juste lâché, en ajoutant, tout aussi sybillin, que le résultat net de l'entreprise -positif - « progresse lui aussi ».
En France, Kiabi a commencé l'intégration des magasins Vêti (anciens adhérents du groupement des Mousquetaires) devenus des affiliés. Depuis le début 2010, 72 sont passés sous enseigne Kiabi. Douze autres devraient suivre d'ici à la fin de l'année, suivis par quelques autres en 2011. Avec 21 ouvertures en propre programmées par ailleurs en 2010, la chaîne totalisera près de 330 points de vente dans l'Hexagone à la fin de l'année.
Un projet stratégique à 10 ans
A l'international, le distributeur comptait à fin mars 77 magasins, dont 59 en Espagne où il prévoit d'en ouvrir 10 nouveaux cette année et autant en 2011. En Italie, où Kiabi compte 16 points de vente, l'objectif est d'atteindre les 22 en 2010 et 30 en 2011. En Roumanie, un troisième magasin vient d'ouvrir, qui sera suivi de deux autres d'ici à la fin de l'année avec l'objectif d'un parc d'une vingtaine de grandes surfaces d'ici à 2015.
La chaîne va en outre s'implanter dans deux pays supplémentaires. Au Portugal, 6 ou 7 Vêti vont rouvrir en septembre prochain sous l'enseigne Kiabi. Enfin, en Russie où il avait fermé ses quatre magasins l'an dernier en raison de la faillite de son partenaire russe, le distributeur français va rouvrir en propre 4 magasins dès cette année.
Kiabi, en train d'écrire son projet stratégique à dix ans, prévoit un chiffre d'affaires de 1,3 milliard d'euros HT (dont 20 % à l'étranger) en 2010, avec 440 magasins.
Les données clefs
· 377 magasins à fin mars 2010, dont 300 en France (195 en propre et 105 affiliés), 59 en Espagne, 16 en Italie et 2 en Roumanie.
· 1,05 milliard d'euros de chiffre d'affaires HT en 2009.
· 143 millions de pièces vendues l'an dernier, contre 116 en 2008.
· 8.000 salariés à fin mars 2010, dont 6.300 en France.
mardi 27 avril 2010
LA SNCF ACCELERE LA MUTATION COMMERCIALE DES GRANDES GARES
Lu sur le site du journal Points de Vente le 27 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/la-sncf-accelere-la-mutation-commerciale-des-grandes-gares,113196
La SNCF accélère la mutation commerciale des grandes gares
Le 26 avril 2010 par VINCENT RIBEROLLES
La structure Gares et Connexions, émanation de la SNCF, poursuit son travail d'analyse de ce que sera dans quelques années l'offre commerciale et de services disponibles dansles principales gares françaises. Sylvie Latour, la directrice de l'offre de services et de l'exploitation, veut maintenant "aller plus loin dans la mixité des espaces". Si la gare de demain ressemblera de plus en plus à une galerie marchande, elle "veut que les enseignes soient imaginatives". Les projets ne manquent pas: la gare de l'Est à Paris et la gare Saint-Charles de Marseille, juste achevées, ont été des ballons d'essai. Devraient suivre les autres grandes gares parisiennes (Saint-Lazare, Nord, Lyon, Austerlitz), Montpellier, Nantes, Rennes... Gares et Connexions envisage d'étendre l'offre dans ces lieux de trafic à des cabinets médicaux, des laboratoires d'analyse, des kinés, des petits centres d'affaires, et aussi à des services de voituriers ou à des guichets permettant de récupérer des courses commandées sur internet. Les gares plus modestes ne sont pas oubliées. On y remplacerait le traditionnel buffet par un espace plus moderne vendant la presse, de la petite épicerie, des cafés ou encore des titres de transports. Nom de code: Le Comptoir.
http://www.lsa-conso.fr/la-sncf-accelere-la-mutation-commerciale-des-grandes-gares,113196
La SNCF accélère la mutation commerciale des grandes gares
Le 26 avril 2010 par VINCENT RIBEROLLES
La structure Gares et Connexions, émanation de la SNCF, poursuit son travail d'analyse de ce que sera dans quelques années l'offre commerciale et de services disponibles dansles principales gares françaises. Sylvie Latour, la directrice de l'offre de services et de l'exploitation, veut maintenant "aller plus loin dans la mixité des espaces". Si la gare de demain ressemblera de plus en plus à une galerie marchande, elle "veut que les enseignes soient imaginatives". Les projets ne manquent pas: la gare de l'Est à Paris et la gare Saint-Charles de Marseille, juste achevées, ont été des ballons d'essai. Devraient suivre les autres grandes gares parisiennes (Saint-Lazare, Nord, Lyon, Austerlitz), Montpellier, Nantes, Rennes... Gares et Connexions envisage d'étendre l'offre dans ces lieux de trafic à des cabinets médicaux, des laboratoires d'analyse, des kinés, des petits centres d'affaires, et aussi à des services de voituriers ou à des guichets permettant de récupérer des courses commandées sur internet. Les gares plus modestes ne sont pas oubliées. On y remplacerait le traditionnel buffet par un espace plus moderne vendant la presse, de la petite épicerie, des cafés ou encore des titres de transports. Nom de code: Le Comptoir.
FAILLITES EN CASCADE DES SOCIETES DE LOUIS PETIET
Lu sur le blog du journal Le Figaro le 27 avril 2010
http://blog.lefigaro.fr/industrie/2010/04/faillites-en-cascade-des-societes-de-louis-petiet.html
Faillites en cascade des sociétés de Louis Petiet
Par Elsa Bembaron le 26 avril 2010 23h00 | Réagir
L'ancien repreneur d'Heuliez accumule les déboires depuis le début de l'année. Les sociétés qu'il a reprises en 2008 et 2009 mettent peu à peu la clé sous la porte, faute d'avoir reçu les fonds promis.
C'est la fin d'une époque. Les fans de gadgets des années 1980 se souviennent sans doute de l'enseigne Soho. Les ventes avaient décliné, avec l'émergence de nombreux concurrents sur le créneau de l'accessoire décalé. L'enseigne a d'ailleurs été mise en redressement judiciaire au printemps dernier. La chaîne de magasins a été rachetée à la barre du Tribunal de Commerce par un certain Louis Petiet, qui avait promis d'apporter 5 millions d'euros pour renflouer le navire.
Un scénario qui s'est répété, un peu trop souvent, aux yeux des employés et des fournisseurs des sociétés que Louis Petiet, via Krief Group (ex-Bernard Krief Consulting), a racheté en 2008 et 2009. Les Tribunaux de commerce, souvent submergés, ont-ils été trop peu regardant sur les vraies qualités et capacités financières de cet «homme providentiel»?. «Ce n'est pas évident. J'ai moi-même été «séduit» par Louis Petiet, qui m'avait été présenté par un ami», raconte le président d'Heuliez, Emilio Galluccio, qui a décidé de complètement couper les ponts avec Louis Petiet. Chez Soho, Louis Petiet n'a pas versé d'argent. Or, à la barre du Tribunal de Commerce, il avait promis 16 millions d'euros.
S'il reste encore un espoir chez Heuliez, qui mise encore sur l'arrivée d'un nouveau repreneur, ce n'est pas le cas chez SAIC Velcorex. L'entreprise qui regroupait les activités de DMC tissus et d'une chaîne de magasins de meubles, Authentica, a elle aussi été liquidée le 31 mars. Louis Petit n'a pas non plus apporté les fonds promis.
Le risque de contagion
Des erreurs de gestion, la conviction souvent affirmée de Louis Petiet que «ça ne sert à rien de faire dormir des capitaux sur des comptes courants», une frénésie d'achats d'entreprises et des moyens visiblement insuffisants pour faire face expliquent sans doute cette série d'échecs. Le tout aggravé par une manière un peu «légère» de traiter certains dossiers. Comme en témoigne les déboires du fournisseur d'Isotherma, une entreprise industrielle rachetée par Louis Petiet en août 2008 et qui vient d'être placée en redressement judiciaire. La Maison de l'Intérim, petite structure montée par deux jeunes lyonnais avait Isotherma comme client… et désormais une ardoise de plus de 190.000 euros. Les traites impayées se sont accumulées. Pour faire patienter les deux dirigeants de la Maison de l'Intérim, Louis Petiet est allé jusqu'à signer de sa main une traite, tirée sur une autre entreprise de son groupe Concord Airport. Cette traite de 91.000 euros n'a pas non plus été honorée. Et pose quelques questions sur la «porosité» des comptes bancaires des différentes sociétés dans le giron de Krief Group. Louis Petiet a multiplié les promesses de versements de fonds, comme dans bien d'autres dossiers, jusqu'à être rattrapé par la réalité: il ne disposait pas des sommes. Ses promesses ont mis en danger, non seulement la pérennité des entreprises - déjà fragilisées- qu'il a rachetées, mais aussi celle de certains fournisseurs.
http://blog.lefigaro.fr/industrie/2010/04/faillites-en-cascade-des-societes-de-louis-petiet.html
Faillites en cascade des sociétés de Louis Petiet
Par Elsa Bembaron le 26 avril 2010 23h00 | Réagir
L'ancien repreneur d'Heuliez accumule les déboires depuis le début de l'année. Les sociétés qu'il a reprises en 2008 et 2009 mettent peu à peu la clé sous la porte, faute d'avoir reçu les fonds promis.
C'est la fin d'une époque. Les fans de gadgets des années 1980 se souviennent sans doute de l'enseigne Soho. Les ventes avaient décliné, avec l'émergence de nombreux concurrents sur le créneau de l'accessoire décalé. L'enseigne a d'ailleurs été mise en redressement judiciaire au printemps dernier. La chaîne de magasins a été rachetée à la barre du Tribunal de Commerce par un certain Louis Petiet, qui avait promis d'apporter 5 millions d'euros pour renflouer le navire.
Un scénario qui s'est répété, un peu trop souvent, aux yeux des employés et des fournisseurs des sociétés que Louis Petiet, via Krief Group (ex-Bernard Krief Consulting), a racheté en 2008 et 2009. Les Tribunaux de commerce, souvent submergés, ont-ils été trop peu regardant sur les vraies qualités et capacités financières de cet «homme providentiel»?. «Ce n'est pas évident. J'ai moi-même été «séduit» par Louis Petiet, qui m'avait été présenté par un ami», raconte le président d'Heuliez, Emilio Galluccio, qui a décidé de complètement couper les ponts avec Louis Petiet. Chez Soho, Louis Petiet n'a pas versé d'argent. Or, à la barre du Tribunal de Commerce, il avait promis 16 millions d'euros.
S'il reste encore un espoir chez Heuliez, qui mise encore sur l'arrivée d'un nouveau repreneur, ce n'est pas le cas chez SAIC Velcorex. L'entreprise qui regroupait les activités de DMC tissus et d'une chaîne de magasins de meubles, Authentica, a elle aussi été liquidée le 31 mars. Louis Petit n'a pas non plus apporté les fonds promis.
Le risque de contagion
Des erreurs de gestion, la conviction souvent affirmée de Louis Petiet que «ça ne sert à rien de faire dormir des capitaux sur des comptes courants», une frénésie d'achats d'entreprises et des moyens visiblement insuffisants pour faire face expliquent sans doute cette série d'échecs. Le tout aggravé par une manière un peu «légère» de traiter certains dossiers. Comme en témoigne les déboires du fournisseur d'Isotherma, une entreprise industrielle rachetée par Louis Petiet en août 2008 et qui vient d'être placée en redressement judiciaire. La Maison de l'Intérim, petite structure montée par deux jeunes lyonnais avait Isotherma comme client… et désormais une ardoise de plus de 190.000 euros. Les traites impayées se sont accumulées. Pour faire patienter les deux dirigeants de la Maison de l'Intérim, Louis Petiet est allé jusqu'à signer de sa main une traite, tirée sur une autre entreprise de son groupe Concord Airport. Cette traite de 91.000 euros n'a pas non plus été honorée. Et pose quelques questions sur la «porosité» des comptes bancaires des différentes sociétés dans le giron de Krief Group. Louis Petiet a multiplié les promesses de versements de fonds, comme dans bien d'autres dossiers, jusqu'à être rattrapé par la réalité: il ne disposait pas des sommes. Ses promesses ont mis en danger, non seulement la pérennité des entreprises - déjà fragilisées- qu'il a rachetées, mais aussi celle de certains fournisseurs.
lundi 26 avril 2010
COURIR, L'ANTRE DE LA MODE BASKET
Lu sur le site du journal Points de Vente le 26 avril 2010
http://www.pointsdevente.fr/distribution/concept.html?view=contenu
Courir, l’antre de la mode basket
L’enseigne met le streetwear au cœur de son repositionnement. Le relooking est inauguré ce mois-ci à Rosny 2 (93).
Courir, l’antre de la mode basket
Exit le pouf orange et les collections en gris et blanc. Les codes streetwear, les gammes multicolores et des piliers façon papiers tagués débarquent en boutique ! Courir change de look, jusqu’à son logo, plus fun, dans les tons...
http://www.pointsdevente.fr/distribution/concept.html?view=contenu
Courir, l’antre de la mode basket
L’enseigne met le streetwear au cœur de son repositionnement. Le relooking est inauguré ce mois-ci à Rosny 2 (93).
Courir, l’antre de la mode basket
Exit le pouf orange et les collections en gris et blanc. Les codes streetwear, les gammes multicolores et des piliers façon papiers tagués débarquent en boutique ! Courir change de look, jusqu’à son logo, plus fun, dans les tons...
PORTRAIT-ROBOT D'UN CENTRE COEUR DE VILLE
Lu sur le site du journal LSA le26 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
Portrait-robot d'un centre coeur de ville
22/04/2010 - par D. B.
«S'il te plaît, dessine-moi un centre commercial de coeur de ville. » Si ce n'est pas, à la lettre, ce qu'a demandé le Conseil national des centres commerciaux dans son enquête auprès de 100 responsables de tels centres (sur les 133 en France), c'est pourtant bien l'esprit de cette typologie. Carte d'identité du « centre coeur de ville type » : 20 000 m² sur 2 niveaux, 45 enseignes en moyenne, 3 à 4 moyennes surfaces locomotives (de 700 à 4 000 m²) et un parking souterrain de 650 places. Ils accueillent 5,65 millions de visiteurs par an, en moyenne, dont 58 % sont clients réguliers et 65 %... des femmes. Et réalisent 90 M E de chiffre d'affaires. Six secteurs d'activités sont statistiquement représentés. Avec une surreprésentation de l'équipement de la personne (42 % des surfaces) et, à l'inverse, une part limitée (4 %) pour l'équipement de la maison, pour des impératifs de taille de magasins évidents. Suivent la beauté-santé (17 %), l'alimentation-restauration (14 %) et culture-cadeaux -loisirs (12 %) et les services (11 %). On relève la part donnée à l'identité locale du centre dans la typologie des commerçants, puisque les indépendants y sont 18 %, face à 49 % de succursales et 33 % de franchisés. La politique de gratuité prévaut dans 100 % des parkings.
http://www.lsa-conso.fr/les-reseaux/
Portrait-robot d'un centre coeur de ville
22/04/2010 - par D. B.
«S'il te plaît, dessine-moi un centre commercial de coeur de ville. » Si ce n'est pas, à la lettre, ce qu'a demandé le Conseil national des centres commerciaux dans son enquête auprès de 100 responsables de tels centres (sur les 133 en France), c'est pourtant bien l'esprit de cette typologie. Carte d'identité du « centre coeur de ville type » : 20 000 m² sur 2 niveaux, 45 enseignes en moyenne, 3 à 4 moyennes surfaces locomotives (de 700 à 4 000 m²) et un parking souterrain de 650 places. Ils accueillent 5,65 millions de visiteurs par an, en moyenne, dont 58 % sont clients réguliers et 65 %... des femmes. Et réalisent 90 M E de chiffre d'affaires. Six secteurs d'activités sont statistiquement représentés. Avec une surreprésentation de l'équipement de la personne (42 % des surfaces) et, à l'inverse, une part limitée (4 %) pour l'équipement de la maison, pour des impératifs de taille de magasins évidents. Suivent la beauté-santé (17 %), l'alimentation-restauration (14 %) et culture-cadeaux -loisirs (12 %) et les services (11 %). On relève la part donnée à l'identité locale du centre dans la typologie des commerçants, puisque les indépendants y sont 18 %, face à 49 % de succursales et 33 % de franchisés. La politique de gratuité prévaut dans 100 % des parkings.
samedi 24 avril 2010
ALSACE : SIMPLY MARKET VOIT GRAND
Lu sur le site du journal Points de Vente le 24 avril 2010
http://www.pointsdevente.fr/distribution/regions/simply-market-voit-grand-art269278-39.html
Alsace
19 avril 2010
Simply Market voit grand
Le projet peut surprendre par l’ampleur de sa surface. La CDAC vient en effet d’autoriser la construction d’un Simply Market de 3 200 m2 à Rixheim (68), près de Mulhouse.
http://www.pointsdevente.fr/distribution/regions/simply-market-voit-grand-art269278-39.html
Alsace
19 avril 2010
Simply Market voit grand
Le projet peut surprendre par l’ampleur de sa surface. La CDAC vient en effet d’autoriser la construction d’un Simply Market de 3 200 m2 à Rixheim (68), près de Mulhouse.
SWATCH RENOUE AVEC LES PETITS PRIX
Lu sur le site du journal Capital le 24 avril 2010
http://www.capital.fr/enquetes/strategie/swatch-renoue-avec-les-petits-prix-495382?xtor=EPR-228
Swatch renoue avec les petits prix
En période de crise, la marque suisse revient à ses fondamentaux : un produit au tarif léger, au design épuré, dont on peut changer au gré de ses envies. Dans l’air du temps et rentable !
Rouge cerise, jaune citron, rose vif, turquoise ou vert anis… Des montres, il y en a pour tous les goûts, mais à un tarif unique : 38 euros. Avec sa nouvelle collection, Colour Codes, le groupe suisse Swatch renoue avec les valeurs qui l’ont hissé à la première place de l’industrie horlogère dans le monde : un design épuré, un zeste de technologie et un prix léger.
Un retour aux sources. Car, au fil des années, la marque était montée en gamme avec des modèles de plus en plus perfectionnés mais également de plus en plus onéreux. Telle la montre Diaphane, dotée d’un chronomètre et habillée de métal, qui vaut près de 100 euros. «Il y a très longtemps que nous n’avions pas communiqué sur ces modèles de base», reconnaît Florence Ollivier-Lamarque, directrice générale de Swatch Group France.
Cash machine. Pourquoi la multinationale fondée par Nicolas G. Hayek revient-elle aujourd’hui aux petits prix ? D’abord parce que, même si le groupe possède dix-huit marques en portefeuille qui vont de Blancpain à Flik Flak, en passant par Longines ou Tissot, c’est avec Swatch qu’il réalise la plus grosse part de son chiffre d’affaires (3,6 milliards d’euros en 2009).
«L’entreprise a réussi sa diversification dans le luxe grâce à des rachats successifs, mais Swatch reste sa “cash machine” même si cette marque offre les tarifs les plus bas du marché», analyse Nicolas Boulanger, directeur du pôle luxe de la société d’études Eurostaf. Avec sa dernière collection, l’horloger suisse réitère son coup de génie d’il y a trente ans : proposer un produit abordable et néanmoins doté d’une image de marque valorisante.
En 1983, alors que la planète ne jurait que par les montres à quartz chinoises et japonaises, les ingénieurs helvétiques Elmar Mock et Jacques Müller avaient révolutionné l’univers de l’horlogerie avec une petite montre en plastique, commercialisée à 250 francs (pile 38 euros). Dès la première année, celle-ci s’était écoulée à 3 millions d’exemplaires, avant de doubler la mise un an plus tard. Depuis, le cap des 333 millions de Swatch vendues a été franchi en 2006.
L’esprit collection. «Cette politique de prix plancher n’indique pas un déclin de la haute horlogerie. Elle traduit le désir de revenir aux fondamentaux en période de récession», décrypte Nicolas Boulanger. En renouant avec son prix d’entrée de gamme, Swatch donne l’image d’une entreprise en phase avec une société adepte de l’achat coup de cœur et du discount. La Colour Codes joue les accessoires de mode, dont on change au gré de ses humeurs grâce à son prix peu élevé.
«En déclinant cette montre en 20 modèles, la marque adopte une logique de collection, comme dans la haute couture ou le prêt-à-porter», estime l’expert Romain Réa. Et, de la même manière que la première Swatch avait été lancée chez Dinh Van, le célèbre joaillier de la rue de la Paix, la Colour Codes a été présentée chez Colette, la boutique parisienne où les fashionistas vont humer les dernières tendances.
Amélie Cordonnier
http://www.capital.fr/enquetes/strategie/swatch-renoue-avec-les-petits-prix-495382?xtor=EPR-228
Swatch renoue avec les petits prix
En période de crise, la marque suisse revient à ses fondamentaux : un produit au tarif léger, au design épuré, dont on peut changer au gré de ses envies. Dans l’air du temps et rentable !
Rouge cerise, jaune citron, rose vif, turquoise ou vert anis… Des montres, il y en a pour tous les goûts, mais à un tarif unique : 38 euros. Avec sa nouvelle collection, Colour Codes, le groupe suisse Swatch renoue avec les valeurs qui l’ont hissé à la première place de l’industrie horlogère dans le monde : un design épuré, un zeste de technologie et un prix léger.
Un retour aux sources. Car, au fil des années, la marque était montée en gamme avec des modèles de plus en plus perfectionnés mais également de plus en plus onéreux. Telle la montre Diaphane, dotée d’un chronomètre et habillée de métal, qui vaut près de 100 euros. «Il y a très longtemps que nous n’avions pas communiqué sur ces modèles de base», reconnaît Florence Ollivier-Lamarque, directrice générale de Swatch Group France.
Cash machine. Pourquoi la multinationale fondée par Nicolas G. Hayek revient-elle aujourd’hui aux petits prix ? D’abord parce que, même si le groupe possède dix-huit marques en portefeuille qui vont de Blancpain à Flik Flak, en passant par Longines ou Tissot, c’est avec Swatch qu’il réalise la plus grosse part de son chiffre d’affaires (3,6 milliards d’euros en 2009).
«L’entreprise a réussi sa diversification dans le luxe grâce à des rachats successifs, mais Swatch reste sa “cash machine” même si cette marque offre les tarifs les plus bas du marché», analyse Nicolas Boulanger, directeur du pôle luxe de la société d’études Eurostaf. Avec sa dernière collection, l’horloger suisse réitère son coup de génie d’il y a trente ans : proposer un produit abordable et néanmoins doté d’une image de marque valorisante.
En 1983, alors que la planète ne jurait que par les montres à quartz chinoises et japonaises, les ingénieurs helvétiques Elmar Mock et Jacques Müller avaient révolutionné l’univers de l’horlogerie avec une petite montre en plastique, commercialisée à 250 francs (pile 38 euros). Dès la première année, celle-ci s’était écoulée à 3 millions d’exemplaires, avant de doubler la mise un an plus tard. Depuis, le cap des 333 millions de Swatch vendues a été franchi en 2006.
L’esprit collection. «Cette politique de prix plancher n’indique pas un déclin de la haute horlogerie. Elle traduit le désir de revenir aux fondamentaux en période de récession», décrypte Nicolas Boulanger. En renouant avec son prix d’entrée de gamme, Swatch donne l’image d’une entreprise en phase avec une société adepte de l’achat coup de cœur et du discount. La Colour Codes joue les accessoires de mode, dont on change au gré de ses humeurs grâce à son prix peu élevé.
«En déclinant cette montre en 20 modèles, la marque adopte une logique de collection, comme dans la haute couture ou le prêt-à-porter», estime l’expert Romain Réa. Et, de la même manière que la première Swatch avait été lancée chez Dinh Van, le célèbre joaillier de la rue de la Paix, la Colour Codes a été présentée chez Colette, la boutique parisienne où les fashionistas vont humer les dernières tendances.
Amélie Cordonnier
NEW YORKER PROPOSE UNE COLLECTION DE TEE-SHIRTS LADY SAGA
Lu sur le site du journal La Dépêche le 24 avril 2010http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/23/822368-New-Yorker-propose-une-collection-de-tee-shirts-Lady-Gaga.html
New Yorker propose une collection de tee-shirts Lady Gaga
La chaîne allemande de magasins de prêt-à-porter New Yorker propose, en collaboration avec Universal Music et la société de distribution Bravado, une collection exclusive à l'effigie de la chanteuse et auteur-compositeur Lady Gaga. Composée de trois tee-shirts et de deux débardeurs, cette nouvelle ligne de prêt-à-porter dévoile des portraits de la jeune Américaine au style excentrique.
"Nous avons trouvé en New Yorker un partenaire d'envergure qui comprend les enjeux de l'alliance des mondes de la musique et de la mode, une association reprise de manière intelligente et cohérente au coeur de ses magasins. Aujourd'hui, il y a peu de marques qui ont un positionnement aussi branché et nous sommes très heureux de poursuivre l'aventure avec eux", indique Mokhtar Benbouazza, directeur marketing et ventes mode d'Universal Music.
La collection Lady Gaga sera disponible dans l'ensemble des magasins européens New Yorker dès mi-mai prochain. En France, l'enseigne est présente à Marseille (Bouches-du-Rhône), à Grenoble (Isère), au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), au Havre (Seine-Maritime), à Tours (Indre-et-Loire), ou encore à Mulhouse (Haut-Rhin).
Prix :
Les tee-shirts : 19,95 euros
Les débardeurs : 14,95 euros
Site : www.newyorker.de
New Yorker propose une collection de tee-shirts Lady Gaga
La chaîne allemande de magasins de prêt-à-porter New Yorker propose, en collaboration avec Universal Music et la société de distribution Bravado, une collection exclusive à l'effigie de la chanteuse et auteur-compositeur Lady Gaga. Composée de trois tee-shirts et de deux débardeurs, cette nouvelle ligne de prêt-à-porter dévoile des portraits de la jeune Américaine au style excentrique.
"Nous avons trouvé en New Yorker un partenaire d'envergure qui comprend les enjeux de l'alliance des mondes de la musique et de la mode, une association reprise de manière intelligente et cohérente au coeur de ses magasins. Aujourd'hui, il y a peu de marques qui ont un positionnement aussi branché et nous sommes très heureux de poursuivre l'aventure avec eux", indique Mokhtar Benbouazza, directeur marketing et ventes mode d'Universal Music.
La collection Lady Gaga sera disponible dans l'ensemble des magasins européens New Yorker dès mi-mai prochain. En France, l'enseigne est présente à Marseille (Bouches-du-Rhône), à Grenoble (Isère), au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), au Havre (Seine-Maritime), à Tours (Indre-et-Loire), ou encore à Mulhouse (Haut-Rhin).
Prix :
Les tee-shirts : 19,95 euros
Les débardeurs : 14,95 euros
Site : www.newyorker.de
GOOGLE MONTRE L'INTERIEUR DES MAGASINS DANS STREET VIEW
Lu sur le site du journal du net le 24 avril 2010
http://www.journaldunet.com/ebusiness/breve/international/46430/google-montre-l-interieur-des-magasins-dans-street-view.shtml
Google montre l'intérieur des magasins dans Street View
Vendredi 23 avril 2010, 11h45
Après avoir arpenté les rues de milliers de villes en Europe et aux Etats-Unis pour son service Street View, Google visite désormais les magasins. Le moteur de recherche expérimente actuellement dans une trentaine de villes des Etats-Unis, d'Australie et du Japon une extension de Street View pour les commerces. Ce service propose une vue panoramique de l'intérieur de boutiques et de restaurants disponibles depuis les pages "Google Places" lancées officiellement cette semaine par le moteur. Les commerces situés dans les zones de test peuvent eux-mêmes solliciter la visite de Google par le biais d'un formulaire.
Toutes les actus : Le Net - Google - Nouveau service
Rédaction JDN
http://www.journaldunet.com/ebusiness/breve/international/46430/google-montre-l-interieur-des-magasins-dans-street-view.shtml
Google montre l'intérieur des magasins dans Street View
Vendredi 23 avril 2010, 11h45
Après avoir arpenté les rues de milliers de villes en Europe et aux Etats-Unis pour son service Street View, Google visite désormais les magasins. Le moteur de recherche expérimente actuellement dans une trentaine de villes des Etats-Unis, d'Australie et du Japon une extension de Street View pour les commerces. Ce service propose une vue panoramique de l'intérieur de boutiques et de restaurants disponibles depuis les pages "Google Places" lancées officiellement cette semaine par le moteur. Les commerces situés dans les zones de test peuvent eux-mêmes solliciter la visite de Google par le biais d'un formulaire.
Toutes les actus : Le Net - Google - Nouveau service
Rédaction JDN
GOOGLE MAPS AJOUTE DES SUGGESTIONS DE MAGASINS DANS LES RECHERCHES
Lu sur le site Clubic le 24 avril 2010
http://www.clubic.com/application-web/actualite-337080-google-maps-ajoute-suggestions-magasins-recherches.html
Google Maps ajoute des suggestions de magasins dans les recherches
Publiée par Antoine Duvauchelle le Vendredi 23 Avril 2010
Google a mis à jour son service Google Maps pour permettre de localiser plus facilement les lieux et les commerces locaux. Après avoir dévoilé récemment sa nouvelle solution de visibilité à destination des entreprises, et son système de photographies de magasins, Google donne donc aux internautes un accès à ces vitrines en ligne.
D'abord disponible en Allemagne, en Chine, à Hong-Kong puis à Taiwan, le système de suggestion est désormais étendu à dix autres versions, dont la française. Le principe, pour les utilisateurs, est d'obtenir « les suggestions les plus utiles en fonction de l'endroit où leur carte est centrée. »
Dans les faits, il suffit de faire la même recherche en zoomant à deux endroits différents de la carte. Centrez la carte sur la région parisienne, et cherchez « cyber café », la liste dévoilera des adresses à Paris, mais aussi à la Garenne-Colombes ou à Puteaux. Si la carte englobe toute l'Ile de France, mais qu'elle est légèrement centrée sur l'Ouest de Paris, ce seront les cyber cafés de cette zone qui seront indiqués les premiers. Déplacez légèrement la carte, en vous dirigeant vers l'Est de Paris par exemple, et un clic dans le champs de recherche donne une nouvelle liste, composée des cyber cafés de Troyes et Reims.
Cette nouvelle fonctionnalité affiche non seulement des noms génériques de boutiques ou de services (comme cyber café), mais aussi des grandes enseignes. Une stratégie cohérente avec le lancement de Google Places, qui permet aux utilisateurs de retrouver les fiches des magasins, avec avis des internautes, adresse, numéro de téléphone, et bientôt photographies de l'intérieur des magasins.
http://www.clubic.com/application-web/actualite-337080-google-maps-ajoute-suggestions-magasins-recherches.html
Google Maps ajoute des suggestions de magasins dans les recherches
Publiée par Antoine Duvauchelle le Vendredi 23 Avril 2010
Google a mis à jour son service Google Maps pour permettre de localiser plus facilement les lieux et les commerces locaux. Après avoir dévoilé récemment sa nouvelle solution de visibilité à destination des entreprises, et son système de photographies de magasins, Google donne donc aux internautes un accès à ces vitrines en ligne.
D'abord disponible en Allemagne, en Chine, à Hong-Kong puis à Taiwan, le système de suggestion est désormais étendu à dix autres versions, dont la française. Le principe, pour les utilisateurs, est d'obtenir « les suggestions les plus utiles en fonction de l'endroit où leur carte est centrée. »
Dans les faits, il suffit de faire la même recherche en zoomant à deux endroits différents de la carte. Centrez la carte sur la région parisienne, et cherchez « cyber café », la liste dévoilera des adresses à Paris, mais aussi à la Garenne-Colombes ou à Puteaux. Si la carte englobe toute l'Ile de France, mais qu'elle est légèrement centrée sur l'Ouest de Paris, ce seront les cyber cafés de cette zone qui seront indiqués les premiers. Déplacez légèrement la carte, en vous dirigeant vers l'Est de Paris par exemple, et un clic dans le champs de recherche donne une nouvelle liste, composée des cyber cafés de Troyes et Reims.
Cette nouvelle fonctionnalité affiche non seulement des noms génériques de boutiques ou de services (comme cyber café), mais aussi des grandes enseignes. Une stratégie cohérente avec le lancement de Google Places, qui permet aux utilisateurs de retrouver les fiches des magasins, avec avis des internautes, adresse, numéro de téléphone, et bientôt photographies de l'intérieur des magasins.
LES FRANCAIS DE RETOUR DANS LES MAGASINS EN MARS
Lu sur le site du journal Le Figaro le 24 avril 2010
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/04/23/04016-20100423ARTFIG00316-les-francais-de-retour-dans-les-magasins-en-mars-.php
Les Français de retour dans les magasins en mars
Par Guillaume Guichard
Le mois dernier, les ménages français ont à nouveau fréquenté les concessions automobiles et les magasins de vêtement. La consommation a augmenté de 1,2%, selon l'Insee. Par ailleurs, sur le premier trimestre la demande industrielle a continué à progresser.
En mars, la consommation des ménages a progressé de 1,2%, selon l'Insee. Cette progression intervient après deux baisses consécutives, de 2,5% en janvier et de 1,4% en février. Résultat, sur le premier trimestre l'évolution de la demande reste négative et recule de 1,9%. Au quatrième trimestre 2009, l'indice avait progressé de 3,2%.
Une fois encore, la demande a été tirée par les achats automobiles, en hausse de 1,4%, après une chute de 16,5% en janvier et -1,6% en février. «Sur le trimestre, le recul atteint 11,5 %», note l'Insee. «Il n'efface toutefois pas la hausse de 14,0 % au quatrième trimestre 2009.» La demande en équipement du logement, dynamisée par l'électronique grand public, a également progressé en mars, de 0,9%, après une baisse de 0,5% en février.
«Le vrai rayon de soleil dans cette publication nous vient du textile-cuir après un mois de février exécrable», note Alexander Law, chef économiste chez Xerfi. «Les dépenses augmentent de 3,5% en mars.»
L'Insee a publié par ailleurs les chiffres de la demande globale à l'industrie au premier trimestre, qui a continué de progresser. Le solde d'opinion des industriels interrogés par l'Insee «reste supérieur à sa moyenne de longue période, quoiqu'en repli par rapport au 4e trimestre 2009», note l'Institut de la statistique. Bonne nouvelle, la demande anticipée pour le deuxième trimestre continuerait à progresser.
Par Guillaume Guichard
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/04/23/04016-20100423ARTFIG00316-les-francais-de-retour-dans-les-magasins-en-mars-.php
Les Français de retour dans les magasins en mars
Par Guillaume Guichard
Le mois dernier, les ménages français ont à nouveau fréquenté les concessions automobiles et les magasins de vêtement. La consommation a augmenté de 1,2%, selon l'Insee. Par ailleurs, sur le premier trimestre la demande industrielle a continué à progresser.
En mars, la consommation des ménages a progressé de 1,2%, selon l'Insee. Cette progression intervient après deux baisses consécutives, de 2,5% en janvier et de 1,4% en février. Résultat, sur le premier trimestre l'évolution de la demande reste négative et recule de 1,9%. Au quatrième trimestre 2009, l'indice avait progressé de 3,2%.
Une fois encore, la demande a été tirée par les achats automobiles, en hausse de 1,4%, après une chute de 16,5% en janvier et -1,6% en février. «Sur le trimestre, le recul atteint 11,5 %», note l'Insee. «Il n'efface toutefois pas la hausse de 14,0 % au quatrième trimestre 2009.» La demande en équipement du logement, dynamisée par l'électronique grand public, a également progressé en mars, de 0,9%, après une baisse de 0,5% en février.
«Le vrai rayon de soleil dans cette publication nous vient du textile-cuir après un mois de février exécrable», note Alexander Law, chef économiste chez Xerfi. «Les dépenses augmentent de 3,5% en mars.»
L'Insee a publié par ailleurs les chiffres de la demande globale à l'industrie au premier trimestre, qui a continué de progresser. Le solde d'opinion des industriels interrogés par l'Insee «reste supérieur à sa moyenne de longue période, quoiqu'en repli par rapport au 4e trimestre 2009», note l'Institut de la statistique. Bonne nouvelle, la demande anticipée pour le deuxième trimestre continuerait à progresser.
Par Guillaume Guichard
vendredi 23 avril 2010
LE COMMERCE ELECTRONIQUE DEVRAIT PROGRESSER DE 9 % EN 2010
Lu sur le site du journal Les Echos le 23 avryl 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/020495288075.htm?xtor=EPR-1090-[distribution]-20100423
Le commerce électronique devrait progresser de 9 % en 2010 en France
[ 23/04/10 ]
Les ventes sur Internet devraient progresser en France de 9 % sur un an en 2010, selon des chiffres publiés hier par Benchmark Group. Cette année, les sites de commerce électronique grand public devraient réaliser en France un chiffre d'affaires de 16,9 milliards d'euros, contre 15,5 milliards en 2008. Selon les auteurs de l'étude, la croissance attendue cette année « s'explique plus par la progression du nombre d'acheteurs en ligne (+ 9 % également) que par la hausse de la dépense moyenne annuelle par consommateur ». L'e-commerce sera en effet affecté par le ralentissement sur le marché du tourisme (45 % du chiffre d'affaires total en 2009), estime Benchmark, qui a interrogé 51 sites, dans le cadre de son étude annuelle, mais « il continue de gagner des parts de marché sur les autres canaux de distribution, et ce sur l'ensemble des secteurs qu'il occupe ».
Les Echo
http://www.lesechos.fr/info/distri/020495288075.htm?xtor=EPR-1090-[distribution]-20100423
Le commerce électronique devrait progresser de 9 % en 2010 en France
[ 23/04/10 ]
Les ventes sur Internet devraient progresser en France de 9 % sur un an en 2010, selon des chiffres publiés hier par Benchmark Group. Cette année, les sites de commerce électronique grand public devraient réaliser en France un chiffre d'affaires de 16,9 milliards d'euros, contre 15,5 milliards en 2008. Selon les auteurs de l'étude, la croissance attendue cette année « s'explique plus par la progression du nombre d'acheteurs en ligne (+ 9 % également) que par la hausse de la dépense moyenne annuelle par consommateur ». L'e-commerce sera en effet affecté par le ralentissement sur le marché du tourisme (45 % du chiffre d'affaires total en 2009), estime Benchmark, qui a interrogé 51 sites, dans le cadre de son étude annuelle, mais « il continue de gagner des parts de marché sur les autres canaux de distribution, et ce sur l'ensemble des secteurs qu'il occupe ».
Les Echo
REBOND DE LA CONSOMMATION DES MENAGES EN MARS
Lu sur le site du journal Les Echos le 22 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/france/020496840737-rebond-de-la-consommation-des-menages-en-mars.htm
Rebond de la consommation des ménages en mars
[ 23/04/10 - 06H56 - actualisé à 08:57:00 ]
Les dépenses en produits manufacturés ont progressé de 1,2 % sur un mois. En données cumulées sur le premier trimestre, elles affichent toutefois un recul de 1,9 %.
Embellie sur le front de la consommation en France. Les dépenses en produits manufacturés ont progressé de 1,2 % sur un mois en mars, après deux mois consécutifs de baisse. Tous les postes ont connu une évolution positive le mois dernier. Les biens durables notamment, tirés par «la remontée des achats d'automobles», explique l'Insee.
http://www.lesechos.fr/info/france/020496840737-rebond-de-la-consommation-des-menages-en-mars.htm
Rebond de la consommation des ménages en mars
[ 23/04/10 - 06H56 - actualisé à 08:57:00 ]
Les dépenses en produits manufacturés ont progressé de 1,2 % sur un mois. En données cumulées sur le premier trimestre, elles affichent toutefois un recul de 1,9 %.
Embellie sur le front de la consommation en France. Les dépenses en produits manufacturés ont progressé de 1,2 % sur un mois en mars, après deux mois consécutifs de baisse. Tous les postes ont connu une évolution positive le mois dernier. Les biens durables notamment, tirés par «la remontée des achats d'automobles», explique l'Insee.
OXYLANE TOUJOURS PLUS PERFORMANT
Lu sur le site du journal Points de Vente le 23 avril 2010
http://www.pointsdevente.fr/oxylane-toujours-plus-performant-art269157-19.html
Oxylane toujours plus performant
Avec un chiffre d’affaires en hausse de 9,5% à 5,4 Md€ (4%en comparable), Oxylane (472 points de vente) tient toujours une forme olympique. L’année 2009 a encore été une fois très internationale pour le groupe qui s’est implanté sur un nouveau pays, la Roumanie. En France, où Décathlon a réalisé cinq ouvertures sur l’année, l’enseigne continue de mettre l’accent sur ses Marques Passion. Au mois de septembre, Inesis, la marque des golfeurs a ainsi installé son centre de conception mondial à Marcq en Baroeul dans la banlieue de Lille.
Autre fait marquant en 2009 : Oxylane a implanté son centre international de logistique à Dourges (entre Lille et Lens). L’ensemble comprend le siège international de ses équipes logistiques mais aussi un entrepôt de 51 000 m2.
http://www.pointsdevente.fr/oxylane-toujours-plus-performant-art269157-19.html
Oxylane toujours plus performant
Avec un chiffre d’affaires en hausse de 9,5% à 5,4 Md€ (4%en comparable), Oxylane (472 points de vente) tient toujours une forme olympique. L’année 2009 a encore été une fois très internationale pour le groupe qui s’est implanté sur un nouveau pays, la Roumanie. En France, où Décathlon a réalisé cinq ouvertures sur l’année, l’enseigne continue de mettre l’accent sur ses Marques Passion. Au mois de septembre, Inesis, la marque des golfeurs a ainsi installé son centre de conception mondial à Marcq en Baroeul dans la banlieue de Lille.
Autre fait marquant en 2009 : Oxylane a implanté son centre international de logistique à Dourges (entre Lille et Lens). L’ensemble comprend le siège international de ses équipes logistiques mais aussi un entrepôt de 51 000 m2.
jeudi 22 avril 2010
BRICORAMA TESTE UNE ENSEIGNE A PRIX BAS
Lu sur le site du journal Les Echos le 22 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/020492637565.htm?xtor=EPR-1090-[distribution]-20100422
Bricorama teste une enseigne à prix bas
[ 22/04/10 ]
Brico Usine, le nouveau concept inauguré hier à Clermont-Ferrand, promet des prix inférieurs de 30 % sur des produits moyen et haut de gamme. Il entend se positionner entre l'« hyper-choix » et le low cost du bricolage.
Bricorama, le groupe français de magasins de bricolage (887 millions d'euros de chiffre d'affaires 2009, en hausse de 2,7 %), veut investir un nouveau créneau du marché du « do it yourself ». Il a inauguré hier à Clermont-Ferrand, à quelques mètres d'un hypermarché Géant Casino, le premier exemplaire d'un nouveau concept baptisé « Brico Usine ».
Pour Erik Haegeman, directeur général de l'entreprise qui comptait jusqu'alors 90 points de vente intégrés et 30 franchisés, il s'agit de se positionner entre Leroy Merlin, qui table sur l'« hyper-choix » avec quelques premiers prix seulement, et le low cost du bricolage, créneau occupé par Brico Dépôt créé il y a une quinzaine d'années par Castorama.
« Club » privé
Il ne s'agit pas pour Brico Usine de miser sur des premiers prix « dont la qualité n'est pas souvent excellente », estime le dirigeant, mais de proposer des produits moyen et haut de gamme à des tarifs « discountés ». Par rapport à un Bricorama classique, les prix seront inférieurs de 30 % en moyenne, avec des creux à 5 % et des pics à plus de 50 %. Pour ce faire, Brico Usine a diminué d'un tiers également son assortiment, faisant une croix sur les gros matériaux et les produits premiers prix. Au total, le nouveau concept, qui s'étend sur 3.000 mètres carrés de surface de vente (plus 1.500 mètres carrés en extérieur), propose 20.000 références. Autre particularité, qui permet de maintenir « un niveau de marge identique sur tous les articles » : un système d'accès calqué sur les clubs privés. En effet, pour entrer dans le magasin, le consommateur devra acheter au préalable une carte d'un prix compris entre 19 euros pour une semaine et 140 euros pour un an. Un principe inédit que seul Sam's Club, une chaîne de magasins-entrepôts créée en 1983 par Wal-Mart (Sam's, du prénom du fondateur, Sam Walton) a déjà expérimenté. Les dirigeants de Bricorama attendront les résultats du premier Brico Usine pour opérer de nouvelles ouvertures.
P. B., Les Echos
http://www.lesechos.fr/info/distri/020492637565.htm?xtor=EPR-1090-[distribution]-20100422
Bricorama teste une enseigne à prix bas
[ 22/04/10 ]
Brico Usine, le nouveau concept inauguré hier à Clermont-Ferrand, promet des prix inférieurs de 30 % sur des produits moyen et haut de gamme. Il entend se positionner entre l'« hyper-choix » et le low cost du bricolage.
Bricorama, le groupe français de magasins de bricolage (887 millions d'euros de chiffre d'affaires 2009, en hausse de 2,7 %), veut investir un nouveau créneau du marché du « do it yourself ». Il a inauguré hier à Clermont-Ferrand, à quelques mètres d'un hypermarché Géant Casino, le premier exemplaire d'un nouveau concept baptisé « Brico Usine ».
Pour Erik Haegeman, directeur général de l'entreprise qui comptait jusqu'alors 90 points de vente intégrés et 30 franchisés, il s'agit de se positionner entre Leroy Merlin, qui table sur l'« hyper-choix » avec quelques premiers prix seulement, et le low cost du bricolage, créneau occupé par Brico Dépôt créé il y a une quinzaine d'années par Castorama.
« Club » privé
Il ne s'agit pas pour Brico Usine de miser sur des premiers prix « dont la qualité n'est pas souvent excellente », estime le dirigeant, mais de proposer des produits moyen et haut de gamme à des tarifs « discountés ». Par rapport à un Bricorama classique, les prix seront inférieurs de 30 % en moyenne, avec des creux à 5 % et des pics à plus de 50 %. Pour ce faire, Brico Usine a diminué d'un tiers également son assortiment, faisant une croix sur les gros matériaux et les produits premiers prix. Au total, le nouveau concept, qui s'étend sur 3.000 mètres carrés de surface de vente (plus 1.500 mètres carrés en extérieur), propose 20.000 références. Autre particularité, qui permet de maintenir « un niveau de marge identique sur tous les articles » : un système d'accès calqué sur les clubs privés. En effet, pour entrer dans le magasin, le consommateur devra acheter au préalable une carte d'un prix compris entre 19 euros pour une semaine et 140 euros pour un an. Un principe inédit que seul Sam's Club, une chaîne de magasins-entrepôts créée en 1983 par Wal-Mart (Sam's, du prénom du fondateur, Sam Walton) a déjà expérimenté. Les dirigeants de Bricorama attendront les résultats du premier Brico Usine pour opérer de nouvelles ouvertures.
P. B., Les Echos
GRACE A SON POSITIONNEMENT PRIX ET AU DEVELOPPMENT C & A RESISTE A LA CRISE
Lu sur le site du journal Les Echos le 22 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/020492637244-grace-a-son-positionnement-prix-et-au-developpement-c-amp-a-resiste-a-la-crise.htm
Grâce à son positionnement prix et au développement, C & A résiste à la crise
[ 22/04/10 ]
Le spécialiste de l'habillement d'entrée de gamme a réalisé en 2009-2010 un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros. Des ventes stables dans un marché déprimé, liées aussi à l'ouverture de 92 nouveaux magasins.
C'est fidèle à sa tradition de discrétion que le groupe familial d'origine hollandaise C & A a présenté hier le bilan de son année 2009-2010 (clôturée en février) par le biais, perturbations aériennes obligent, d'une visioconférence paneuropéenne. Ce n'est pas le président, mais Andreas Seitz, membre du conseil d'administration et directeur du marketing, qui a communiqué non pas les résultats annuels - jamais publiés -mais les ventes du distributeur de vêtements.
Dans un marché européen en baisse de 3 %, les 1.410 magasins C & A implantés dans 19 pays ont réalisé un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros, exactement stable par rapport à l'année précédente. En matière de rentabilité, Andreas Seitz a tout juste affirmé que « les actionnaires avaient gagné de l'argent » et que tous les investissements à venir (600 millions d'euros de 2010 à 2012) seraient « autofinancés ».
Dans le détail, si le marché allemand de l'habillement, le plus important du groupe, n'a quasiment pas baissé, la crise a entraîné la chute des indices en Espagne (-8,5 %) et en Europe de l'Est (-8 %). En France, le marché a diminué de 2,7 %. Dans ce contexte C & A a réussi à voir ses parts de marché progresser dans la plupart des pays. Sur le plan européen, Andreas Seitz annonce une part de marché de 5,1 %, en hausse de 0,1 %. A titre de comparaison, elle n'était que de 3,8 % en 2000.
Volumes en hausse
Une bonne performance attribuée au positionnement prix de l'enseigne spécialiste de l'entrée de gamme. « Globalement, indique le dirigeant, les ventes ont progressé en volume, mais ont diminué en valeur unitaire. » Les consommateurs achètent des articles moins chers et il faut en vendre davantage pour réaliser les mêmes ventes en valeur. En 2007, le chiffre d'affaires du groupe était déjà de 6,1 milliards d'euros. Entre-temps, de nombreux magasins ont ouvert. Car la bonne tenue de l'activité de C & A repose également sur une expansion importante. L'an passé, C & A a ouvert 92 magasins et pénétré dans deux nouveaux pays : la Roumanie et la Croatie. Le programme sera aussi chargé en 2010, avec 80 ouvertures supplémentaires dont 3 à 5 en France (7 à 10 dans les trois ans). Dans l'Hexagone, où, ces dernières années, les zones commerciales ont été privilégiées, un rééquilibrage sera effectué pour les créations entre la périphérie et les centres commerciaux, d'un côté, et le centre-ville, de l'autre. Avec des positionnements prix différents : moins cher en périphérie, un peu plus en centre-ville. « On peut se demander si on ne peut pas augmenter un peu nos prix en centre-ville, où, dans tous les cas, il ne faut pas être en concurrence avec les magasins purement discount », dit-on au siège parisien de l'enseigne.
La France verra aussi arriver le site d'e-commerce de C & A en 2011. « On assiste, surtout pour l'enfant, à un certain transfert des réseaux physiques vers les réseaux électroniques », affirme Andreas Seitz, sans donner plus de précisions qu'une fréquentation de 80.000 visiteurs par jour en Allemagne.
PHILIPPE BERTRAND, Les Echos
http://www.lesechos.fr/info/distri/020492637244-grace-a-son-positionnement-prix-et-au-developpement-c-amp-a-resiste-a-la-crise.htm
Grâce à son positionnement prix et au développement, C & A résiste à la crise
[ 22/04/10 ]
Le spécialiste de l'habillement d'entrée de gamme a réalisé en 2009-2010 un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros. Des ventes stables dans un marché déprimé, liées aussi à l'ouverture de 92 nouveaux magasins.
C'est fidèle à sa tradition de discrétion que le groupe familial d'origine hollandaise C & A a présenté hier le bilan de son année 2009-2010 (clôturée en février) par le biais, perturbations aériennes obligent, d'une visioconférence paneuropéenne. Ce n'est pas le président, mais Andreas Seitz, membre du conseil d'administration et directeur du marketing, qui a communiqué non pas les résultats annuels - jamais publiés -mais les ventes du distributeur de vêtements.
Dans un marché européen en baisse de 3 %, les 1.410 magasins C & A implantés dans 19 pays ont réalisé un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros, exactement stable par rapport à l'année précédente. En matière de rentabilité, Andreas Seitz a tout juste affirmé que « les actionnaires avaient gagné de l'argent » et que tous les investissements à venir (600 millions d'euros de 2010 à 2012) seraient « autofinancés ».
Dans le détail, si le marché allemand de l'habillement, le plus important du groupe, n'a quasiment pas baissé, la crise a entraîné la chute des indices en Espagne (-8,5 %) et en Europe de l'Est (-8 %). En France, le marché a diminué de 2,7 %. Dans ce contexte C & A a réussi à voir ses parts de marché progresser dans la plupart des pays. Sur le plan européen, Andreas Seitz annonce une part de marché de 5,1 %, en hausse de 0,1 %. A titre de comparaison, elle n'était que de 3,8 % en 2000.
Volumes en hausse
Une bonne performance attribuée au positionnement prix de l'enseigne spécialiste de l'entrée de gamme. « Globalement, indique le dirigeant, les ventes ont progressé en volume, mais ont diminué en valeur unitaire. » Les consommateurs achètent des articles moins chers et il faut en vendre davantage pour réaliser les mêmes ventes en valeur. En 2007, le chiffre d'affaires du groupe était déjà de 6,1 milliards d'euros. Entre-temps, de nombreux magasins ont ouvert. Car la bonne tenue de l'activité de C & A repose également sur une expansion importante. L'an passé, C & A a ouvert 92 magasins et pénétré dans deux nouveaux pays : la Roumanie et la Croatie. Le programme sera aussi chargé en 2010, avec 80 ouvertures supplémentaires dont 3 à 5 en France (7 à 10 dans les trois ans). Dans l'Hexagone, où, ces dernières années, les zones commerciales ont été privilégiées, un rééquilibrage sera effectué pour les créations entre la périphérie et les centres commerciaux, d'un côté, et le centre-ville, de l'autre. Avec des positionnements prix différents : moins cher en périphérie, un peu plus en centre-ville. « On peut se demander si on ne peut pas augmenter un peu nos prix en centre-ville, où, dans tous les cas, il ne faut pas être en concurrence avec les magasins purement discount », dit-on au siège parisien de l'enseigne.
La France verra aussi arriver le site d'e-commerce de C & A en 2011. « On assiste, surtout pour l'enfant, à un certain transfert des réseaux physiques vers les réseaux électroniques », affirme Andreas Seitz, sans donner plus de précisions qu'une fréquentation de 80.000 visiteurs par jour en Allemagne.
PHILIPPE BERTRAND, Les Echos
NEW YORKER LA JOUE SEXY ET ROCK'N ROLL AVEC LADY GAGA
Lu sur le site du journal Points de Vente le 22 avril 2010
http://www.pointsdevente.fr/new-yorker-la-joue-sexy-et-rock-n-roll-avec-lady-gaga-art269607-19.html
New Yorker la joue sexy et rock’n roll avec Lady Gaga
Le spécialiste du textile fashion retrousse ses manches pour rivaliser avec le Japonais Uniqlo. En effet, New Yorker et Uniqlo sont les deux enseignes qui ont le vent en poupe en ce moment en France. Pour continuer sur cette lancée, chacune y va donc d’une communication renforcée et ciblée. Pour l’enseigne allemande, cela se traduit par l’arrivée d’une nouvelle égérie de marque: Lady Gaga. Ainsi que par un nouvel accord de partenariat avec Universal Music et la société de distribution Bravado.
En s’associant à la reine pop, l’enseigne cible ainsi les plus jeunes. Par ailleurs, en se rapprochant de l’univers musical, elle se donne une image encore plus branchée. Des initiatives qui concourent à développer la notoriété du distributeur allemand qui, par ailleurs, booste son développement sur le sol français. Sur l’année, pas moins de huit nouvelles boutiques devraient ainsi voir le jour. Le géant nippon, de son côté, vient de lancer une vaste campagne sur ses tee-shirts U-T. Effervescence au rayon textile !
http://www.pointsdevente.fr/new-yorker-la-joue-sexy-et-rock-n-roll-avec-lady-gaga-art269607-19.html
New Yorker la joue sexy et rock’n roll avec Lady Gaga
Le spécialiste du textile fashion retrousse ses manches pour rivaliser avec le Japonais Uniqlo. En effet, New Yorker et Uniqlo sont les deux enseignes qui ont le vent en poupe en ce moment en France. Pour continuer sur cette lancée, chacune y va donc d’une communication renforcée et ciblée. Pour l’enseigne allemande, cela se traduit par l’arrivée d’une nouvelle égérie de marque: Lady Gaga. Ainsi que par un nouvel accord de partenariat avec Universal Music et la société de distribution Bravado.
En s’associant à la reine pop, l’enseigne cible ainsi les plus jeunes. Par ailleurs, en se rapprochant de l’univers musical, elle se donne une image encore plus branchée. Des initiatives qui concourent à développer la notoriété du distributeur allemand qui, par ailleurs, booste son développement sur le sol français. Sur l’année, pas moins de huit nouvelles boutiques devraient ainsi voir le jour. Le géant nippon, de son côté, vient de lancer une vaste campagne sur ses tee-shirts U-T. Effervescence au rayon textile !
6300 COMMERCES A CEDER DANS LES 5 ANS A VENIR
Lu sur le site du journal Lsa le 22 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/6-300-commerces-a-ceder-dans-les-5-ans-a-venir,113071
6 300 commerces à céder dans les 5 ans à venir
Le 21 avril 2010 par SYLVIE LEBOULENGER
Ce mois-ci, la Fédération des enseignes du Commerce Associé publie les résultats de son observatoire 2009 sur les reprises et transmissions d’entreprises. Le contexte économique de l’année écoulée a été peu favorable aux transmissions d’entreprises néanmoins les résultats s’inscrivent dans la même tendance des années précédentes et les réseaux s’organisent pour faire face à un nombre conséquent de transmissions dans les années à venir. L’observatoire affiche un léger fléchissement du nombre de transmissions par rapport aux années précédentes. En 2009, ce sont en effet 1191 entreprises qui ont été transmises contre 1432 en 2008, soit une baisse de 16,8%. Au regard des différents observatoires publiés par la Fédération, aucune baisse n’avait été constatée depuis 2005, celle de 2009 se justifiant principalement par le contexte conjoncturel difficile : certains entrepreneurs ont différé leur projet de transmissions ou de reprises. Les prévisions pour 2010 sont d’ailleurs beaucoup plus optimistes, les entrepreneurs interrogés estimant à 1419 les entreprises à transmettre pour cette même année (+ 19%). D’ici deux à cinq ans, les réseaux du Commerce Associé devront recruter plus de 6 300 entrepreneurs et observeront un pic de cessions de points de vente entre 2012 et 2015 pour 71,7% de leurs groupements. Ce sont ainsi, en moyenne, 18% des points de vente au sein d’un même réseau qui seront concernés dans ces transmissions, et plus particulièrement, ceux dans le domaine de l’alimentaire (33,5%), du B to B (22%) et de l’équipement de la personne et des loisirs (20%).
http://www.lsa-conso.fr/6-300-commerces-a-ceder-dans-les-5-ans-a-venir,113071
6 300 commerces à céder dans les 5 ans à venir
Le 21 avril 2010 par SYLVIE LEBOULENGER
Ce mois-ci, la Fédération des enseignes du Commerce Associé publie les résultats de son observatoire 2009 sur les reprises et transmissions d’entreprises. Le contexte économique de l’année écoulée a été peu favorable aux transmissions d’entreprises néanmoins les résultats s’inscrivent dans la même tendance des années précédentes et les réseaux s’organisent pour faire face à un nombre conséquent de transmissions dans les années à venir. L’observatoire affiche un léger fléchissement du nombre de transmissions par rapport aux années précédentes. En 2009, ce sont en effet 1191 entreprises qui ont été transmises contre 1432 en 2008, soit une baisse de 16,8%. Au regard des différents observatoires publiés par la Fédération, aucune baisse n’avait été constatée depuis 2005, celle de 2009 se justifiant principalement par le contexte conjoncturel difficile : certains entrepreneurs ont différé leur projet de transmissions ou de reprises. Les prévisions pour 2010 sont d’ailleurs beaucoup plus optimistes, les entrepreneurs interrogés estimant à 1419 les entreprises à transmettre pour cette même année (+ 19%). D’ici deux à cinq ans, les réseaux du Commerce Associé devront recruter plus de 6 300 entrepreneurs et observeront un pic de cessions de points de vente entre 2012 et 2015 pour 71,7% de leurs groupements. Ce sont ainsi, en moyenne, 18% des points de vente au sein d’un même réseau qui seront concernés dans ces transmissions, et plus particulièrement, ceux dans le domaine de l’alimentaire (33,5%), du B to B (22%) et de l’équipement de la personne et des loisirs (20%).
UNE BOUTIQUE OFFICIELLE DE L'OM A PARIS CET ETE
Lu sur le site Metrofrance le 22 avril 2010
http://www.metrofrance.com/sport/une-boutique-officielle-de-l-om-a-paris-cet-ete/rjdt!tIz@ZHwHopUFxBtcVtUDKw/
Une boutique officielle de l'OM à Paris cet été
Suite au renouvellement de son partenariat avec l'enseigne Made in Sport jusqu'en 2016, l'Olympique de Marseille ouvrira cet été une boutique officielle à Paris. L'implantation du magasin pourrait se faire dans le quartier des Halles selon diverses sources. Une information non confirmée par le service de presse de Made in Sport, contacté par Relaxnews mardi 20 avril.
Outre l'ouverture pour l'été 2010 d'une boutique officielle de l'Olympique de Marseille à Paris, deux autres magasins aux couleurs du club phocéen verront le jour à Vitrolles, avant la fin de saison, et à Marseille-LaValentine, dans les Bouches-du-Rhône, début 2011.
Cette annonce résulte du renouvellement du partenariat entre le club marseillais et Made in Sport jusqu'au 30 juin 2016. Filiale du groupe Printemps, l'enseigne de distribution d'articles de sport détient en effet les droits "boutique officielle Olympique de Marseille" et "vente à distance officielle OM".
Les supporters pourront aussi faire leur shopping au sein de "corners" consacrés à leur équipe de football préférée dans les magasins Made in Sport 100% football à Lille et Nice. Le lancement de ces espaces spéciaux aura lieu d'ici trois mois.
Site : www.om.net
http://www.metrofrance.com/sport/une-boutique-officielle-de-l-om-a-paris-cet-ete/rjdt!tIz@ZHwHopUFxBtcVtUDKw/
Une boutique officielle de l'OM à Paris cet été
Suite au renouvellement de son partenariat avec l'enseigne Made in Sport jusqu'en 2016, l'Olympique de Marseille ouvrira cet été une boutique officielle à Paris. L'implantation du magasin pourrait se faire dans le quartier des Halles selon diverses sources. Une information non confirmée par le service de presse de Made in Sport, contacté par Relaxnews mardi 20 avril.
Outre l'ouverture pour l'été 2010 d'une boutique officielle de l'Olympique de Marseille à Paris, deux autres magasins aux couleurs du club phocéen verront le jour à Vitrolles, avant la fin de saison, et à Marseille-LaValentine, dans les Bouches-du-Rhône, début 2011.
Cette annonce résulte du renouvellement du partenariat entre le club marseillais et Made in Sport jusqu'au 30 juin 2016. Filiale du groupe Printemps, l'enseigne de distribution d'articles de sport détient en effet les droits "boutique officielle Olympique de Marseille" et "vente à distance officielle OM".
Les supporters pourront aussi faire leur shopping au sein de "corners" consacrés à leur équipe de football préférée dans les magasins Made in Sport 100% football à Lille et Nice. Le lancement de ces espaces spéciaux aura lieu d'ici trois mois.
Site : www.om.net
CARREFOUR : PLUS DE 100 MAGASINS DIA OUVERTS EN FRANCE
Lu sur le site Edubourse le 22 avril 2010
http://www.edubourse.com/finance/actualites.php?actu=62360
Carrefour - Plus de 100 magasins Dia ouverts en France
Source : Communiqué de presse - Actualité publiée le 21 Avril 2010 à 18:46
Moins d’un an après l’ouverture des premiers points de vente sous enseigne DIA en France, le groupe Carrefour compte déjà plus de 100 magasins DIA sur le territoire.
Les magasins DIA offrent à leurs clients un concept qui a fait ses preuves à l’international et
qui connaît un réel succès en France. Avec un positionnement commercial résolument Hard Discount, les magasins au design moderne privilégient le confort d’achat et valorisent la fraîcheur des produits. Les clients peuvent ainsi profiter, dans un espace convivial et lumineux, d’un assortiment de 3 000 références qui leur assurent une alimentation variée et
équilibrée à prix Hard Discount.
La qualité et l’origine contrôlée des 1 700 produits DIA, la fraîcheur, la variété de plus de
100 Fruits & Légumes, une sélection de grandes marques constituent la recette d’un magasin conçu pour satisfaire les attentes de toute la famille.
L’ouverture des magasins DIA va se poursuivre tout au long de l’année sur un rythme
soutenu.
http://www.edubourse.com/finance/actualites.php?actu=62360
Carrefour - Plus de 100 magasins Dia ouverts en France
Source : Communiqué de presse - Actualité publiée le 21 Avril 2010 à 18:46
Moins d’un an après l’ouverture des premiers points de vente sous enseigne DIA en France, le groupe Carrefour compte déjà plus de 100 magasins DIA sur le territoire.
Les magasins DIA offrent à leurs clients un concept qui a fait ses preuves à l’international et
qui connaît un réel succès en France. Avec un positionnement commercial résolument Hard Discount, les magasins au design moderne privilégient le confort d’achat et valorisent la fraîcheur des produits. Les clients peuvent ainsi profiter, dans un espace convivial et lumineux, d’un assortiment de 3 000 références qui leur assurent une alimentation variée et
équilibrée à prix Hard Discount.
La qualité et l’origine contrôlée des 1 700 produits DIA, la fraîcheur, la variété de plus de
100 Fruits & Légumes, une sélection de grandes marques constituent la recette d’un magasin conçu pour satisfaire les attentes de toute la famille.
L’ouverture des magasins DIA va se poursuivre tout au long de l’année sur un rythme
soutenu.
LYON : 25 NOUVEAUX MAGASINS A LA PART DIEU LE 3 MAI
Lu sur le site Lyon.france-webzine.com le 22 avril 2010
http://lyon.france-webzine.com/news/business/2006-lyon-25-nouveaux-magasins-a-la-part-dieu-le-3-mai-.html
Mercredi, 21 Avril 2010 13:44
Attendue depuis plusieurs mois par les lyonnais, l'extension du centre commercial de la Part Dieu ouvrira ses portes le 3 mai prochain. Un concours de la plus grande chanson du monde sera également lancé pour l'évènement.
Le 3 mai prochain, la nouvelle extension du centre commercial de la Part Dieu ouvrira ses porte. Près de 25 nouvelles enseignes verront ainsi le jour telles que Monoprix, G Star, Tommy Hilfiger ou encore New Look. Grâce à ces 15 000 m2 supplémentaires sur 5 niveaux, la Part Dieu deviendra le plus grand centre commercial urbain d'Europe en nombre de boutiques.
A cette occasion, un grand défi est lancé aux lyonnais, avec le projet d'enregistrer la plus grande chanson du monde. En effet, à partir du 3 mai à 18h, les lyonnais et visiteurs du centre commercial pourront enregistrer une partie d'une chanson composée spécialement pour l'évènement. Les organisateurs souhaitent dépasser les 1000 participants entre le 3 et le 15 mai.
http://lyon.france-webzine.com/news/business/2006-lyon-25-nouveaux-magasins-a-la-part-dieu-le-3-mai-.html
Mercredi, 21 Avril 2010 13:44
Attendue depuis plusieurs mois par les lyonnais, l'extension du centre commercial de la Part Dieu ouvrira ses portes le 3 mai prochain. Un concours de la plus grande chanson du monde sera également lancé pour l'évènement.
Le 3 mai prochain, la nouvelle extension du centre commercial de la Part Dieu ouvrira ses porte. Près de 25 nouvelles enseignes verront ainsi le jour telles que Monoprix, G Star, Tommy Hilfiger ou encore New Look. Grâce à ces 15 000 m2 supplémentaires sur 5 niveaux, la Part Dieu deviendra le plus grand centre commercial urbain d'Europe en nombre de boutiques.
A cette occasion, un grand défi est lancé aux lyonnais, avec le projet d'enregistrer la plus grande chanson du monde. En effet, à partir du 3 mai à 18h, les lyonnais et visiteurs du centre commercial pourront enregistrer une partie d'une chanson composée spécialement pour l'évènement. Les organisateurs souhaitent dépasser les 1000 participants entre le 3 et le 15 mai.
KA INTERNATIONAL FERME DES MAGASINS EN FRANCE ET DANS LE MONDE
Lu sur le site Franchise Magazine le 22 avril 2010
Ka International ferme des magasins en France et dans le monde
Par Olivia Leroux, Franchise-Magazine.com
DÉCORATION - SUCCES ET DERAPAGES, publié le mercredi 21 avril 2010
Mise en difficulté par la crise, Ka International a du se résoudre à fermer, ces deux dernières années, de nombreux magasins dans le monde. L’enseigne espagnole de textile et de décoration, qui comptait 420 boutiques en 2007, n’en recensait plus que 345 à fin 2009. Pour un chiffre d’affaires tombé, sur la même période, de 150 à 110 millions d’euros.
La France n’est pas épargnée. "Nous n’avons plus dans ce pays que 27 boutiques", indiquait hier Roberto Alonso à nos confrères du Journal du Textile. Le directeur général de l’entreprise précisant que le réseau avait connu en 2009 "5 fermetures pour 2 ouvertures" et qu’il pourrait encore fermer 2 points de vente en 2010. Mais affirmant que l’enseigne ne renonçait pour autant pas à l’objectif de doubler son parc hexagonal d’ici à 2014.
Propriété d’un fonds d’investissement (Mercapital) depuis 2003, Ka International est arrivée en France au début des années 90. La marque y a exploité jusqu’à 35 magasins, majoritairement en franchise.
Ka International ferme des magasins en France et dans le monde
Par Olivia Leroux, Franchise-Magazine.com
DÉCORATION - SUCCES ET DERAPAGES, publié le mercredi 21 avril 2010
Mise en difficulté par la crise, Ka International a du se résoudre à fermer, ces deux dernières années, de nombreux magasins dans le monde. L’enseigne espagnole de textile et de décoration, qui comptait 420 boutiques en 2007, n’en recensait plus que 345 à fin 2009. Pour un chiffre d’affaires tombé, sur la même période, de 150 à 110 millions d’euros.
La France n’est pas épargnée. "Nous n’avons plus dans ce pays que 27 boutiques", indiquait hier Roberto Alonso à nos confrères du Journal du Textile. Le directeur général de l’entreprise précisant que le réseau avait connu en 2009 "5 fermetures pour 2 ouvertures" et qu’il pourrait encore fermer 2 points de vente en 2010. Mais affirmant que l’enseigne ne renonçait pour autant pas à l’objectif de doubler son parc hexagonal d’ici à 2014.
Propriété d’un fonds d’investissement (Mercapital) depuis 2003, Ka International est arrivée en France au début des années 90. La marque y a exploité jusqu’à 35 magasins, majoritairement en franchise.
mercredi 21 avril 2010
LES PREMIERS STORES A L'ENSEIGEN BEST BUY OUVRIRONT EN 2010 EN GRANDE-BRETAGNE
Lu sur le site du journal Points de Vente le 21 avril 2010
http://www.pointsdevente.fr/les-premiers-stores-a-l-enseigne-jaune-ouvriront-en-2010-en-grande-bretagne-art269547-19.html
Les premiers stores à l'enseigne jaune ouvriront en 2010 en Grande-Bretagne
A la fin de l'année 2009, l'ogre américain Best Buy prévoyait d'installer une centaine de magasins en Europe d'ici à 2013, en ciblant particulièrement la Grande-Bretagne. Les choses se précisent cette année, avec l'annonce officielle des premières ouvertures du concept grand format Best Buy outre-Manche. En mai, l'enseigne s'implantera ainsi à Thurrock et en juin à Hedge End (Southampton) et à Merry Hill (West Midlands). Au second semestre, deux autres inaugurations Best Buy sont planifiées : une à Aintree (près de Liverpool) et une autre à Croydon. Un programme ambitieux qui devrait encore s'accélérer en 2011.
C.Magaud
http://www.pointsdevente.fr/les-premiers-stores-a-l-enseigne-jaune-ouvriront-en-2010-en-grande-bretagne-art269547-19.html
Les premiers stores à l'enseigne jaune ouvriront en 2010 en Grande-Bretagne
A la fin de l'année 2009, l'ogre américain Best Buy prévoyait d'installer une centaine de magasins en Europe d'ici à 2013, en ciblant particulièrement la Grande-Bretagne. Les choses se précisent cette année, avec l'annonce officielle des premières ouvertures du concept grand format Best Buy outre-Manche. En mai, l'enseigne s'implantera ainsi à Thurrock et en juin à Hedge End (Southampton) et à Merry Hill (West Midlands). Au second semestre, deux autres inaugurations Best Buy sont planifiées : une à Aintree (près de Liverpool) et une autre à Croydon. Un programme ambitieux qui devrait encore s'accélérer en 2011.
C.Magaud
L'AMERICAIN COACH DEBARQUE EN FRANCE AU PRINTEMPS
Lu sur le site du journal Les Echos le 21 avril 2010
http://www.lesechos.fr/info/distri/020490688275-l-americain-coach-debarque-en-france-chez-printemps.htm
L'américain Coach débarque en France chez Printemps
[ 21/04/10 ]
Coach débarque en France. La marque américaine d'accessoires a signé un accord avec Printemps. Elle va ouvrir « au moins 14 shop-in-shops dans différents Printemps dans les trois ans ». Sa première boutique ouvrira en juin boulevard Haussmann à Paris. Cinq boutiques devraient ouvrir d'ici la fin de l'année. « L'ouverture en France, marché majeur, est le premier pas d'une stratégie d'expansion européenne », a déclaré Ian Bickley, président international de Coach. Le président du Printemps, Paolo de Cesare, s'est félicité d'offrir à ses clients « la possibilité de découvrir une marque (…) d'un excellent rapport qualité-prix ». Coach a annoncé hier des résultats meilleurs que prévus. Ses ventes trimestrielles ont progressé de 12 % à 831 millions de dollars (617 millions d'euros), et son résultat net a bondi de 37 % à 157,6 millions.
Les Echos
http://www.lesechos.fr/info/distri/020490688275-l-americain-coach-debarque-en-france-chez-printemps.htm
L'américain Coach débarque en France chez Printemps
[ 21/04/10 ]
Coach débarque en France. La marque américaine d'accessoires a signé un accord avec Printemps. Elle va ouvrir « au moins 14 shop-in-shops dans différents Printemps dans les trois ans ». Sa première boutique ouvrira en juin boulevard Haussmann à Paris. Cinq boutiques devraient ouvrir d'ici la fin de l'année. « L'ouverture en France, marché majeur, est le premier pas d'une stratégie d'expansion européenne », a déclaré Ian Bickley, président international de Coach. Le président du Printemps, Paolo de Cesare, s'est félicité d'offrir à ses clients « la possibilité de découvrir une marque (…) d'un excellent rapport qualité-prix ». Coach a annoncé hier des résultats meilleurs que prévus. Ses ventes trimestrielles ont progressé de 12 % à 831 millions de dollars (617 millions d'euros), et son résultat net a bondi de 37 % à 157,6 millions.
Les Echos
UN DEUXIEME MAGASIN GEANT UNIQLO A NEW YORK
Lu sur le site Cyberpresse.com le 21 avril 2010
http://www.cyberpresse.ca/vivre/mode/201004/20/01-4272343-un-deuxieme-magasin-geant-uniqlo-a-new-york.php
Un deuxième magasin géant Uniqlo à New York
Agence France-Presse
Tokyo
La chaîne d'habillement japonaise Uniqlo a annoncé lundi qu'elle allait ouvrir l'an prochain un deuxième magasin géant à New York, qui devrait être le plus grand de la marque dans le monde.
Fast Retailing, la maison mère d'Uniqlo, a annoncé la signature d'un bail pour un local de 8300 m2 dans la 5e avenue de New York. Ce local, comprendra le magasin lui-même, ainsi que des bureaux et des entrepôts.
Uniqlo exploite déjà depuis 2006 un magasin de 3300 m2, le plus grand de la chaîne dans le monde, dans le quartier new-yorkais de SoHo.
Fast Retailing, qui s'est fixé pour objectif de dépasser d'ici à quelques années l'américain Gap, le suédois Hennes & Mauritz (H&M) et l'espagnol Zara pour devenir le numéro un mondial du vêtement décontracté, multiplie les acquisitions et les ouvertures de magasins partout dans le monde.
Uniqlo a notamment ouvert l'an dernier un «flagship» (magasin géant) de 2150 m2 à Paris.
http://www.cyberpresse.ca/vivre/mode/201004/20/01-4272343-un-deuxieme-magasin-geant-uniqlo-a-new-york.php
Un deuxième magasin géant Uniqlo à New York
Agence France-Presse
Tokyo
La chaîne d'habillement japonaise Uniqlo a annoncé lundi qu'elle allait ouvrir l'an prochain un deuxième magasin géant à New York, qui devrait être le plus grand de la marque dans le monde.
Fast Retailing, la maison mère d'Uniqlo, a annoncé la signature d'un bail pour un local de 8300 m2 dans la 5e avenue de New York. Ce local, comprendra le magasin lui-même, ainsi que des bureaux et des entrepôts.
Uniqlo exploite déjà depuis 2006 un magasin de 3300 m2, le plus grand de la chaîne dans le monde, dans le quartier new-yorkais de SoHo.
Fast Retailing, qui s'est fixé pour objectif de dépasser d'ici à quelques années l'américain Gap, le suédois Hennes & Mauritz (H&M) et l'espagnol Zara pour devenir le numéro un mondial du vêtement décontracté, multiplie les acquisitions et les ouvertures de magasins partout dans le monde.
Uniqlo a notamment ouvert l'an dernier un «flagship» (magasin géant) de 2150 m2 à Paris.
mardi 20 avril 2010
LA CDAC DE SEINE ET MARNE AUTORISE LE PROJET D'IMMOCHAN POUR MEAUX
Lu sur le site du journal LSA le 20 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/la-cdac-de-seine-et-marne-autorise-le-projet-d-immochan-pour-meaux,112988
La CDAC de Seine-et-Marne autorise le projet d'Immochan pour Meaux
Vendredi 16 avril, la CDAC de Seine-et-Marne réunie à Melun a autorisé le projet d’Immochan pour Meaux. Connu sous le nom des « Saisons de Meaux » il développera 46 100 m² de surfaces commerciales (pour un total d’occupation de 65 800 m²) sur la zac du Pays de Meaux. On y trouvera évidemment un hyper Auchan (11 500 m²), une grande surface de bricolage non encore communiquée, ainsi que 90 boutiques et moyennes surfaces. Jean-François Copé, maire de Meaux et président de la communauté d’agglomération de Meaux s’est dûment impliqué dans ce projet qui palliera l’absence locale d’équipements commerciaux forts et devrait endiguer l’évasion commerciale vers Marne-la-Vallée et Claye-Souilly, notamment. Ce projet inclut aussi un volet environnemental pour lequel Immochan vise le niveau « very good » de la certification Breeam (BRE Environmental Assessment Method) délivré par le BRE (Building Research Establishment) britannique. L’ouverture du centre est annoncée pour octobre 2012
http://www.lsa-conso.fr/la-cdac-de-seine-et-marne-autorise-le-projet-d-immochan-pour-meaux,112988
La CDAC de Seine-et-Marne autorise le projet d'Immochan pour Meaux
Vendredi 16 avril, la CDAC de Seine-et-Marne réunie à Melun a autorisé le projet d’Immochan pour Meaux. Connu sous le nom des « Saisons de Meaux » il développera 46 100 m² de surfaces commerciales (pour un total d’occupation de 65 800 m²) sur la zac du Pays de Meaux. On y trouvera évidemment un hyper Auchan (11 500 m²), une grande surface de bricolage non encore communiquée, ainsi que 90 boutiques et moyennes surfaces. Jean-François Copé, maire de Meaux et président de la communauté d’agglomération de Meaux s’est dûment impliqué dans ce projet qui palliera l’absence locale d’équipements commerciaux forts et devrait endiguer l’évasion commerciale vers Marne-la-Vallée et Claye-Souilly, notamment. Ce projet inclut aussi un volet environnemental pour lequel Immochan vise le niveau « very good » de la certification Breeam (BRE Environmental Assessment Method) délivré par le BRE (Building Research Establishment) britannique. L’ouverture du centre est annoncée pour octobre 2012
BUT PRESENTE UN NOUVEAU CONCEPT DE MAGASIN
Lu sur le site www.decotidien.com le 20 avril 2010
BUT présente un nouveau concept de magasin
BUT présente un nouveau concept de magasin
BUT, enseigne spécialisée dans l'équipement de la maison, présente un nouveau concept de magasin. Testé sur l'ensemble des 34 rénovations prévues en 2010, ce nouveau concept mettra l'accent sur la décoration, le libre service et le style des différentes collections. Les magasins seront dotés entre autres d'une façade anthracite et d'un show-room de présentation de meubles plus élargi. 70% de l'offre meuble et décoration a également été retravaillée pour que les clients puissent découvrir de nouvelles gammes. La première ouverture sera celle du magasin d'Auxerre le 24 mai prochain.
BUT présente un nouveau concept de magasin
BUT présente un nouveau concept de magasin
BUT, enseigne spécialisée dans l'équipement de la maison, présente un nouveau concept de magasin. Testé sur l'ensemble des 34 rénovations prévues en 2010, ce nouveau concept mettra l'accent sur la décoration, le libre service et le style des différentes collections. Les magasins seront dotés entre autres d'une façade anthracite et d'un show-room de présentation de meubles plus élargi. 70% de l'offre meuble et décoration a également été retravaillée pour que les clients puissent découvrir de nouvelles gammes. La première ouverture sera celle du magasin d'Auxerre le 24 mai prochain.
lundi 19 avril 2010
LE PRINTEMPS OUVRIRA UN MAGASIN DANS LE SUD DE LA FRANCE EN 2013
Lu sur le site du journal LSA le 18 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/le-printemps-ouvrira-un-magasin-dans-le-sud-de-la-france-en-2013,112987
Le Printemps ouvrira un magasin dans le sud de la France en 2013
Le 16 avril 2010 par Sylvie Lavabre
Le Printemps a annoncé l’ouverture d’un nouveau magasin de 5000m² dans le Sud de la France, à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) selon La Tribune, d’ici fin 2013. L’enseigne a réalisé pour son exercice 2009-2010 (clos au 30 mars) un chiffre d’affaires de 1,1 milliard d’euros en baisse de 2,9%. Les départements mode et accessoires représentent désormais 74,2% des ventes avec un panier moyen en hausse de 23% depuis 2006. Sur les 4 derniers mois, le nouveau département luxe du magasin du boulevard Haussmann a vu ses ventes progresser de plus de 30% de la maroquinerie et de plus de 15% pour la joaillerie et l’horlogerie. En 2010, le Printemps table à Paris sur une progression de 6% à 8% et de 1 à 2 % pour les autres points de vente du réseau (17 au total).
http://www.lsa-conso.fr/le-printemps-ouvrira-un-magasin-dans-le-sud-de-la-france-en-2013,112987
Le Printemps ouvrira un magasin dans le sud de la France en 2013
Le 16 avril 2010 par Sylvie Lavabre
Le Printemps a annoncé l’ouverture d’un nouveau magasin de 5000m² dans le Sud de la France, à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) selon La Tribune, d’ici fin 2013. L’enseigne a réalisé pour son exercice 2009-2010 (clos au 30 mars) un chiffre d’affaires de 1,1 milliard d’euros en baisse de 2,9%. Les départements mode et accessoires représentent désormais 74,2% des ventes avec un panier moyen en hausse de 23% depuis 2006. Sur les 4 derniers mois, le nouveau département luxe du magasin du boulevard Haussmann a vu ses ventes progresser de plus de 30% de la maroquinerie et de plus de 15% pour la joaillerie et l’horlogerie. En 2010, le Printemps table à Paris sur une progression de 6% à 8% et de 1 à 2 % pour les autres points de vente du réseau (17 au total).
ORCHESTRA : CA EN HAUSSE AU 4ème TRIMESTRE DE L'EXERCICE 2009/2010
Lu sur le site du journal LSA le 18 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/orchestra-ca-en-hausse-au-4eme-trimestre-de-l-exercice-2009-2010,112979
Orchestra : CA en hausse au 4eme trimestre de l'exercice 2009-2010
Sur le quatrième trimestre de l’exercice 2009-2010 qui couvre la période allant du 1er décembre 2009 au 28 février 2010, Orchestra a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 37,8 M€, en hausse de +8,1% par rapport à l’exercice précédent. L’activité est en croissance de +17,4% en France et baisse de -6,8% à l’international. Le chiffre d’affaires contrôlé (prix public des articles vendus) s’élève à 64,3 M€, en hausse de +18,7%. Au 28 février 2010, le parc de magasins comptait 433 unités à l’enseigne (dont 225 en France), soit une hausse de 23 unités (dont 9 en franchises) par rapport au 28 février 2009. Depuis le début de l’exercice, l’activité franchise/multimarque est stable; celle des succursales progresse de 15,2% et représente 49,6% du chiffre d’affaires consolidé de la période. La filiale « Clubatcost », conformément aux prévisions, a dépassé les 10.700 membres, les 365.000 inscrits et a réalisé un chiffre d’affaires hors taxes de plus de 1,9 millions d’euros depuis son lancement.
http://www.lsa-conso.fr/orchestra-ca-en-hausse-au-4eme-trimestre-de-l-exercice-2009-2010,112979
Orchestra : CA en hausse au 4eme trimestre de l'exercice 2009-2010
Sur le quatrième trimestre de l’exercice 2009-2010 qui couvre la période allant du 1er décembre 2009 au 28 février 2010, Orchestra a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 37,8 M€, en hausse de +8,1% par rapport à l’exercice précédent. L’activité est en croissance de +17,4% en France et baisse de -6,8% à l’international. Le chiffre d’affaires contrôlé (prix public des articles vendus) s’élève à 64,3 M€, en hausse de +18,7%. Au 28 février 2010, le parc de magasins comptait 433 unités à l’enseigne (dont 225 en France), soit une hausse de 23 unités (dont 9 en franchises) par rapport au 28 février 2009. Depuis le début de l’exercice, l’activité franchise/multimarque est stable; celle des succursales progresse de 15,2% et représente 49,6% du chiffre d’affaires consolidé de la période. La filiale « Clubatcost », conformément aux prévisions, a dépassé les 10.700 membres, les 365.000 inscrits et a réalisé un chiffre d’affaires hors taxes de plus de 1,9 millions d’euros depuis son lancement.
dimanche 18 avril 2010
RECORD DE NON OCCUPATION DE MAGASINS DANS LES CENTRES-VILLES FLAMANDS
Lu sur le site du journal Le Vif Expresse News Belgique le 18 avril
http://levif.rnews.be/fr/news/belga-generique/record-de-non-occupation-de-magasins-dans-les-centres-villes-flamands/article-1194716051176.htm
17 avril 2010 à 12h19
Record de non-occupation de magasins dans les centres-villes flamands
null
Le syndicat neutre des indépendants (SNI-NSZ) a interrogé 281 commerçants dans 13 centres-villes de Flandre. Plus de 73 pc des exploitants affirment que les bâtiments non-occupés ont augmenté considérablement ces deux dernières années. Le secteur immobilier confirme ce constat, parlant d'une hausse de 10 à 20 pc d'immeubles commerciaux vides. La crise et les faillites consécutives en sont les causes principales, mais les commerçants évoquent également les politiques urbaines de stationnement payant ainsi que la multiplications des chaînes de grands magasins. (ROJ)
http://levif.rnews.be/fr/news/belga-generique/record-de-non-occupation-de-magasins-dans-les-centres-villes-flamands/article-1194716051176.htm
17 avril 2010 à 12h19
Record de non-occupation de magasins dans les centres-villes flamands
null
Le syndicat neutre des indépendants (SNI-NSZ) a interrogé 281 commerçants dans 13 centres-villes de Flandre. Plus de 73 pc des exploitants affirment que les bâtiments non-occupés ont augmenté considérablement ces deux dernières années. Le secteur immobilier confirme ce constat, parlant d'une hausse de 10 à 20 pc d'immeubles commerciaux vides. La crise et les faillites consécutives en sont les causes principales, mais les commerçants évoquent également les politiques urbaines de stationnement payant ainsi que la multiplications des chaînes de grands magasins. (ROJ)
samedi 17 avril 2010
LES VENTES TEXTILES PROGRESSENT EN MARS
Lu sur le site du journal LSA le 17 avril 2010
http://www.lsa-conso.fr/les-ventes-textiles-progressent-en-mars,112984
Les ventes textiles progressent en mars
Le 16 avril 2010 par Jean-Baptiste DUVAL
Selon les premiers résultats disponibles auprès de l’Institut français de la mode, les ventes d’articles d’habillement et textiles auraient affiché une progression de l’ordre de 4 % en valeur par rapport à la très mauvaise référence de mars 2009. En moyenne, les indépendants multimarques affichent une progression de 1 % en valeur et l’ensemble des chaînes une hausse de 6 % ; les grands magasins et les magasins populaires voient eux leurs ventes augmenter de 4 %.
http://www.lsa-conso.fr/les-ventes-textiles-progressent-en-mars,112984
Les ventes textiles progressent en mars
Le 16 avril 2010 par Jean-Baptiste DUVAL
Selon les premiers résultats disponibles auprès de l’Institut français de la mode, les ventes d’articles d’habillement et textiles auraient affiché une progression de l’ordre de 4 % en valeur par rapport à la très mauvaise référence de mars 2009. En moyenne, les indépendants multimarques affichent une progression de 1 % en valeur et l’ensemble des chaînes une hausse de 6 % ; les grands magasins et les magasins populaires voient eux leurs ventes augmenter de 4 %.
ASCENCIO : ACQUISITION DE 7 " GRAND FRAIS"
Lu sur le site Boursorama le 17 avril 2010
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=bbe67c481bb0f3d9b7c2e366e88f4b40
Ascencio : 1ère acquisition en France pour 21,3ME.
(CercleFinance.com) - Ascencio annonce avoir conclu hier l'acquisition de 7 magasins exploités sous l'enseigne ' Grand Frais ' par la reprise des parts de 7 sociétés civiles immobilières (SCI).
L'investissement porte sur un montant de 21,3 millions d'euros, qui ne dépasse pas l'estimation de l'expert immobilier, précise la société immobilière belge.
L'opération sera relutive dès l'exercice en cours et devrait permettre d'augmenter le résultat consolidé 2009/2010 de 5 cents par action, explique la Sicafi spécialisée en immobilier commercial.
Tous les magasins sont loués aux partenaires Grand Frais dans le cadre de baux de 9 ans fermes ainsi qu'à quelques petits indépendants pour certaines cellules annexes (boulangerie, coiffeur, fleuriste, etc).
Rappelons que les magasins Grand Frais sont entièrement consacrés à l'alimentation. Ils font partie de cette nouvelle mouvance qui offre au consommateur un maximum de produits alimentaires frais et exclut tout autre produit non alimentaire.
Les magasins sont situés à Nancy, L'Isle d'Abeau, Seyssins, Echirolles, Nîmes, Le Creusot et Brives Charensac. Ils développent une surface de vente moyenne d'environ 1.000 m², dans des bâtiments récents, en majorité.
A l'issue de cette opération, le portefeuille d'Ascencio s'élève à une juste valeur d'environ 281 millions d'euros, soit une augmentation de quelques 8% par rapport au 31 décembre dernier.
Par ailleurs, Ascencio rappelle qu'elle a introduit une demande en vue d'obtenir pour sa succursale française le statut de ' SIIC ' (Société d'Investissements Immobiliers Cotée), statut assez proche de celui de la SICAFI belge.
La France semble receler un potentiel de développement important et Ascencio compte donc y envisager de nouvelles acquisitions pour des biens neufs, bénéficiant d'une localisation attractive et exploités par des enseignes de qualité.
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=bbe67c481bb0f3d9b7c2e366e88f4b40
Ascencio : 1ère acquisition en France pour 21,3ME.
(CercleFinance.com) - Ascencio annonce avoir conclu hier l'acquisition de 7 magasins exploités sous l'enseigne ' Grand Frais ' par la reprise des parts de 7 sociétés civiles immobilières (SCI).
L'investissement porte sur un montant de 21,3 millions d'euros, qui ne dépasse pas l'estimation de l'expert immobilier, précise la société immobilière belge.
L'opération sera relutive dès l'exercice en cours et devrait permettre d'augmenter le résultat consolidé 2009/2010 de 5 cents par action, explique la Sicafi spécialisée en immobilier commercial.
Tous les magasins sont loués aux partenaires Grand Frais dans le cadre de baux de 9 ans fermes ainsi qu'à quelques petits indépendants pour certaines cellules annexes (boulangerie, coiffeur, fleuriste, etc).
Rappelons que les magasins Grand Frais sont entièrement consacrés à l'alimentation. Ils font partie de cette nouvelle mouvance qui offre au consommateur un maximum de produits alimentaires frais et exclut tout autre produit non alimentaire.
Les magasins sont situés à Nancy, L'Isle d'Abeau, Seyssins, Echirolles, Nîmes, Le Creusot et Brives Charensac. Ils développent une surface de vente moyenne d'environ 1.000 m², dans des bâtiments récents, en majorité.
A l'issue de cette opération, le portefeuille d'Ascencio s'élève à une juste valeur d'environ 281 millions d'euros, soit une augmentation de quelques 8% par rapport au 31 décembre dernier.
Par ailleurs, Ascencio rappelle qu'elle a introduit une demande en vue d'obtenir pour sa succursale française le statut de ' SIIC ' (Société d'Investissements Immobiliers Cotée), statut assez proche de celui de la SICAFI belge.
La France semble receler un potentiel de développement important et Ascencio compte donc y envisager de nouvelles acquisitions pour des biens neufs, bénéficiant d'une localisation attractive et exploités par des enseignes de qualité.
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