lu sur le site du journal LSA le 28 mars 2011
Le drive et la proximité attirent de plus en plus les Français
Le 25 mars 2011 par Magali Picard
Selon la dernière livraison de Kantar Worldpanel, les Français consacrent 6,1% de leurs dépenses sur le dernier trimestre (novembre, décembre et janvier 2011) aux achats de drive et de proximité. Celles pour le drive progressent de 8% et celles pour la proximité de 7% alors que les circuits classiques n'ont droit qu'à une hausse de 2% sur la même période. Les "shop drivers" se recrutent parmi les jeunes familles urbaines, actives et pressées qui cherchent à gagner du temps, ceux qui aiment la proximité sont plutôt parisiens.
lundi 28 mars 2011
EMBELIE POUR LE COMMERCE SPECIALISE
lu sur le site du journal LSA le 28 mars 2011
Embellie pour le commerce spécialisé
Le 25 mars 2011 par Magali Picard
En février, les enseignes du commerce spécialisé ont connu un rebond de leur activité (+4% et +1,4% en cumul depuis le début de l'année). Ces bonnes performances sont à mettre sur le compte d'un rattrapage des soldes, ces derniers ayant été décalés d'une semaine en janvier. Les sites de centre-ville sont ceux qui en ont le plus profité (+4,3%), la périphérie arrivant derrière (+3,9%). L'équipement de la personne et celui de la maison ont été particulièrement dynamiques, la santé-beauté et les loisirs ont connu des évolutions négatives.
Embellie pour le commerce spécialisé
Le 25 mars 2011 par Magali Picard
En février, les enseignes du commerce spécialisé ont connu un rebond de leur activité (+4% et +1,4% en cumul depuis le début de l'année). Ces bonnes performances sont à mettre sur le compte d'un rattrapage des soldes, ces derniers ayant été décalés d'une semaine en janvier. Les sites de centre-ville sont ceux qui en ont le plus profité (+4,3%), la périphérie arrivant derrière (+3,9%). L'équipement de la personne et celui de la maison ont été particulièrement dynamiques, la santé-beauté et les loisirs ont connu des évolutions négatives.
samedi 26 mars 2011
LES MAGASINS DECATHLON MENENT UN TRAIN D'ENFER
lu sur le site du journal Les Echos le 26 mars 2011
Les magasins Décathlon mènent un train d'enfer
La principale enseigne du groupe Oxylane a ouvert 65 magasins en 2010. Sa maison mère, premier distributeur européen d'articles de sport, a réalisé un chiffre d'affaires de près de 6 milliards d'euros, en hausse de 9,9%.
Le groupe Oxylane, dont la principale enseigne est Décathlon, a publié, vendredi, le chiffre d'affaires de son exercice 2010, à 5,978 milliards d'euros (HT), en progression de 9,9% par rapport à 2009 (où il avait crû de 9,5% par rapport à 2008). A périmètre comparable, la croissance s'est établie à 1,9%, marquant un ralentissement par rapport à celle de 2009 (+4%). Le groupe appartenant à la galaxie Mulliez ne donnant de précision ni par enseigne ni par pays, il est difficile de comparer cette progression, qui inclut toute l'activité du premier distributeur européen d'articles de sport, avec celle de 1% du marché français de la distribution spécialisée en 2010, établi par la fédération professionnelle des entreprises du sport.
Il ne fait pourtant guère de doute que Décathlon, qui compte cinq magasins supplémentaires dans l'Hexgaone, pour en totaliser 240 à fin 2010 (dont 19 ont été par ailleurs rénovés et agrandis), a gagné des parts de marché. Parmi ses challengers, Go Sport, par exemple, a publié un chiffre d'affaires à 683,1 millions d'euros (HT), en baisse de 1,5% pour 2010, et même de 3,1% en France.
Une chose est sûre, que ce soit pour son enseigne phare comme pour ses déclinaisons, le groupe Oxylane a encore accéléré son développement l'an dernier avec 99 ouvertures au total, dont 65 pour Décathlon (contre 45 en 2009, 31 en 2008, 32 en 2007) et 34 pour les autres enseignes. A elle seule, Koodza, sur un positionnement discount, a ouvert 23 magasins l'an dernier pour en totaliser 59.
Quant à l'international, il progresse toujours, représentant désormais 53,3 % du chiffre d'affaires total, contre 53% en 2009. Sur les 65 ouvertures de Décathlon, qui totalisait 535 magasins à fin 2010, seules sept ont eu lieu en France. Avec deux fermetures, cela donne même cinq ouvertures nettes dans l'Hexagone.
Implantation dans deux nouveaux pays
Après la Roumanie en 2009, qui compte cinq magasins dont quatre lancés l'an dernier, Décathlon s'est implanté dans deux nouveaux pays en 2010: la Turquie, sur deux sites à Ankara et Istanbul, et la République Tchèque, au nord de Prague. L'expansion de l'enseigne à l'étranger passe surtout par l'Italie (douze magasins supplémentaires, pour totaliser 68), la Chine (10 de plus, soit 32) et l' Espagne, qui compte 84 sites et où 17 magasins ont été agrandis et neuf relocalisés. Le groupe, qui totalise un effectif de 50.000 salariés, va poursuivre dans cette voie puisqu'il annonce que, «en 2011, le programme d'ouvertures devrait être sensiblement équivalent à celui de l'année 2010».
NICOLE BUYSE (À LILLE)
Les magasins Décathlon mènent un train d'enfer
La principale enseigne du groupe Oxylane a ouvert 65 magasins en 2010. Sa maison mère, premier distributeur européen d'articles de sport, a réalisé un chiffre d'affaires de près de 6 milliards d'euros, en hausse de 9,9%.
Le groupe Oxylane, dont la principale enseigne est Décathlon, a publié, vendredi, le chiffre d'affaires de son exercice 2010, à 5,978 milliards d'euros (HT), en progression de 9,9% par rapport à 2009 (où il avait crû de 9,5% par rapport à 2008). A périmètre comparable, la croissance s'est établie à 1,9%, marquant un ralentissement par rapport à celle de 2009 (+4%). Le groupe appartenant à la galaxie Mulliez ne donnant de précision ni par enseigne ni par pays, il est difficile de comparer cette progression, qui inclut toute l'activité du premier distributeur européen d'articles de sport, avec celle de 1% du marché français de la distribution spécialisée en 2010, établi par la fédération professionnelle des entreprises du sport.
Il ne fait pourtant guère de doute que Décathlon, qui compte cinq magasins supplémentaires dans l'Hexgaone, pour en totaliser 240 à fin 2010 (dont 19 ont été par ailleurs rénovés et agrandis), a gagné des parts de marché. Parmi ses challengers, Go Sport, par exemple, a publié un chiffre d'affaires à 683,1 millions d'euros (HT), en baisse de 1,5% pour 2010, et même de 3,1% en France.
Une chose est sûre, que ce soit pour son enseigne phare comme pour ses déclinaisons, le groupe Oxylane a encore accéléré son développement l'an dernier avec 99 ouvertures au total, dont 65 pour Décathlon (contre 45 en 2009, 31 en 2008, 32 en 2007) et 34 pour les autres enseignes. A elle seule, Koodza, sur un positionnement discount, a ouvert 23 magasins l'an dernier pour en totaliser 59.
Quant à l'international, il progresse toujours, représentant désormais 53,3 % du chiffre d'affaires total, contre 53% en 2009. Sur les 65 ouvertures de Décathlon, qui totalisait 535 magasins à fin 2010, seules sept ont eu lieu en France. Avec deux fermetures, cela donne même cinq ouvertures nettes dans l'Hexagone.
Implantation dans deux nouveaux pays
Après la Roumanie en 2009, qui compte cinq magasins dont quatre lancés l'an dernier, Décathlon s'est implanté dans deux nouveaux pays en 2010: la Turquie, sur deux sites à Ankara et Istanbul, et la République Tchèque, au nord de Prague. L'expansion de l'enseigne à l'étranger passe surtout par l'Italie (douze magasins supplémentaires, pour totaliser 68), la Chine (10 de plus, soit 32) et l' Espagne, qui compte 84 sites et où 17 magasins ont été agrandis et neuf relocalisés. Le groupe, qui totalise un effectif de 50.000 salariés, va poursuivre dans cette voie puisqu'il annonce que, «en 2011, le programme d'ouvertures devrait être sensiblement équivalent à celui de l'année 2010».
NICOLE BUYSE (À LILLE)
jeudi 24 mars 2011
INTERMARCHE LANCE UNE LISTE DE COURSES PARTICIPATIVE SUR IPHONE
lu sur le site du journal LSA le 23 mars 2011
Intermarché lance une liste de courses participative sur iPhone
Le 23 mars 2011 par FLORENT MAILLET
A LA UNE La nouvelle version de l’application mobile de l'enseigne se concentre sur ce service jugé prioritaire pour ses clients.
Intermarché veut simplifier les courses de ses clients, grâce à une nouvelle version de son application mobile, lancée ce mercredi et téléchargeable gratuitement sur iPhone. L’application Intermarché se concentre désormais autour d’un service de liste de courses participative. En clair, le client qui prépare ses listes de courses sur son iPhone peut les partager avec ses contacts. Lesquels sont alors sollicités par e-mail ou SMS et, bientôt, via Facebook. Ils peuvent ensuite amender la ou les listes, par exemple en y ajoutant des produits piochés dans l’assortiment de 13 000 références. « Nous avons beaucoup insisté sur l’ergonomie et la rapidité d’exécution des tâches », explique Alexandre-Réza Radji, président de TCMC, artisan des applications Intermarché. La segmentation des rayons est, par exemple, beaucoup plus fine qu’en magasin. Le rayon bébé en fournit une bonne illustration, avec des propositions d’achats pour des repas suivant l’âge du bambin : dès 6 mois, 8 mois, 10 mois ou 12 mois.
Plusieurs nouveaux services enrichissent l’application en parallèle. En premier lieu, elle permet d’ajouter des produits à sa liste de courses en scannant le code-barre. L’outil offre également un accès rapide aux prospectus et promotions proposés dans chacun des points de vente Intermarché, afin de profiter des meilleures affaires. Enfin, le client peut géolocaliser le magasin le plus proche, puis calculer l’itinéraire pour s’y rendre. Un GPS est en effet intégré dans l’interface. La fiche du magasin avec les infos afférentes est aussi disponible, tandis qu’un service de click to call permet d’appeler le point de vente en touchant l’écran. Autant de services jugés prioritaires pour les clients, l'expérience aidant. « Pour penser cette nouvelle application, nous nous sommes basés sur le retour d’expérience de notre première application, téléchargée à 30 000 reprises », rappelle Arnaud Izambard, adhérent en charge du service internet.
Intermarché lance une liste de courses participative sur iPhone
Le 23 mars 2011 par FLORENT MAILLET
A LA UNE La nouvelle version de l’application mobile de l'enseigne se concentre sur ce service jugé prioritaire pour ses clients.
Intermarché veut simplifier les courses de ses clients, grâce à une nouvelle version de son application mobile, lancée ce mercredi et téléchargeable gratuitement sur iPhone. L’application Intermarché se concentre désormais autour d’un service de liste de courses participative. En clair, le client qui prépare ses listes de courses sur son iPhone peut les partager avec ses contacts. Lesquels sont alors sollicités par e-mail ou SMS et, bientôt, via Facebook. Ils peuvent ensuite amender la ou les listes, par exemple en y ajoutant des produits piochés dans l’assortiment de 13 000 références. « Nous avons beaucoup insisté sur l’ergonomie et la rapidité d’exécution des tâches », explique Alexandre-Réza Radji, président de TCMC, artisan des applications Intermarché. La segmentation des rayons est, par exemple, beaucoup plus fine qu’en magasin. Le rayon bébé en fournit une bonne illustration, avec des propositions d’achats pour des repas suivant l’âge du bambin : dès 6 mois, 8 mois, 10 mois ou 12 mois.
Plusieurs nouveaux services enrichissent l’application en parallèle. En premier lieu, elle permet d’ajouter des produits à sa liste de courses en scannant le code-barre. L’outil offre également un accès rapide aux prospectus et promotions proposés dans chacun des points de vente Intermarché, afin de profiter des meilleures affaires. Enfin, le client peut géolocaliser le magasin le plus proche, puis calculer l’itinéraire pour s’y rendre. Un GPS est en effet intégré dans l’interface. La fiche du magasin avec les infos afférentes est aussi disponible, tandis qu’un service de click to call permet d’appeler le point de vente en touchant l’écran. Autant de services jugés prioritaires pour les clients, l'expérience aidant. « Pour penser cette nouvelle application, nous nous sommes basés sur le retour d’expérience de notre première application, téléchargée à 30 000 reprises », rappelle Arnaud Izambard, adhérent en charge du service internet.
L'ACHAR DE SECONDE MAIN, PHENOMENE DE SOCIETE
lu sur le site www.compagnonparfait.com le 23 mars 2011
L’achat de seconde main, phénomène de société
Troc.com est une chaîne de dépôt-ventes avec 137 magasins en France (190 en Europe). Surfant sur des études montrant que les Français font de plus en plus attention à leurs dépenses, la chaine lance sa campagne « Stop au gâchis » du 24 mars au 2 avril. L’idée est de repartir avec une chambre à coucher pour le prix d’un lit ou avec un salon pour le prix d’un fauteuil. Le fondateur de l’enseigne, Jean-Pierre Boudier, affirme que sa proposition est gagnant-gagnant. « La campagne Stop au gâchis met en avant deux paramètres, concernant le marché de l’occasion : l’avantage pécuniaire important, mais aussi le bénéfice que cela apporte en terme de développement durable ».
L’achat de seconde main, phénomène de société
Troc.com est une chaîne de dépôt-ventes avec 137 magasins en France (190 en Europe). Surfant sur des études montrant que les Français font de plus en plus attention à leurs dépenses, la chaine lance sa campagne « Stop au gâchis » du 24 mars au 2 avril. L’idée est de repartir avec une chambre à coucher pour le prix d’un lit ou avec un salon pour le prix d’un fauteuil. Le fondateur de l’enseigne, Jean-Pierre Boudier, affirme que sa proposition est gagnant-gagnant. « La campagne Stop au gâchis met en avant deux paramètres, concernant le marché de l’occasion : l’avantage pécuniaire important, mais aussi le bénéfice que cela apporte en terme de développement durable ».
CAMAIEU A ETE CONTRAINT A UN RETRECISSEMENT DE SES MARGES
lu sur le site du journal La Tribune le 23 mars 2011
Camaïeu a été contraint à un rétrécissement de ses marges
Source : La Tribune.fr - 23/03/2011 | 17:50 - 266 mots |
|
Camaïeu a été contraint à un rétrécissement de ses marges La rentabilité de l'enseigne de mode féminine s'est érodée en 2010. Son résultat net est en recul de 1,8%.
Camaïeu a terminé son exercice 2010 sur un bilan mitigé. L'enseigne détenue par le fond d'investissement Cinven depuis 2007 a enregistré une progression de chiffre d'affaires de 5,8% à périmètre courant, grâce à l'ouverture de 91 magasins l'an dernier. Mais, à taux de change comparable et périmètre constant, ses ventes ont reculé de 4,5%. Son chiffre d'affaires 2010 s'est établi à 809,7millions d'euros.
Malgré ce repli, le groupe a réussi à maintenir sa rentabilité opérationnelle. Sa marge opérationnelle de 16,9% demeure très élevée. "Cette évolution s'explique principalement par la progression de notre chiffre d'affaires liée aux ouvertures 2009 et 2010 et une amélioration de notre taux de marge du fait de meilleures conditions d'achat et d'un effet de change dollar/euro favorable", indique Camaïeu dans son communiqué. Comme ses concurrents, Camaïeu a manifestement souffert du repli de la consommation d'habillement en France, son premier marché. En 2010, les ventes de prêt-à-porter féminin ont reculé de 0,2%, selon l'Institut Français de la mode.
L'enseigne de mode féminine a fermé six magasins en 2010. Et elle a investi 39 millions d'euros dans son expansion. Elle exploite aujourd'hui 944 magasins, dont plus d'un tiers à l'étranger. L'étendard Camaïeu flotte dans treize pays à travers le monde. Parmi eux figurent la Roumanie et le Maroc où, l'an dernier, l'enseigne a ouvert ses premières boutiques en partenariat. "En 2011, le groupe poursuivra son expansion en France et à l'international avec cent ouvertures environ, pour un investissement de 43 millions d'euros", indique la société dans son communiqué financier.
Le démarrage de l'année 2011 n'a guère été encourageant. Les ventes de Camaïeu ont reculé à surface comparable.
Juliette Garnier - 23/03/2011
Camaïeu a été contraint à un rétrécissement de ses marges
Source : La Tribune.fr - 23/03/2011 | 17:50 - 266 mots |
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Camaïeu a été contraint à un rétrécissement de ses marges La rentabilité de l'enseigne de mode féminine s'est érodée en 2010. Son résultat net est en recul de 1,8%.
Camaïeu a terminé son exercice 2010 sur un bilan mitigé. L'enseigne détenue par le fond d'investissement Cinven depuis 2007 a enregistré une progression de chiffre d'affaires de 5,8% à périmètre courant, grâce à l'ouverture de 91 magasins l'an dernier. Mais, à taux de change comparable et périmètre constant, ses ventes ont reculé de 4,5%. Son chiffre d'affaires 2010 s'est établi à 809,7millions d'euros.
Malgré ce repli, le groupe a réussi à maintenir sa rentabilité opérationnelle. Sa marge opérationnelle de 16,9% demeure très élevée. "Cette évolution s'explique principalement par la progression de notre chiffre d'affaires liée aux ouvertures 2009 et 2010 et une amélioration de notre taux de marge du fait de meilleures conditions d'achat et d'un effet de change dollar/euro favorable", indique Camaïeu dans son communiqué. Comme ses concurrents, Camaïeu a manifestement souffert du repli de la consommation d'habillement en France, son premier marché. En 2010, les ventes de prêt-à-porter féminin ont reculé de 0,2%, selon l'Institut Français de la mode.
L'enseigne de mode féminine a fermé six magasins en 2010. Et elle a investi 39 millions d'euros dans son expansion. Elle exploite aujourd'hui 944 magasins, dont plus d'un tiers à l'étranger. L'étendard Camaïeu flotte dans treize pays à travers le monde. Parmi eux figurent la Roumanie et le Maroc où, l'an dernier, l'enseigne a ouvert ses premières boutiques en partenariat. "En 2011, le groupe poursuivra son expansion en France et à l'international avec cent ouvertures environ, pour un investissement de 43 millions d'euros", indique la société dans son communiqué financier.
Le démarrage de l'année 2011 n'a guère été encourageant. Les ventes de Camaïeu ont reculé à surface comparable.
Juliette Garnier - 23/03/2011
ZARA, LA MACHINE A CASH D'INDITEX
lu sur le site du journal La Tribune le 24 mars 2011
Zara, machine à cash d'Inditex
La machine à cash d'Inditex tourne à plein. Le groupe espagnol, numéro un européen de la mode, a dégagé 1,7 milliard d'euros de résultat net d'un chiffre d'affaires 2010 établi à 12,5 milliards. Sa marge nette s'est établie à 13,8% sur l'exercice 2010, soit 1,9 point de plus qu'en 2009.
La crise est manifestement derrière Inditex, propriétaire de l'enseigne Zara. Le groupe qui, un temps, avait gelé ses ouvertures de magasins dans les pays les plus exposés au repli de la consommation, reprend son expansion de plus belle. Pablo Isla (photo), directeur général du groupe, a annoncé ce mercredi vouloir ouvrir "entre 460 et 500 magasins dans le monde" cette année. L'an dernier, il en a ouvert 437 en faisant notamment ses premiers en Inde, en Bulgarie et au Kazakhstan.
Inditex a surtout accéléré son expansion en Asie (160 ouvertures) et notamment en Chine (75 inaugurations). Il réalise désormais 15% de ses ventes dans cette région du monde. Le groupe espagnol exploite aujourd'hui 5.044 magasins dans 77 pays.
En 2011, le groupe va poursuivre ses diversifications. Il va notamment vendre davantage en ligne, activité dans laquelle il s'est jeté en septembre 2010. En trois mois de temps, il a ouvert l'offre de Zara au e-commerce dans pas moins de 16 pays. A l'automne prochain, Zara se lancera sur la Toile aux Etats-Unis, premier marché du e-commerce au monde, et au Japon, pays où la concurrence est également très vive. Le autres enseignes d'Inditex (Massimo Dutti, Pull&Bear, Massimo Dutti, Bershka, Stradivarius, Oysho et Uterque) seront aussi lancées sur la Toile, toujours à l'automne prochain.
Zara, machine à cash d'Inditex
La machine à cash d'Inditex tourne à plein. Le groupe espagnol, numéro un européen de la mode, a dégagé 1,7 milliard d'euros de résultat net d'un chiffre d'affaires 2010 établi à 12,5 milliards. Sa marge nette s'est établie à 13,8% sur l'exercice 2010, soit 1,9 point de plus qu'en 2009.
La crise est manifestement derrière Inditex, propriétaire de l'enseigne Zara. Le groupe qui, un temps, avait gelé ses ouvertures de magasins dans les pays les plus exposés au repli de la consommation, reprend son expansion de plus belle. Pablo Isla (photo), directeur général du groupe, a annoncé ce mercredi vouloir ouvrir "entre 460 et 500 magasins dans le monde" cette année. L'an dernier, il en a ouvert 437 en faisant notamment ses premiers en Inde, en Bulgarie et au Kazakhstan.
Inditex a surtout accéléré son expansion en Asie (160 ouvertures) et notamment en Chine (75 inaugurations). Il réalise désormais 15% de ses ventes dans cette région du monde. Le groupe espagnol exploite aujourd'hui 5.044 magasins dans 77 pays.
En 2011, le groupe va poursuivre ses diversifications. Il va notamment vendre davantage en ligne, activité dans laquelle il s'est jeté en septembre 2010. En trois mois de temps, il a ouvert l'offre de Zara au e-commerce dans pas moins de 16 pays. A l'automne prochain, Zara se lancera sur la Toile aux Etats-Unis, premier marché du e-commerce au monde, et au Japon, pays où la concurrence est également très vive. Le autres enseignes d'Inditex (Massimo Dutti, Pull&Bear, Massimo Dutti, Bershka, Stradivarius, Oysho et Uterque) seront aussi lancées sur la Toile, toujours à l'automne prochain.
mardi 22 mars 2011
REIMS : DARTY DEMENAGE A MAISON+THILLOIS
lu sur le site du magazine Points de Vente le 22 mars 2011
Champagne-Ardennes
Darty déménage !
Fini le magasin de Tinqueux. Darty change d’horizons, et n’a pas choisi son nouvel emplacement au hasard : place à un point de vente flambant neuf au sein du centre commercial Maison + à Thillois.
Champagne-Ardennes
Darty déménage !
Fini le magasin de Tinqueux. Darty change d’horizons, et n’a pas choisi son nouvel emplacement au hasard : place à un point de vente flambant neuf au sein du centre commercial Maison + à Thillois.
DISTRIBUTION : LE "DRIVE", NOUVEAU MOTEUR DU COMMERCE ALIMENTAIRE
lu sur les site Le Echos de la Franchise le 22 mars 2011
Distribution : le « drive », nouveau moteur du commerce alimentaire
21.03.2011, source : Les Echos.fr
Les points de livraison pour les commandes faites sur Internet se multiplient. Ce marché, en passe de devenir la réponse du commerce en ligne pour l'alimentation, devrait dépasser la barre des 2 milliards d'euros en 2015.
C'est la réponse au déclin -relatif -des hypermarchés. De quoi s'agit-il ? Du « drive », cette formule de vente à mi-chemin entre le commerce électronique et le commerce traditionnel « en dur ». Le principe est simple : le client commande sur Internet et va chercher ses colis soit sur un site mitoyen de la grande surface, soit dans un entrepôt indépendant. Une fois la voiture garée, pas besoin de mettre pied à terre, un employé dépose la commande dans le coffre. Un nouveau service inspiré des Mc Donald's Drive.
Le gros potentiel de Leclerc
Auchan a été le premier à tester le concept : Auchan Drive, tel qu'il se présente actuellement, a démarré en 2006 à Faches-Thumesnil, mais, aujourd'hui, c'est Système U qui affiche le plus gros réseau avec 230 unités. Toutefois, selon les experts, c'est Leclerc qui dispose du plus gros potentiel. En février, les dirigeants du groupement coopératif recensaient 65 unités pour un chiffre d'affaires de 179 millions d'euros, et prévoyaient de dépasser la barre du milliard de ventes en 2015, avec 400 unités. Chez les cousins du mouvement U, le parc existant réalise « largement plus » de 100 millions d'euros.
Le pionnier Auchan exploite 31 Auchan Drive et 28 Chronodrive, entités « déportées », c'est-à-dire qui ne jouxtent pas un magasin et qui sont gérées par une structure juridique indépendante. Sans communiquer de chiffres, Xavier de Mézerac, directeur financier du groupe, a reconnu, début mars, que cette nouvelle forme de commerce avait été « un élément essentiel de la progression d'Auchan France » en 2010.
Du côté de Casino, l'objectif est de couvrir rapidement 100 % du parc de 115 hypers. Selon nos informations, le distributeur stéphanois ouvrira cet été son premier pilote de « drive » déporté. Carrefour est encore en phase de tests. Selon certains sources, à terme, la formule pourrait représenter 4,5 % des ventes alimentaires des hypers. Une estimation corroborée par les calculs de Système U, où on explique que le « drive » réaliserait entre 5 % et 7 % des ventes des magasins concernés, avec un pic atteignant 700 commandes par semaine au magasin Hyper U de Perthuis (Vaucluse).
D'autres indications permettent de considérer que le chiffre d'affaires d'un bon « drive » oscille entre 7 et 12 millions d'euros par an. Selon le cabinet Kurt Salmon, qui s'apprête à sortir une étude sur le sujet, c'est aujourd'hui un fait : le « drive » est l'un des nouveaux moteurs de croissance de la distribution alimentaire. « Cela ne représente encore que 0,5 % du commerce alimentaire français, mais contribue déjà, pour Leclerc, par exemple, à 7 % de la croissance enregistrée en 2010 », estime Gregory Boulanger, consultant. Le chiffre d'affaires du « drive » serait passé de 350 millions d'euros en 2009 à plus de 500 millions en 2010 et pourrait atteindre plus de 2 milliards d'euros en 2015. Il représenterait 15 % de la croissance annuelle du marché de l'alimentaire.
Vecteur de développement
Pour les distributeurs, les « drives » constituent un vecteur de développement d'autant plus intéressant qu'ils ne sont pas soumis aux autorisations d'urbanisme commercial, pour les unités créées ex nihilo, qui sont de simples entrepôts (d'environ 1.000 à 1.200 m²) dans lesquels ne pénètrent pas les clients. Cette facilité permet des stratégies offensives pour attaquer l'autre côté de l'agglomération où le magasin est implanté et de contrer un concurrent. « Chaque rond-point est un emplacement potentiel », dit-on chez Casino.
Le « drive » présente un autre avantage selon Grégory Boulanger : « Le retour sur investissement se fait en cinq ou six ans, contre dix pour un magasin traditionnel. » Les seuls coûts sont la location du terrain, 400.000 euros de mobilier, plus l'acquisition d'un système de prise de commandes partagé. A terme, les experts n'excluent pas que des partenariats noués avec d'autres enseignes permettent de livrer dans les « drives » des commandes autres qu'alimentaires, à l'instar de ce que fait Casino où chaque « drive » est aussi un point de livraison pour Cdiscount, le site marchand du groupe. On peut aussi imaginer la création autour des entrepôts de petites zones commerciales. Certains estiment enfin que la facilité d'implantation des « drives » pourrait permettre à des opérateurs étrangers de pénétrer le marché français...
Philippe BERTRAND, Les Echos, 21/03/2011
Distribution : le « drive », nouveau moteur du commerce alimentaire
21.03.2011, source : Les Echos.fr
Les points de livraison pour les commandes faites sur Internet se multiplient. Ce marché, en passe de devenir la réponse du commerce en ligne pour l'alimentation, devrait dépasser la barre des 2 milliards d'euros en 2015.
C'est la réponse au déclin -relatif -des hypermarchés. De quoi s'agit-il ? Du « drive », cette formule de vente à mi-chemin entre le commerce électronique et le commerce traditionnel « en dur ». Le principe est simple : le client commande sur Internet et va chercher ses colis soit sur un site mitoyen de la grande surface, soit dans un entrepôt indépendant. Une fois la voiture garée, pas besoin de mettre pied à terre, un employé dépose la commande dans le coffre. Un nouveau service inspiré des Mc Donald's Drive.
Le gros potentiel de Leclerc
Auchan a été le premier à tester le concept : Auchan Drive, tel qu'il se présente actuellement, a démarré en 2006 à Faches-Thumesnil, mais, aujourd'hui, c'est Système U qui affiche le plus gros réseau avec 230 unités. Toutefois, selon les experts, c'est Leclerc qui dispose du plus gros potentiel. En février, les dirigeants du groupement coopératif recensaient 65 unités pour un chiffre d'affaires de 179 millions d'euros, et prévoyaient de dépasser la barre du milliard de ventes en 2015, avec 400 unités. Chez les cousins du mouvement U, le parc existant réalise « largement plus » de 100 millions d'euros.
Le pionnier Auchan exploite 31 Auchan Drive et 28 Chronodrive, entités « déportées », c'est-à-dire qui ne jouxtent pas un magasin et qui sont gérées par une structure juridique indépendante. Sans communiquer de chiffres, Xavier de Mézerac, directeur financier du groupe, a reconnu, début mars, que cette nouvelle forme de commerce avait été « un élément essentiel de la progression d'Auchan France » en 2010.
Du côté de Casino, l'objectif est de couvrir rapidement 100 % du parc de 115 hypers. Selon nos informations, le distributeur stéphanois ouvrira cet été son premier pilote de « drive » déporté. Carrefour est encore en phase de tests. Selon certains sources, à terme, la formule pourrait représenter 4,5 % des ventes alimentaires des hypers. Une estimation corroborée par les calculs de Système U, où on explique que le « drive » réaliserait entre 5 % et 7 % des ventes des magasins concernés, avec un pic atteignant 700 commandes par semaine au magasin Hyper U de Perthuis (Vaucluse).
D'autres indications permettent de considérer que le chiffre d'affaires d'un bon « drive » oscille entre 7 et 12 millions d'euros par an. Selon le cabinet Kurt Salmon, qui s'apprête à sortir une étude sur le sujet, c'est aujourd'hui un fait : le « drive » est l'un des nouveaux moteurs de croissance de la distribution alimentaire. « Cela ne représente encore que 0,5 % du commerce alimentaire français, mais contribue déjà, pour Leclerc, par exemple, à 7 % de la croissance enregistrée en 2010 », estime Gregory Boulanger, consultant. Le chiffre d'affaires du « drive » serait passé de 350 millions d'euros en 2009 à plus de 500 millions en 2010 et pourrait atteindre plus de 2 milliards d'euros en 2015. Il représenterait 15 % de la croissance annuelle du marché de l'alimentaire.
Vecteur de développement
Pour les distributeurs, les « drives » constituent un vecteur de développement d'autant plus intéressant qu'ils ne sont pas soumis aux autorisations d'urbanisme commercial, pour les unités créées ex nihilo, qui sont de simples entrepôts (d'environ 1.000 à 1.200 m²) dans lesquels ne pénètrent pas les clients. Cette facilité permet des stratégies offensives pour attaquer l'autre côté de l'agglomération où le magasin est implanté et de contrer un concurrent. « Chaque rond-point est un emplacement potentiel », dit-on chez Casino.
Le « drive » présente un autre avantage selon Grégory Boulanger : « Le retour sur investissement se fait en cinq ou six ans, contre dix pour un magasin traditionnel. » Les seuls coûts sont la location du terrain, 400.000 euros de mobilier, plus l'acquisition d'un système de prise de commandes partagé. A terme, les experts n'excluent pas que des partenariats noués avec d'autres enseignes permettent de livrer dans les « drives » des commandes autres qu'alimentaires, à l'instar de ce que fait Casino où chaque « drive » est aussi un point de livraison pour Cdiscount, le site marchand du groupe. On peut aussi imaginer la création autour des entrepôts de petites zones commerciales. Certains estiment enfin que la facilité d'implantation des « drives » pourrait permettre à des opérateurs étrangers de pénétrer le marché français...
Philippe BERTRAND, Les Echos, 21/03/2011
samedi 19 mars 2011
"MY TOWN" POUR ACHETER ET REVENDRE VOS MAGASINS PREFERES
Joué sur Smartphone par 3,3 millions de personnes, MyTown est un jeu basé sur la localisation et les propriétaires vos magasins préférés
vendredi 18 mars 2011
LE GROUPE LE DUFF PROCEDE A L' ACQUISITION DE BRUEGGER'S AUX ETATS-UNIS
lu sur le site du journal Les Echos le 18 mars 2011
Le Duff change de taille à l'international en reprenant l'américain Bruegger's
Le groupe de restauration commerciale a conclu un accord de reprise de la chaîne américaine Bruegger's. Avec cette opération, il porte à 1,1 milliard d'euros son volume d'affaires, l'Amérique du Nord en représentant 40 %, soit autant que la France.
Grâce à cette opération, le propriétaire de Brioche Dorée et Pizza del Arte devrait devenir le numéro 2 de son secteur outre-Atlantique.
Ecrit par
Christophe PALIERSE
Leader de la restauration et franchiseur en France et à l'international avec ses enseignes bien connues Brioche Dorée, Pizza del Arte ou encore Le fournil de Pierre, le groupe Le Duff annonce ce matin une importante acquisition aux Etats-Unis.
L'opération portant sur un réseau de plus d'une centaine d'établissements devrait installer le groupe français (910 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, dont près de la moitié à l'international via aussi la franchise et l'importation de ses produits, plus de 890 restaurants et boulangeries) comme numéro 2 dans son secteur outre-Atlantique.
CHRISTOPHE PALIERSE
Le Duff change de taille à l'international en reprenant l'américain Bruegger's
Le groupe de restauration commerciale a conclu un accord de reprise de la chaîne américaine Bruegger's. Avec cette opération, il porte à 1,1 milliard d'euros son volume d'affaires, l'Amérique du Nord en représentant 40 %, soit autant que la France.
Grâce à cette opération, le propriétaire de Brioche Dorée et Pizza del Arte devrait devenir le numéro 2 de son secteur outre-Atlantique.
Ecrit par
Christophe PALIERSE
Leader de la restauration et franchiseur en France et à l'international avec ses enseignes bien connues Brioche Dorée, Pizza del Arte ou encore Le fournil de Pierre, le groupe Le Duff annonce ce matin une importante acquisition aux Etats-Unis.
L'opération portant sur un réseau de plus d'une centaine d'établissements devrait installer le groupe français (910 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, dont près de la moitié à l'international via aussi la franchise et l'importation de ses produits, plus de 890 restaurants et boulangeries) comme numéro 2 dans son secteur outre-Atlantique.
CHRISTOPHE PALIERSE
REPETTO VA CREEER UNE NALLERINE POUR LES VICTIMES DU SEISME AU JAPON
lu sur le site du journal LSA le 18 mars 2011
Repetto va créer une ballerine pour les victimes du séisme au Japon
Le 17 mars 2011 par Jean-Noël Caussil
Le PDG de Repetto, Jean-Marc Gaucher, annonce son intention de créer une ballerine dont l'ensemble des recettes sera reversé aux associations d'aide aux victimes du séisme et du tsunami au Japon. L’objectif ainsi fixé est de pouvoir verser 200.000 euros d’aides. « Nous réalisons dans ce pays, où nous avons près d'une dizaine de boutiques, plus de 10% de notre chiffre d'affaires », témoigne en effet Jean-Marc Gaucher, qui souhaite ainsi manifester sa solidarité. « Le séisme aura très certainement une incidence pour notre marque, mais je m'en moque un peu car l'incidence pour eux est beaucoup plus importante », précise-t-il.
Repetto va créer une ballerine pour les victimes du séisme au Japon
Le 17 mars 2011 par Jean-Noël Caussil
Le PDG de Repetto, Jean-Marc Gaucher, annonce son intention de créer une ballerine dont l'ensemble des recettes sera reversé aux associations d'aide aux victimes du séisme et du tsunami au Japon. L’objectif ainsi fixé est de pouvoir verser 200.000 euros d’aides. « Nous réalisons dans ce pays, où nous avons près d'une dizaine de boutiques, plus de 10% de notre chiffre d'affaires », témoigne en effet Jean-Marc Gaucher, qui souhaite ainsi manifester sa solidarité. « Le séisme aura très certainement une incidence pour notre marque, mais je m'en moque un peu car l'incidence pour eux est beaucoup plus importante », précise-t-il.
jeudi 17 mars 2011
FLAM (NOOÏ, FLAM'S, WAZAWOK DRESSE SON BILAN 2010 ET SES PERSPECTIVES 2011
lu sur le site Les Echos de la Franchise le 17 mars 2011
Franchise restauration : le groupe FLAM dresse son bilan 2010 et ses perspectives 2011
15.03.2011, Information communiquée par l'enseigne
Flam, groupe réunissant les 3 concepts de restauration Nooï, Flam’s et Wazawok, dresse le bilan 2010 et annonce ses objectifs de développement pour 2011.
Les 3 enseignes du groupe ont connues une croissance notable en 2010 :
Nooï, enseigne de restauration rapide de pâtes à emporter, a ainsi inauguré 30 nouveaux restaurants de pâtes à emporter sur le territoire français et a ouvert 2 points de vente à l’étranger. En juillet 2010, l’enseigne a fait son entrée sur le marché nord américain, à New-York (Manhattan) et en décembre, en Belgique (Louvain). Les prochaines ouvertures sont prévues en mai prochain à Barcelone en Espagne.
Nooï comptabilise aujourd’hui 73 restaurants dont 2 hors des frontières françaises.
Flam’s, réseau de restauration spécialiste de la Flammekueche, a fêté ses 20 ans d’existence en 2010. Au cours de cette même année l’enseigne a ouvert son 10ème restaurant et a réalisé un chiffre d’affaires proche de 10 millions d’euros (+ 11 % par rapport à 2009). Par ailleurs, une ouverture prochaine est attendue en Alsace qui marque le départ d’un nouveau projet de développement en zones rurales.
Le concept Wazawok, ouvert à la franchise en 2009 et spécialisé dans les woks à emporter, a réalisé 3 signatures lui permettant d’être visible au niveau national. Aujourd’hui, Wazawok, est présent à Strasbourg, Boulazac (24), Mulhouse (68), et ouvrira bientôt à Tours (37).
Le groupe multi-enseignes Flam ambitionne de renouveler sa performance de 2010 avec l’ouverture de 30 nouveaux points de vente Nooï en France et à l’étranger. Pour le réseau spécialiste du Wok à emporter, Wazawok, le groupe ambitionne l’ouverture de 5 restaurants. L’enseigne Flam’s quant à elle se développera en fonction des opportunités qui s’offriront à elle. Pour atteindre ses objectifs, le groupe sera donc présent au salon Franchise Expo Paris du 20 au 23 Mars (Stand L24-M23). Cette participation sera l’occasion de rencontrer de nouveaux candidats au partenariat commercial, et de mieux leur faire connaître les 3 enseignes.
Franchise restauration : le groupe FLAM dresse son bilan 2010 et ses perspectives 2011
15.03.2011, Information communiquée par l'enseigne
Flam, groupe réunissant les 3 concepts de restauration Nooï, Flam’s et Wazawok, dresse le bilan 2010 et annonce ses objectifs de développement pour 2011.
Les 3 enseignes du groupe ont connues une croissance notable en 2010 :
Nooï, enseigne de restauration rapide de pâtes à emporter, a ainsi inauguré 30 nouveaux restaurants de pâtes à emporter sur le territoire français et a ouvert 2 points de vente à l’étranger. En juillet 2010, l’enseigne a fait son entrée sur le marché nord américain, à New-York (Manhattan) et en décembre, en Belgique (Louvain). Les prochaines ouvertures sont prévues en mai prochain à Barcelone en Espagne.
Nooï comptabilise aujourd’hui 73 restaurants dont 2 hors des frontières françaises.
Flam’s, réseau de restauration spécialiste de la Flammekueche, a fêté ses 20 ans d’existence en 2010. Au cours de cette même année l’enseigne a ouvert son 10ème restaurant et a réalisé un chiffre d’affaires proche de 10 millions d’euros (+ 11 % par rapport à 2009). Par ailleurs, une ouverture prochaine est attendue en Alsace qui marque le départ d’un nouveau projet de développement en zones rurales.
Le concept Wazawok, ouvert à la franchise en 2009 et spécialisé dans les woks à emporter, a réalisé 3 signatures lui permettant d’être visible au niveau national. Aujourd’hui, Wazawok, est présent à Strasbourg, Boulazac (24), Mulhouse (68), et ouvrira bientôt à Tours (37).
Le groupe multi-enseignes Flam ambitionne de renouveler sa performance de 2010 avec l’ouverture de 30 nouveaux points de vente Nooï en France et à l’étranger. Pour le réseau spécialiste du Wok à emporter, Wazawok, le groupe ambitionne l’ouverture de 5 restaurants. L’enseigne Flam’s quant à elle se développera en fonction des opportunités qui s’offriront à elle. Pour atteindre ses objectifs, le groupe sera donc présent au salon Franchise Expo Paris du 20 au 23 Mars (Stand L24-M23). Cette participation sera l’occasion de rencontrer de nouveaux candidats au partenariat commercial, et de mieux leur faire connaître les 3 enseignes.
QUAND LA PROXIMITE DEVIENT UN ENJEU POUR LES GRANDES ENSEIGNES DE DISTRIBUTION
lu sur le site wwww.ac-franchise.com le 17 mars 2011
Le 17/03/2011
Quand la proximité devient un enjeu pour les grandes enseignes de distribution
La tendance est devenue une réalité, les magasins de proximité ont de nouveau la cote car ils répondent à une demande accrue des consommateurs qui veulent faire leurs courses dans leur quartier ou près de leur travail. Les grandes enseignes de la distribution l’ont bien compris et ont toutes lancé leur petit format.
Certains sont ancrés depuis des décennies sur ce créneau : le groupe Casino avec ses 2 000 petits Casino disséminés dans toute la France est leader sur ce marché avec en plus les Daily Monop’ de Monoprix et les Franprix (750 en région parisienne). Casino innove encore avec le groupe Relay (distribution presse et tabac dans les gares) avec un concept plus large. Baptisé Chez Jean, il offre en plus de l’alimentation de base, une formule de restauration rapide et des services. Le client peut acheter son journal, faire des courses, acheter des timbres, jouer avec la Française des Jeux, utiliser son ordinateur en Wifi, recharger son téléphone portable.
Les nouveaux arrivés sont les enseignes créées par les grands groupes de distribution plutôt habitués au format hyper. Ils voient là une voie de développement à l’heure où les consommateurs commencent à bouder les hypermarchés de périphérie. Carrefour avec Carrefour City , Système U avec ses U Express. Dans ces petites surfaces, de moins de 400 m2 sont distribués les produits de la marque distributeur à côté des grandes marques nationales. Le réseau de franchise Alimentation Intermarché décline aussi son petit format en Intermarché Contact pour les zones rurales, en Intermarché Express en ville avec des produits prêts à consommer, et en Netto, hard discount de proximité.
Les services deviennent des enjeux de demain.
Vendre un panier moyen de moins de 12 euros ne suffit pas à rentabiliser un magasin de centre ville. Il faut y ajouter des offres de service qui boosteront les ventes. En premier lieu, les plages d’ouvertures se sont étendues et vont souvent de 9 heures à 20 heures voir minuit à Paris. Ces franchises sont aussi ouvertes le dimanche matin et parfois le soir de 17 heures à 21 h pour les retardataires.
Les réseaux de franchise alimentation ne s’arrêtent pas là et offrent des services en plus : livraison à domicile, distributeur de billets, relais colis, développement photos, cartes téléphone, photocopie, clés minute, pressing etc.
Tous ses services demandent un développement avec des partenaires extérieurs et des investissements pour le franchisé. Des investissements en personnel du fait des horaires d’ouverture élargis, de la place pour installer les corners destinés à chaque service, des investissements en communication pour le faire savoir.
Ce type de commerce existe depuis longtemps au Etats-Unis (la chaine de magasins Seven-Eleven par exemple), il s’est encore plus développé au Japon où il est possible de régler avec son téléphone portable dans les boutiques du réseau 7/11. La France n’en est pas encore là mais les chaines de magasins de proximité telles que Système U proximité, Carrefour City font toutes preuve d’imagination pour fidéliser une nouvelle génération de consommateurs. Le phénomène s’amplifie et il faudra trouver une formule idéale pour que les franchisés puissent assurer sereinement toutes les fonctions et que le retour sur investissement soit profitable.
Le 17/03/2011
Quand la proximité devient un enjeu pour les grandes enseignes de distribution
La tendance est devenue une réalité, les magasins de proximité ont de nouveau la cote car ils répondent à une demande accrue des consommateurs qui veulent faire leurs courses dans leur quartier ou près de leur travail. Les grandes enseignes de la distribution l’ont bien compris et ont toutes lancé leur petit format.
Certains sont ancrés depuis des décennies sur ce créneau : le groupe Casino avec ses 2 000 petits Casino disséminés dans toute la France est leader sur ce marché avec en plus les Daily Monop’ de Monoprix et les Franprix (750 en région parisienne). Casino innove encore avec le groupe Relay (distribution presse et tabac dans les gares) avec un concept plus large. Baptisé Chez Jean, il offre en plus de l’alimentation de base, une formule de restauration rapide et des services. Le client peut acheter son journal, faire des courses, acheter des timbres, jouer avec la Française des Jeux, utiliser son ordinateur en Wifi, recharger son téléphone portable.
Les nouveaux arrivés sont les enseignes créées par les grands groupes de distribution plutôt habitués au format hyper. Ils voient là une voie de développement à l’heure où les consommateurs commencent à bouder les hypermarchés de périphérie. Carrefour avec Carrefour City , Système U avec ses U Express. Dans ces petites surfaces, de moins de 400 m2 sont distribués les produits de la marque distributeur à côté des grandes marques nationales. Le réseau de franchise Alimentation Intermarché décline aussi son petit format en Intermarché Contact pour les zones rurales, en Intermarché Express en ville avec des produits prêts à consommer, et en Netto, hard discount de proximité.
Les services deviennent des enjeux de demain.
Vendre un panier moyen de moins de 12 euros ne suffit pas à rentabiliser un magasin de centre ville. Il faut y ajouter des offres de service qui boosteront les ventes. En premier lieu, les plages d’ouvertures se sont étendues et vont souvent de 9 heures à 20 heures voir minuit à Paris. Ces franchises sont aussi ouvertes le dimanche matin et parfois le soir de 17 heures à 21 h pour les retardataires.
Les réseaux de franchise alimentation ne s’arrêtent pas là et offrent des services en plus : livraison à domicile, distributeur de billets, relais colis, développement photos, cartes téléphone, photocopie, clés minute, pressing etc.
Tous ses services demandent un développement avec des partenaires extérieurs et des investissements pour le franchisé. Des investissements en personnel du fait des horaires d’ouverture élargis, de la place pour installer les corners destinés à chaque service, des investissements en communication pour le faire savoir.
Ce type de commerce existe depuis longtemps au Etats-Unis (la chaine de magasins Seven-Eleven par exemple), il s’est encore plus développé au Japon où il est possible de régler avec son téléphone portable dans les boutiques du réseau 7/11. La France n’en est pas encore là mais les chaines de magasins de proximité telles que Système U proximité, Carrefour City font toutes preuve d’imagination pour fidéliser une nouvelle génération de consommateurs. Le phénomène s’amplifie et il faudra trouver une formule idéale pour que les franchisés puissent assurer sereinement toutes les fonctions et que le retour sur investissement soit profitable.
mercredi 16 mars 2011
GAP VA FERMER 200 MAGASINS AUX ETATS-UNIS
Llu sur le site fr.fashionmag.com le 16 mars 2011
10-03-2011
Gap va fermer 200 magasins aux Etats-Unis
Sur son exercice 2011, Gap inc entend fermer 125 magasins en Amérique du Nord. La stratégie du géant américain est clairement définie : le groupe met l'accent sur l'outlet, les ventes online et le développement international. A l'occasion d'une conférence organisée par Bank of America Meryll Lynch, Glenn Murphy, Pdg de Gap Inc, soulignait "que la récession a mis en exergue le fait qu'il n'y a pas d'intérêt à être dans tous les malls. Mais nous sommes présents là où notre empreinte est nécessaire".
Ainsi, le PDG prédit-il d'ici 2013, un passage de 909 à 700 magasins "full price" pour Gap, quelque 25 magasins en moins dans le réseau de Banana Republic et entre 50 et 75 suppressions de sites pour Old Navy. Le groupe met en revanche l'accent sur l'outlet avec une progression de 322 à 450 centres sur cette période et mise sur le développement d'Athletica qui pourrait compter plus de 50 magasins en 2013.
Glenn Murphy table aussi sur des ventes internet représentant 15% des ventes à cette date, contre 9% aujourd'hui, grâce au développement des sites de ses marques et de son site multimarques Piperlime.
Au delà de la stratégie de distribution, le PDG analyse les enjeux du groupe avec pour objectifs de séduire de nouveaux clients: "Il y a deux domaines. Notre clientèle a plus ou moins entre 25 et 35 ans. Sur les 25-30 ans, notre part de marché est en deçà de ce que nous souhaitons. Et le deuxième axe est la diversité. Aux USA en particulier, nous n'avons pas les parts de marchés que nous devrions avoir avec les communautés afro-américaines, hispaniques et asiatiques". Pour corriger ces points, le groupe entend s'appuyer sur son nouveau système logistique de Fast pipeline qui doit lui permettre de réagir plus rapidement aux tendances.
L'autre point sur lequel le groupe semble fonder de sérieux espoirs de croissance réside dans son développement international. Après être entré en Chine et en Italie en 2010, Gap Inc veut affirmer ses ambitions. Le groupe annonce entre 12 et 15 ouvertures en Chine cette année et annonce même l'inauguration du premier Old Navy hors des USA, au Japon, en 2012.
D'après Gap Inc., la franchise pour Gap et Banana Republic est en plein essor et représente un véritable levier de croissance, notamment en Russie et Australie. En Europe, le groupe envisage d'entrer sur de nouveaux marchés, sans préciser lesquels, et annonce l'ouverture du Banana Republic sur les Champs-Elysées pour septembre. La CNAC doit cependant donner son accord pour ce projet.
Par Olivier Guyot
10-03-2011
Gap va fermer 200 magasins aux Etats-Unis
Sur son exercice 2011, Gap inc entend fermer 125 magasins en Amérique du Nord. La stratégie du géant américain est clairement définie : le groupe met l'accent sur l'outlet, les ventes online et le développement international. A l'occasion d'une conférence organisée par Bank of America Meryll Lynch, Glenn Murphy, Pdg de Gap Inc, soulignait "que la récession a mis en exergue le fait qu'il n'y a pas d'intérêt à être dans tous les malls. Mais nous sommes présents là où notre empreinte est nécessaire".
Ainsi, le PDG prédit-il d'ici 2013, un passage de 909 à 700 magasins "full price" pour Gap, quelque 25 magasins en moins dans le réseau de Banana Republic et entre 50 et 75 suppressions de sites pour Old Navy. Le groupe met en revanche l'accent sur l'outlet avec une progression de 322 à 450 centres sur cette période et mise sur le développement d'Athletica qui pourrait compter plus de 50 magasins en 2013.
Glenn Murphy table aussi sur des ventes internet représentant 15% des ventes à cette date, contre 9% aujourd'hui, grâce au développement des sites de ses marques et de son site multimarques Piperlime.
Au delà de la stratégie de distribution, le PDG analyse les enjeux du groupe avec pour objectifs de séduire de nouveaux clients: "Il y a deux domaines. Notre clientèle a plus ou moins entre 25 et 35 ans. Sur les 25-30 ans, notre part de marché est en deçà de ce que nous souhaitons. Et le deuxième axe est la diversité. Aux USA en particulier, nous n'avons pas les parts de marchés que nous devrions avoir avec les communautés afro-américaines, hispaniques et asiatiques". Pour corriger ces points, le groupe entend s'appuyer sur son nouveau système logistique de Fast pipeline qui doit lui permettre de réagir plus rapidement aux tendances.
L'autre point sur lequel le groupe semble fonder de sérieux espoirs de croissance réside dans son développement international. Après être entré en Chine et en Italie en 2010, Gap Inc veut affirmer ses ambitions. Le groupe annonce entre 12 et 15 ouvertures en Chine cette année et annonce même l'inauguration du premier Old Navy hors des USA, au Japon, en 2012.
D'après Gap Inc., la franchise pour Gap et Banana Republic est en plein essor et représente un véritable levier de croissance, notamment en Russie et Australie. En Europe, le groupe envisage d'entrer sur de nouveaux marchés, sans préciser lesquels, et annonce l'ouverture du Banana Republic sur les Champs-Elysées pour septembre. La CNAC doit cependant donner son accord pour ce projet.
Par Olivier Guyot
BAZARLAND EN HAUSSE DE 8,5 % EN 2010
lu sur le site www.infinites.fr
Le chiffre d'affaires de Bazarland en hausse de 8,5% en 2010
Spécialiste de l’équipement de la maison et de la personne à petit prix, Bazarland a réalisé en 2010 un chiffre d’affaires en progression de 8,5% sur un an. En 2011, l'enseigne souhaite ouvrir 10 magasins, tout en renforçant le soutien apporté à ses franchisés.
Dans un contexte de baisse du pouvoir d'achat, Bazarland enregistre un chiffre d'affaires de 33,6 millions d'euros pour l'année 2010, en hausse de 8,5%. Le panier moyen connaît également une croissance de 4,4%, passant de 17,50 euros à 18,28 euros.
Accentuant ses efforts pour proposer de bonnes affaires toute l'année, l'enseigne continue de mener une politique de petit prix en parfaite adéquation avec les attentes des consommateurs.
OBJECTIF : 10 NOUVEAUX POINTS DE VENTE EN 2011
Le réseau, qui compte 33 magasins, s'est fixé comme objectif d'ouvrir 10 points de vente en 2011. Pour accompagner ce développement, Bazarland vient de recruter trois animateurs qui permettront de renforcer la proximité avec les franchisés et maintenir le dynamisme du réseau. Ainsi, chaque franchisé recevra au moins une visite mensuelle d'un animateur, au cours de laquelle il pourra faire part de ses remarques et de ses besoins.
Sur un marché arrivé à maturité, Bazarland intéresse de nombreux candidats à la franchise. "Même si la concurrence est dense, les demandes de candidats se multiplient, notre concept répondant de plus en plus à leurs attentes comme à celles des consommateurs" affirme Bernard Lévy, Directeur Général de Bazarland. "Nous avons mis dix ans à obtenir nos lettres de noblesse et nous avons maintenant atteint le stade où nous souhaitons accélérer notre développement".
A propos de Bazarland :
Réseau d'origine gardoise positionné sur le créneau de l’équipement de la maison et de la personne à petit prix, Bazarland compte déjà plus d'une trentaine de magasins franchisés en France. En 2000, avec l’arrivée de Bernard Lévy au poste de Directeur Général, le concept initial de solderie créé en 1989 par Alain Georges a pris une orientation de "bazar moderne" pour mieux répondre aux exigences du marché. En 2010, le réseau a réalisé un chiffre d’affaires de 33,6 millions d’euros TTC.
Les familles de produits proposées :
> Prêt-à-porter : mode, jeans, vêtements de nuit, lingerie…
> Linge de maison : linge de lit, couettes, coussins, éponges, rideaux, linge de table…
> Art de la table : vaisselle, verrerie, couverts, casseroles, plateaux, sets de table…
> Décoration : luminaires, tableaux, fleurs artificielles, vases, senteurs, bougies, vannerie…
> Cadeau : gadgets, bijoux, briquets, farces et attrapes…
> Petit mobilier : tables basses, chaises, étagères, fer forgé & bois…
> Bricolage : produits ménagers, outillage, peinture, électricité, accessoires auto
> Loisirs : jouets, camping, articles de fêtes…
Site web : www.bazarland.fr
L'actualité du réseau : www.infinites.fr
Le chiffre d'affaires de Bazarland en hausse de 8,5% en 2010
Spécialiste de l’équipement de la maison et de la personne à petit prix, Bazarland a réalisé en 2010 un chiffre d’affaires en progression de 8,5% sur un an. En 2011, l'enseigne souhaite ouvrir 10 magasins, tout en renforçant le soutien apporté à ses franchisés.
Dans un contexte de baisse du pouvoir d'achat, Bazarland enregistre un chiffre d'affaires de 33,6 millions d'euros pour l'année 2010, en hausse de 8,5%. Le panier moyen connaît également une croissance de 4,4%, passant de 17,50 euros à 18,28 euros.
Accentuant ses efforts pour proposer de bonnes affaires toute l'année, l'enseigne continue de mener une politique de petit prix en parfaite adéquation avec les attentes des consommateurs.
OBJECTIF : 10 NOUVEAUX POINTS DE VENTE EN 2011
Le réseau, qui compte 33 magasins, s'est fixé comme objectif d'ouvrir 10 points de vente en 2011. Pour accompagner ce développement, Bazarland vient de recruter trois animateurs qui permettront de renforcer la proximité avec les franchisés et maintenir le dynamisme du réseau. Ainsi, chaque franchisé recevra au moins une visite mensuelle d'un animateur, au cours de laquelle il pourra faire part de ses remarques et de ses besoins.
Sur un marché arrivé à maturité, Bazarland intéresse de nombreux candidats à la franchise. "Même si la concurrence est dense, les demandes de candidats se multiplient, notre concept répondant de plus en plus à leurs attentes comme à celles des consommateurs" affirme Bernard Lévy, Directeur Général de Bazarland. "Nous avons mis dix ans à obtenir nos lettres de noblesse et nous avons maintenant atteint le stade où nous souhaitons accélérer notre développement".
A propos de Bazarland :
Réseau d'origine gardoise positionné sur le créneau de l’équipement de la maison et de la personne à petit prix, Bazarland compte déjà plus d'une trentaine de magasins franchisés en France. En 2000, avec l’arrivée de Bernard Lévy au poste de Directeur Général, le concept initial de solderie créé en 1989 par Alain Georges a pris une orientation de "bazar moderne" pour mieux répondre aux exigences du marché. En 2010, le réseau a réalisé un chiffre d’affaires de 33,6 millions d’euros TTC.
Les familles de produits proposées :
> Prêt-à-porter : mode, jeans, vêtements de nuit, lingerie…
> Linge de maison : linge de lit, couettes, coussins, éponges, rideaux, linge de table…
> Art de la table : vaisselle, verrerie, couverts, casseroles, plateaux, sets de table…
> Décoration : luminaires, tableaux, fleurs artificielles, vases, senteurs, bougies, vannerie…
> Cadeau : gadgets, bijoux, briquets, farces et attrapes…
> Petit mobilier : tables basses, chaises, étagères, fer forgé & bois…
> Bricolage : produits ménagers, outillage, peinture, électricité, accessoires auto
> Loisirs : jouets, camping, articles de fêtes…
Site web : www.bazarland.fr
L'actualité du réseau : www.infinites.fr
TADASHI YANAI ( PDG FAST RETAILING) AU SECOURS DES JAPONAIS
lu sur www.zonebourse.com le 16 mars 2011
Tadashi Yanai au secours des Japonais
(Zonebourse.com) - Le P-DG de Fast Retailing Co, propriétaire d’Uniqlo, la marque de vêtements préférée des japonais, Tadashi Yanai est le deuxième homme le plus riche du Japon. Face à l’ampleur du drame humain, sanitaire et économique auquel le Japon va devoir faire face, Tadashi Yanai a décidé d’apporter son aide aux sinistrés du séisme.
* P-DG de Fast Retailing Co, propriétaire de Uniqlo, la marque de vêtements préférée des japonais, Tadashi Yanai est le deuxième homme le plus riche du...
Alors qu’officiellement il serait question de 2 800 décès, certaine sources font état de plus de 10 000 tués. Ce drame humain corrélé à l’angoisse nucléaire, aux risques sanitaires et aux enjeux économique font aujourd’hui du japon un Etat exsangue.
Sur le site officiel de Fast Retailing, Tadashi Yanai exprime ses « plus sincères condoléances en cette période de tristesse ». Le milliardaire japonais multiplie les initiatives pour venir en aide aux sinistrés. « En ces temps difficiles, le groupe Fast Retailing et son personnel se réunissent pour faire de leur mieux pour tirer parti des ressources du groupe pour soutenir et diriger la nation sur la voie de la guérison. »
Des vêtements, serviettes, jeans, sous-vêtements seront envoyés aux victimes de la catastrophe, y compris 300 000 pièces de la gamme Heattech, spécialisée dans les vêtements chauds.
Par ailleurs, le groupe entend attribuer des dons à des associations comme La Croix-Rouge pour aider directement dans les zones les plus gravement touchées comme Miyagi, Iwate, Fukushima, Aomori et Ibaraki. En plus des dons versés par le groupe Fast Retailing et les salariés du groupe du monde entier, notre baron fera un don personnel d’un milliard de yen. Au total, 1,4 milliard de yens seront donnés.
Enfin, Tadashi Yanai ambitionne de sensibiliser ses clients à l’immensité du désastre en profitant de sa force de frappe partout sur la planète. Avec 7,6 milliards de dollars, il occupe le rang de 122ème fortune mondiale. Son groupe possède des chaînes de vêtements à forte notoriété telles que Comptoir des Cotonniers, Foot Park, Princesse Tam Tam et National Standard. Tous ces magasins, soit environ 2 200 magasins dans le monde mettront des petites boîtes afin de récolter des dons dans les magasins.
Pauline Raud
Tadashi Yanai au secours des Japonais
(Zonebourse.com) - Le P-DG de Fast Retailing Co, propriétaire d’Uniqlo, la marque de vêtements préférée des japonais, Tadashi Yanai est le deuxième homme le plus riche du Japon. Face à l’ampleur du drame humain, sanitaire et économique auquel le Japon va devoir faire face, Tadashi Yanai a décidé d’apporter son aide aux sinistrés du séisme.
* P-DG de Fast Retailing Co, propriétaire de Uniqlo, la marque de vêtements préférée des japonais, Tadashi Yanai est le deuxième homme le plus riche du...
Alors qu’officiellement il serait question de 2 800 décès, certaine sources font état de plus de 10 000 tués. Ce drame humain corrélé à l’angoisse nucléaire, aux risques sanitaires et aux enjeux économique font aujourd’hui du japon un Etat exsangue.
Sur le site officiel de Fast Retailing, Tadashi Yanai exprime ses « plus sincères condoléances en cette période de tristesse ». Le milliardaire japonais multiplie les initiatives pour venir en aide aux sinistrés. « En ces temps difficiles, le groupe Fast Retailing et son personnel se réunissent pour faire de leur mieux pour tirer parti des ressources du groupe pour soutenir et diriger la nation sur la voie de la guérison. »
Des vêtements, serviettes, jeans, sous-vêtements seront envoyés aux victimes de la catastrophe, y compris 300 000 pièces de la gamme Heattech, spécialisée dans les vêtements chauds.
Par ailleurs, le groupe entend attribuer des dons à des associations comme La Croix-Rouge pour aider directement dans les zones les plus gravement touchées comme Miyagi, Iwate, Fukushima, Aomori et Ibaraki. En plus des dons versés par le groupe Fast Retailing et les salariés du groupe du monde entier, notre baron fera un don personnel d’un milliard de yen. Au total, 1,4 milliard de yens seront donnés.
Enfin, Tadashi Yanai ambitionne de sensibiliser ses clients à l’immensité du désastre en profitant de sa force de frappe partout sur la planète. Avec 7,6 milliards de dollars, il occupe le rang de 122ème fortune mondiale. Son groupe possède des chaînes de vêtements à forte notoriété telles que Comptoir des Cotonniers, Foot Park, Princesse Tam Tam et National Standard. Tous ces magasins, soit environ 2 200 magasins dans le monde mettront des petites boîtes afin de récolter des dons dans les magasins.
Pauline Raud
jeudi 10 mars 2011
20 NOUVELLES ENSEIGNES A PORTE SUD STRASBOURG (CC LECLERC ex ROND POINT)
Equipement de la Personnne :
CACHE-CACHE / CAMAIEU / JULES / LMV / OKAÏDI / PETER CECIL / PROMOD / SADDLER / SOLEIL SUCRE / VENIZI
Beauté & Santé : APPARENCE / JUSTE POUR SOI / COIF'NSTORE / LA GENERALE D'OPTIQUE / MEDIC ALSACE / NOCIBE / OPTIC 2000
Culture, cadeaux, loisirs :
INTERNITY / MICROMANIA / PIRY / TEL & COM
Services :
CIC / CREDIT MUTUEL / MISTER MINIT / NORAUTO / STATION LAVAGE / SUPER PRESSING
Alimentation & Restauration :
BRETZEL BURGARD / CAFETARIA LE PERROQUET / EN PASSANT PAR L'ALSACE / FRANCESCA / MAURER FRERES /
Hypermarché & grands magasins :
E.LECLERC / E.LECLERC ESPACE CULTUREL / LA FOIRFOUILLE /
CACHE-CACHE / CAMAIEU / JULES / LMV / OKAÏDI / PETER CECIL / PROMOD / SADDLER / SOLEIL SUCRE / VENIZI
Beauté & Santé : APPARENCE / JUSTE POUR SOI / COIF'NSTORE / LA GENERALE D'OPTIQUE / MEDIC ALSACE / NOCIBE / OPTIC 2000
Culture, cadeaux, loisirs :
INTERNITY / MICROMANIA / PIRY / TEL & COM
Services :
CIC / CREDIT MUTUEL / MISTER MINIT / NORAUTO / STATION LAVAGE / SUPER PRESSING
Alimentation & Restauration :
BRETZEL BURGARD / CAFETARIA LE PERROQUET / EN PASSANT PAR L'ALSACE / FRANCESCA / MAURER FRERES /
Hypermarché & grands magasins :
E.LECLERC / E.LECLERC ESPACE CULTUREL / LA FOIRFOUILLE /
mercredi 9 mars 2011
40 CARREFOUR PLANET EN FRANCE EN 2011
lu sur le site www.rayonboissons.fr le 9 mars 2011
La France comptera 40 Carrefour Planet en 2011 [Y.D.]
8 Mars 2011
Déçu par les performances des hypermarchés français notamment au second semestre, Lars Olofsson, directeur général du groupe Carrefour, compte profiter de la mise en place du concept Planet pour rebondir. Le dirigeant a annoncé la transformation de 38 points de vente en France en 2011 et de 92 à l’échelon européen. Le groupe Carrefour annonce des résultats très positifs sur les six magasins testés en France, en Belgique et Espagne. A savoir un trafic en hausse de + 7,3 % et un CA qui progresse en moyenne de + 5,5 %. Le nouveau concept devrait se baser sur le dernier magasin test ouvert en décembre dernier à Mòstoles en Espagne
Les grands magasins sont les premiers visés. Selon le distributeur, les hypers concernés par le changement d’enseigne représentent près d’un tiers des volumes commercialisés dans l’Hexagone. Lars Olofsson a d’ailleurs confirmé son objectif de convertir 241 Carrefour Planet et de rénover 262 Carrefour d’ici 2013 en Europe.
La France comptera 40 Carrefour Planet en 2011 [Y.D.]
8 Mars 2011
Déçu par les performances des hypermarchés français notamment au second semestre, Lars Olofsson, directeur général du groupe Carrefour, compte profiter de la mise en place du concept Planet pour rebondir. Le dirigeant a annoncé la transformation de 38 points de vente en France en 2011 et de 92 à l’échelon européen. Le groupe Carrefour annonce des résultats très positifs sur les six magasins testés en France, en Belgique et Espagne. A savoir un trafic en hausse de + 7,3 % et un CA qui progresse en moyenne de + 5,5 %. Le nouveau concept devrait se baser sur le dernier magasin test ouvert en décembre dernier à Mòstoles en Espagne
Les grands magasins sont les premiers visés. Selon le distributeur, les hypers concernés par le changement d’enseigne représentent près d’un tiers des volumes commercialisés dans l’Hexagone. Lars Olofsson a d’ailleurs confirmé son objectif de convertir 241 Carrefour Planet et de rénover 262 Carrefour d’ici 2013 en Europe.
mardi 8 mars 2011
UNE JOURNEE DE LA CAISSIERE
lu sur le site du journal Le Bien Public le 8 mars 2011
Quetigny - Consommation
Une journée de la caissière à rajouter sur l'éphéméride
La date n'a évidemment pas été choisie par hasard. Le collectif "changeons le magasin ou changeons de magasin (on veut des caissières)" a en effet décidé de rajouter une journée de la cassière à l'éphéméride de demain, mardi 8 mars. Sur l'agenda, cette date est également celle de la journée internationale de la femme.
Avec cette journée de la caissière, le collectif souhaite démontrer "son attachement à la valeur capitale des relations humaines, face à la déshumanisation progressive et insidieuse" que proposent les supermarchés, "avec leurs scannettes et la société en général avec ces automates de paiement".
Offrir des fleurs aux caissières
Ainsi, le collectif a imaginé une opération très spéciale qui rendra hommage aux hôtesses de caisse présentes en grande surface. Demain, les clients pourront ainsi offrir une fleur à leur hôtesses d'accueil lors de leur passage en caisse, un geste qui "remerciera la politique responsable des magasins soucieux des gens, et mettra en garde ceux qui ne pensent qu'a leurs profits".
"Ce geste fort de symbole peut représenter un engagement très important pour la majorité des clients qui se prononcent contre les scannettes qu'on veut leur imposer" explique le collectif de consommateurs qui millite pour "ralentir efficacement la déshumanisation du commerce et de la société en général".
La distribution de fleurs se fera à partir de 17h30 au magasin Carrefour de Quétigny.
M.Mo
Publié le 07/03/2011
Quetigny - Consommation
Une journée de la caissière à rajouter sur l'éphéméride
La date n'a évidemment pas été choisie par hasard. Le collectif "changeons le magasin ou changeons de magasin (on veut des caissières)" a en effet décidé de rajouter une journée de la cassière à l'éphéméride de demain, mardi 8 mars. Sur l'agenda, cette date est également celle de la journée internationale de la femme.
Avec cette journée de la caissière, le collectif souhaite démontrer "son attachement à la valeur capitale des relations humaines, face à la déshumanisation progressive et insidieuse" que proposent les supermarchés, "avec leurs scannettes et la société en général avec ces automates de paiement".
Offrir des fleurs aux caissières
Ainsi, le collectif a imaginé une opération très spéciale qui rendra hommage aux hôtesses de caisse présentes en grande surface. Demain, les clients pourront ainsi offrir une fleur à leur hôtesses d'accueil lors de leur passage en caisse, un geste qui "remerciera la politique responsable des magasins soucieux des gens, et mettra en garde ceux qui ne pensent qu'a leurs profits".
"Ce geste fort de symbole peut représenter un engagement très important pour la majorité des clients qui se prononcent contre les scannettes qu'on veut leur imposer" explique le collectif de consommateurs qui millite pour "ralentir efficacement la déshumanisation du commerce et de la société en général".
La distribution de fleurs se fera à partir de 17h30 au magasin Carrefour de Quétigny.
M.Mo
Publié le 07/03/2011
SUBWAY DEVIENT LA PREMIERE CHAÎNE DE ESTAURATION MONDIALE DEVANT McDO
lu sur le site du journal Les Echos le 8 mars 2011
Subway devient la première chaîne de restauration mondiale devant McDo
C'est désormais officiel, Subway est devenu la première chaîne de restauration commerciale au monde l'an dernier, détrônant McDonald's en nombre d'établissements. A la fin 2010, le spécialiste du sandwich... Lire la suite
Subway devient la première chaîne de restauration mondiale devant McDo
C'est désormais officiel, Subway est devenu la première chaîne de restauration commerciale au monde l'an dernier, détrônant McDonald's en nombre d'établissements. A la fin 2010, le spécialiste du sandwich... Lire la suite
RAPID'FLORE OUVRE TROIS POINTS DE VENTE
lu sur le site du journal LSA le 8 mars 2011
Rapid’Flore ouvre trois points de vente
Le 07 mars 2011 par Morgan Leclerc
Le réseau en franchise de vente de fleurs Rapid’Flore annonce l’ouverture de trois nouveaux points de vente à Loudéac (Côtes d’Armor), Issy-les-Moulineaux, et, à partir du 10 mars, à Longwy (Meurthe-et-Moselle). Rapid’Flore vend des fleurs dans ses magasins, mais également depuis internet sur son site www.rapidflore.com.
Rapid’Flore ouvre trois points de vente
Le 07 mars 2011 par Morgan Leclerc
Le réseau en franchise de vente de fleurs Rapid’Flore annonce l’ouverture de trois nouveaux points de vente à Loudéac (Côtes d’Armor), Issy-les-Moulineaux, et, à partir du 10 mars, à Longwy (Meurthe-et-Moselle). Rapid’Flore vend des fleurs dans ses magasins, mais également depuis internet sur son site www.rapidflore.com.
BUREAU VALLEE OUVRE A PARIS ET VISE LES GRANDES VILLES
lu sur le site du journal LSA le 8 mars 2011
Bureau Vallée ouvre à Paris et vise les grandes villes
Le 07 mars 2011 par Morgan Leclerc
Le distributeur de fournitures de bureau et de papeterie discount Bureau Vallée vient d’ouvrir son premier magasin dans Paris intra-muros (11ème arrondissement), qui symbolise la volonté de poursuivre le déploiement de ses magasins en centre ville ». « Nous souhaitons nous rapprocher des nos clients citadins. Fournitures de bureau, papeterie, mobiliers de bureau, cartouches d'encre… Il est plus difficile de trouver de tels produits en ville et ce dans un seul et même magasin. C’est pourquoi nous voulons être présents dans les plus grandes villes de France. » indique Bruno Peyroles. Le fondateur de Bureau Vallée précise vouloir ouvrir environ 100 points de vente dans les plus grandes villes de France (Lyon, Marseille, Bordeaux, Toulouse) d’ici deux ans.
Bureau Vallée ouvre à Paris et vise les grandes villes
Le 07 mars 2011 par Morgan Leclerc
Le distributeur de fournitures de bureau et de papeterie discount Bureau Vallée vient d’ouvrir son premier magasin dans Paris intra-muros (11ème arrondissement), qui symbolise la volonté de poursuivre le déploiement de ses magasins en centre ville ». « Nous souhaitons nous rapprocher des nos clients citadins. Fournitures de bureau, papeterie, mobiliers de bureau, cartouches d'encre… Il est plus difficile de trouver de tels produits en ville et ce dans un seul et même magasin. C’est pourquoi nous voulons être présents dans les plus grandes villes de France. » indique Bruno Peyroles. Le fondateur de Bureau Vallée précise vouloir ouvrir environ 100 points de vente dans les plus grandes villes de France (Lyon, Marseille, Bordeaux, Toulouse) d’ici deux ans.
NOUVEAU RECORD POUR LE COTON
lu sur le site du journal LSA le 8 mars 2011
Nouveau record pour le coton
Le 07 mars 2011
Les cours, qui enregistrent une hausse spectaculaire depuis plus d'un an en raison de la faiblesse de l'offre dans le monde, ont atteint lundi un nouveau record, à près de 2,20 dollars la livre. Les prix, qui avaient déjà doublé en 2010, affichent une hausse de 50% depuis le début de l'année. Pas de quoi rassurer les industriels du textile, mais aussi les distributeurs...
Nouveau record pour le coton
Le 07 mars 2011
Les cours, qui enregistrent une hausse spectaculaire depuis plus d'un an en raison de la faiblesse de l'offre dans le monde, ont atteint lundi un nouveau record, à près de 2,20 dollars la livre. Les prix, qui avaient déjà doublé en 2010, affichent une hausse de 50% depuis le début de l'année. Pas de quoi rassurer les industriels du textile, mais aussi les distributeurs...
MATTEL FERME UN MAGASIN A SHANGAI
lu sur le site du journal LSA le 8 mars 2011
Mattel ferme un magasin à Shanghai
Le 07 mars 2011
Unique au monde, il a ouvert il y deux ans et était consacré à la poupée Barbie. Ce magasin comprenait un escalator décoré avec des néons roses conduisant à une salle remplie de 900 poupées Barbie costumées, à un restaurant et à un bar. Mais les ventes n'ont pas décollé et Mattel a été obligé de réduire ses objectifs d'un tiers au cours des huit premiers mois suivant l'ouverture de la boutique.
Mattel ferme un magasin à Shanghai
Le 07 mars 2011
Unique au monde, il a ouvert il y deux ans et était consacré à la poupée Barbie. Ce magasin comprenait un escalator décoré avec des néons roses conduisant à une salle remplie de 900 poupées Barbie costumées, à un restaurant et à un bar. Mais les ventes n'ont pas décollé et Mattel a été obligé de réduire ses objectifs d'un tiers au cours des huit premiers mois suivant l'ouverture de la boutique.
vendredi 4 mars 2011
LES ELUS SE MOBILISENT CONTRE L'ABANDON DES COMMERCES
lu sur le site du journal Les Echos le 4 mars 2011
Les élus se mobilisent contre l'abandon des commerces
Un rapport parlementaire préconise de perfectionner le droit de préemption des maires afin de faire reculer les déserts commerciaux dans le coeur des villes. Les communes pourraient mettre en location-gérance les commerces vides.
Ecrit par
Joel COSSARDEAUX
malgré les derniers outils façonnés par le législateur, comme le droit de préempter les baux commerciaux accordé en 2005, rien n'y fait : les maires en lutte contre la désertification commerciale de leur centre-ville ont encore trop souvent le sentiment de se battre contre des moulins à vent. « Aucune région n'est préservée à l'égard du phénomène des vitrines vides ou à l'abandon qui porte atteinte à l'image des commerces voisins et décourage les chalands », déplore Daniel Fasquelle. Pour autant, le député-maire UMP du Touquet (Pas-de-Calais), ne voit pas de fatalité dans « le développement des friches commerciales » au coeur des villes. A lire le rapport qu'il vient de soumettre à la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale, cet inquiétant phénomène de « mitage » du tissu commercial plaide même en faveur d'un renforcement des moyens de lutte donnés aux maires.
Eviter que le bien se dégrade
Pour rendre moins lourd et moins coûteux l'exercice du droit de préemption, le parlementaire recommande chaudement d'autoriser les communes « à mettre en location-gérance le commerce avant la rétrocession du fonds à une entreprise ». Cette solution a un gros défaut, elle enfreint le principe de liberté du commerce. Mais elle présente un énorme avantage, celui d'éviter que le bien, faute de repreneur immédiatement disponible, ne se dégrade et ne devienne difficile à vendre. Ce droit de préemption qui, selon Daniel Fasquelle, a d'abord vocation à être une « arme de dissuasion au service des maires », n'en sera que plus crédible.
Autre enjeu : éviter que les cellules vides ne se transforment en « verrues » et ne finissent par polluer les commerces « sains » d'une rue ou d'une artère marchande, dont l'activité, dès lors, pourrait se trouver ruinée. Un danger que le rapport propose d'écarter en imposant aux propriétaires, via le Code de l'environnement, le respect d'un minimum de règles pour que les commerces, vacants ou non, « présentent toujours une bonne apparence » et ce « dans le respect de l'image de la ville ».
Enfin et surtout, des mesures s'imposent face à la menace de « tertiarisation » des centres-villes, où agences bancaires et immobilières commencent à proliférer. Il n'y a en effet plus guère que ces activités à pouvoir supporter des loyers commerciaux dont le montant s'est littéralement envolé. Pour mettre un terme à cette dérive, le rapport Fasquelle suggère de rendre obligatoire une disposition de la loi de modernisation de l'économie (LME) de 2008 : se référer à l'indice des loyers commerciaux (ILC) et non plus à celui des coûts à la consommation (ICC). « Entre 2000 et 2006, l'ICC a augmenté de 32 %, tandis que le chiffre d'affaires moyen des commerces évoluait de 18 %. »
JOËL COSSARDEAUX, Les Echos
Les élus se mobilisent contre l'abandon des commerces
Un rapport parlementaire préconise de perfectionner le droit de préemption des maires afin de faire reculer les déserts commerciaux dans le coeur des villes. Les communes pourraient mettre en location-gérance les commerces vides.
Ecrit par
Joel COSSARDEAUX
malgré les derniers outils façonnés par le législateur, comme le droit de préempter les baux commerciaux accordé en 2005, rien n'y fait : les maires en lutte contre la désertification commerciale de leur centre-ville ont encore trop souvent le sentiment de se battre contre des moulins à vent. « Aucune région n'est préservée à l'égard du phénomène des vitrines vides ou à l'abandon qui porte atteinte à l'image des commerces voisins et décourage les chalands », déplore Daniel Fasquelle. Pour autant, le député-maire UMP du Touquet (Pas-de-Calais), ne voit pas de fatalité dans « le développement des friches commerciales » au coeur des villes. A lire le rapport qu'il vient de soumettre à la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale, cet inquiétant phénomène de « mitage » du tissu commercial plaide même en faveur d'un renforcement des moyens de lutte donnés aux maires.
Eviter que le bien se dégrade
Pour rendre moins lourd et moins coûteux l'exercice du droit de préemption, le parlementaire recommande chaudement d'autoriser les communes « à mettre en location-gérance le commerce avant la rétrocession du fonds à une entreprise ». Cette solution a un gros défaut, elle enfreint le principe de liberté du commerce. Mais elle présente un énorme avantage, celui d'éviter que le bien, faute de repreneur immédiatement disponible, ne se dégrade et ne devienne difficile à vendre. Ce droit de préemption qui, selon Daniel Fasquelle, a d'abord vocation à être une « arme de dissuasion au service des maires », n'en sera que plus crédible.
Autre enjeu : éviter que les cellules vides ne se transforment en « verrues » et ne finissent par polluer les commerces « sains » d'une rue ou d'une artère marchande, dont l'activité, dès lors, pourrait se trouver ruinée. Un danger que le rapport propose d'écarter en imposant aux propriétaires, via le Code de l'environnement, le respect d'un minimum de règles pour que les commerces, vacants ou non, « présentent toujours une bonne apparence » et ce « dans le respect de l'image de la ville ».
Enfin et surtout, des mesures s'imposent face à la menace de « tertiarisation » des centres-villes, où agences bancaires et immobilières commencent à proliférer. Il n'y a en effet plus guère que ces activités à pouvoir supporter des loyers commerciaux dont le montant s'est littéralement envolé. Pour mettre un terme à cette dérive, le rapport Fasquelle suggère de rendre obligatoire une disposition de la loi de modernisation de l'économie (LME) de 2008 : se référer à l'indice des loyers commerciaux (ILC) et non plus à celui des coûts à la consommation (ICC). « Entre 2000 et 2006, l'ICC a augmenté de 32 %, tandis que le chiffre d'affaires moyen des commerces évoluait de 18 %. »
JOËL COSSARDEAUX, Les Echos
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