samedi 27 août 2011

DESIGUAL OUVRE TROIS BOUTIQUES CHEZ MARUED AVENUE

lu sur le site LSA lz 28 août 2911
Desigual ouvre trois boutiques chez Marques Avenue

28/06/2011 | Desigual | Textile, habillement

Desigual a rejoint le réseau Marques Avenue, leader français des centres et villages de marques, avec l’ouverture de 3 magasins. Une première boutique sera inaugurée jeudi 30 juin à Marques Avenue Talange, la seconde le sera à Romans dans le courant de l’été. Une troisième boutique prendra ses quartiers à Marques […]

UN CENTRE COMMERCIAL CLASSE MONONUMENT HISTORIQUE

Lu sur le site LSA la 28 août 2011
Un centre commercial classé monument historique !

30/06/2011 | GMS - Centres commerciaux | Carrefour

Un centre commercial classé monument historique, au même titre qu'un château ou une église, c'est fait. Le ministère de la Culture vient d'annoncer le classement de l'édifice conçu par l'architecte Claude Parent à Sens (Yonne) au début des années 1970. Aujourd'hui occupé par un hypermarché […]

vendredi 19 août 2011

ABERCROMBIE & FITCH PAIE UNE VEDETTE POUR QU'ELLE S'HABILLE AILLEURS

lu sur le site du journal Le Monde le 19 août 2011
Mode
Abercrombie & Fitch paie une vedette pour qu'elle s'habille ailleurs



Le groupe américain de prêt-à-porter Abercrombie & Fitch a proposé " une somme d'argent conséquente " à l'acteur de télé-réalité, Michael Sorrentino - surnommé " l'Embrouille " dans " Bienvenue à Jersey Shore ", un programme diffusé par MTV - pour qu'il ne porte plus de vêtements de la marque à l'écran. Le groupe redoute " des dommages " pour son image, causés par ce " héros " jugé vulgaire. Malgré l'annonce d'un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 23 %, à 917 millions de dollars (636 millions d'euros), les prévisions d'augmentation des coûts (coton, salaires...) au second semestre ont fait chuter le titre de 8,6 % à la Bourse de New York, mercredi 17 août. Aux Etats-Unis, une soixantaine de magasins seront par ailleurs fermés d'ici à la fin 2011.

Nicole Vulser

NOUVELLES ENSEIGNES EN FRANCE

lu sur le site du journal LSA le 19 août 2011
Nouvelles enseignes pour les centres franciliens du Millénaire et de la Vache Noire
Le 18 août 2011 par Daniel BICARD

Le centre du Millénaire ménage leur première entrée en France aux enseignes espagnoles MaryPaz (chaussures) et Eurekakids (jouets éducatifs et éthiques). Tandis que la portugaise Parfois (accessoires de mode) signe sa troisième implantation. Et à Arceuil, la Vache Noire ouvre un Sephora de 350 m², en attendant la librairie le Furet du Nord en octobre.

Le centre du Millénaire ouvert ce premier semestre à Aubervilliers aux portes de Paris a ménagé leurs entrées à deux enseignes étrangères jusqu’alors absentes de France. MaryPaz, boutique de chaussures dotée de plus de 300 boutiques en Espagne proposant des chaussures « trendy » à petits prix s’est installée au niveau 1, Place Végétale. Le Millénaire recrute aussi Eurekakids, autre enseigne espagnole de jouets éducatifs et éthiques. Une boutique Parfois, marque d’accessoires de mode en expansion, ouvrira également à la rentrée. Il s’agit de la troisième implantation en France de l’enseigne portugaise.
De son côté, la Vache Noire - propriété de Retail Property Fund France Belgium (RPFFB) – à Arcueil (Val-de-Marne), annonce l'arrivée de deux enseignes déjà réputées. Sephora (groupe LVMH) a ouvert le vendredi 15 juillet sur une surface de 350 m² au niveau bas à côté de Zara. Et mi-octobre, ce sera au tour de la chaîne de librairies du Nord de la France, le Furet du Nord d’ouvrir sur 2 000 m², son 13e magasin en France et son tout premier hors de sa région d'origine, le Nord-Pas-de-Calais. Le futur magasin sera également situé également à proximité de Zara, au niveau bas.
En parallèle, la boutique SFR a rouvert le 22 juillet sur 180 m² après un peu plus d’un mois de travaux, et un agrandissement de 70 m².

mercredi 17 août 2011

SUIISSE : MIGROS BAISSE LES PRIX DE 500 ARTICLES

lu sur le site du journal Le Temps le 17 août 2011

Suisse
Franc fort: Migros baisse les prix de 500 articles

Migros va baisser dès lundi prochain les prix de 500 articles de marque. C'est le résultat des négociations que le distributeur a eues avec ses fournisseurs afin de prendre en compte le faible cours de l'euro. La baisse oscillera entre 10 et 20%.

"Les négociations dures mais correctes que nous avons menées avec nos partenaires de longue date ont débouché sur de premiers résultats. Ainsi, nous pourrons abaisser nos prix entre 10 et 20%", explique Herbert Bolliger, président de la direction générale de la Fédération des coopératives Migros (FCM), cité dans un communiqué publié tard mardi soir.
Les marques concernées

Migros a trouvé un accord avec Nestlé (San Pellegrino, Nestlé Baby), Ferrero (Kinder, Nutella), Beiersdorf (Nivea), Procter & Gamble (Braun), Unilever (Axe) et L'Oréal (Studio Line). Le groupe se réjouit qu'il n'ait pas été contraint d'exclure certains produits de son assortiment comme l'a annoncé son concurrent Coop.

Le groupe bâlois qui négocie avec certains des mêmes fournisseurs que Migros a en effet décidé d'accorder à sa clientèle un rabais de 50% dès cette semaine et ce, jusqu'à épuisement des stocks. L'action de Coop concerne 95 produits.

Une fois ces marques épuisées, le numéro deux suisse de la grande distribution supprimera ces articles de ses étalages si aucun accord n'a été trouvé entretemps. Certains rayons étaient dès lundi fortement prisés par les clients.

Denner, entité de Migros, a également annoncé vendredi dernier réduire les prix d'une cinquantaine de produits de marque. Le discounter n'a cependant pas menacé de boycotter ces articles. Chez Manor, aucune modification de liste n'est prévue.

Pour sa part, Migros n'entend pas en rester là et veut obtenir des adaptations de prix de ses autres fournisseurs. Le distributeur rappelle qu'il a déjà réduit depuis le début de l'année le prix de 4000 articles, représentant un avantage de plus de 300 millions de francs pour sa clientèle.

ats/lan/hof

Vos questions sur le franc fort

Infrarouge - mardi 08 février à 22:20 sur TSR 1 [DR] "Le franc fort va-t-il nous couler?" Avant l'émission spéciale d'Infrarouge mercredi à 20h10, participez à la discussion sur le forum de l'émission, posez vos questions et faites part de vos préoccupations au sujet de la cherté du franc.
Comparatif des salaires et prix entre la Suisse et la France

Le fameux panier de la ménagère coûte-t-il toujours plus cher ? [DR] Alors que l'euro plonge, l'écart des prix entre la Suisse et la France se creuse. Entre les salaires aussi, dans tous les secteurs.
Sur ce sujet
Depuis lundi, le deuxième plus grand distributeur de Suisse boycotte une centaine d'articles de grandes marques [DR]
Depuis lundi, Coop boycotte une centaine d'articles de grandes marques qui refusent d'adapter leurs prix

mardi 16 août 2011

H & M : VENTE EN BAISSE DE 6 % EN JUILLET A PERIMETRE CONSTANT

lu sur le site du journal L'Express le 16 août 2011
H&M: ventes en baisse de 6% en juillet à périmètre constant
Lundi 15 août 2011 à 08:55 - Par Cercle Finance

Le groupe suédois d'habillement Hennes & Mauritz a fait état lundi d'une baisse de 6% de ses ventes à périmètre comparable sur le mois de juillet.

Ses ventes totales, qui inclut ses ouvertures récentes de magasins, s'inscrivent toutefois en hausse de 3% par rapport à juillet 2010.

Le groupe de prêt-à-porter - qui ne fait aucun commentaire sur les chiffres publiés - précise simplement que le nombre de ses magasins atteignait 2306 en date du 31 juillet 2011, contre 2066 un an plus tôt.

LE WEB, OUTIL POUR ATTIRER DU TRAFIC DANS LES MAGASINS

lu sur le site du journal Le Figaro le 16 août 2011
Le Web, outil pour attirer du trafic dans les magasins

Par Marie-Catherine Beuth Publié le 15/08/2011 à 21:18

Pendant dix ans, le Web s'est efforcé de convertir les consommateurs au commerce électronique. Aujourd'hui, une nouvelle génération de services Internet s'emploie à ramener les consommateurs… en magasin.

Égérie de ce modèle dit du «web-to-shop», le site d'achats groupés Groupon négocie des offres à prix cassés auprès de commerces locaux, prévendues en ligne aux internautes, qui vont ensuite chez le commerçant pour profiter de leur achat. Un modèle qui génère rapidement des recettes pour le site qui joue les intermédiaires et qui a été copié par des centaines de services à travers le monde. «C'est un modèle économique sur Internet qui fonctionne. Il est normal qu'il y ait de la concurrence, mais de nombreux sites ont aussi déjà fermé car il y a des barrières à la croissance», explique Tim O'Shaughnessy, PDG et cofondateur de LivingSocial. Numéro deux mondial derrière Groupon, il revendique 40 millions de membres dans le monde et sa valorisation est estimée à 15 milliards de dollars.

Pour fidéliser marchands et internautes, ces services doivent constamment créer des nouvelles offres. «Le modèle va évoluer. Il y aura de moins en moins de “deals du jour” et plus de produits autour du “commerce local” pour mettre en relation nos membres et nos commerçants partenaires. Nous avons lancé une gamme d'offres pour la famille, pour le voyage et surtout la fonction Instant, basée sur le mobile et le temps réel», détaille Tim O'Shaughnessy. «Les consommateurs ne se lasseront jamais d'économiser de l'argent. Il faut continuer à leur apporter de la valeur, c'est-à-dire la possibilité de réaliser des économies et de partir à la découverte de nouveaux lieux. Pour les commerçants, c'est un modèle puissant qui permet d'attirer des consommateurs dans son magasin dès le lendemain sans avancer le moindre euro», assure le cofondateur de LivingSocial. Son service, lui, touche une commission avant même que le marchand soit rémunéré. «Nous prélevons 30 à 50% de la vente, selon la relation que nous avons pu construire avec le commerçant. Nous apportons des consommateurs au commerçant, qui peut les transformer en clients récurrents», poursuit-il.
Comparateur de prix

Ces mastodontes ne sont pas seuls à chercher à faire basculer le commerce local dans le numérique. L'application mobile Prixing, créée par la start-up française Epic Dream, propose ainsi de comparer les prix d'un produit alimentaire dans les magasins autour de soi simplement en scannant son code-barres. «Il s'agit de lier le Web et le monde physique, en y ajoutant une dimension sociale, explique Thomas France, directeur associé de Prixing. Notre technologie d'indexation en temps réel relève les prix pratiqués en magasin affichés sur les sites comme AuchanDrive et nos utilisateurs peuvent ajouter des prix et des produits.» Lancé en février 2011, le service dispose ainsi de 7 millions de prix locaux pour plus de 2 millions de produits. Près de 300.000 personnes ont téléchargé l'application sur iPhone et Android. Pour un commerçant, cette application permet de se comparer à la concurrence mais aussi d'imaginer des offres de promotions. «Amener des gens en magasin» est aussi la vocation de Yakatag, une application mobile créée par Maxime Barbier, le fondateur de Minutebuzz, pour laquelle il a levé 300.000 euros début juillet. Elle vise à constituer un réseau social de goûts à partir de photos de produits, prises et géolocalisées avec un mobile, qui finissent par constituer la «carte d'identité shopping» de ses utilisateurs. Yakatag intégrera à la rentrée une base de données de magasins qui permettra de voir sur une carte où acheter ses produits préférés.
Par Marie-Catherine Beuth
Journaliste, Le Figaro

samedi 13 août 2011

LES FRANCAIS ONT BOUDE LES MAGASINS EN JUILLET

lu sur www.droit.finances.com le 13 août 2011

Les Français ont boudé les magasins en juillet
Relax News le vendredi 12 août 2011 à 11:21:00


- Malgré les soldes d'été qui ont rythmé le mois de juillet, les Français n'avaient pas la tête aux achats et ont boudé les magasins. D'après la note de conjoncture de la Banque de France publiée ce vendredi 12 août, les ventes dans le commerce de détail ont fléchi de 5,8% sur un mois et de 5,4% par rapport au mois de juillet 2010.

Le mois de juillet a été morose pour la consommation française. Les ventes dans le commerce de détail ont en effet reculé de 5,8% sur un mois. Plus concrètement, les consommateurs ne semblent pas avoir répondu massivement à l'appel des rabais des soldes d'été. Les rayons les plus plébiscités durant cette période de promotions que sont les vêtements et les chaussures affichent ainsi respectivement un fléchissement de leurs ventes de 6,1% et 5,5%.
Particulièrement prisés pendant les soldes, les rayons d'appareils électroménagers n'ont pas non plus été assaillis, avec des ventes en baisse de 6,5%. Seule exception : les livres, dont les ventes ont bondi de 11%.
Tous les circuits de distribution affichent des ventes en baisse. La tendance est la plus forte pour le petit commerce, de l'ordre de 7,6%. De son côté, le grande distribution enregistre une baisse de 2,8% de ses ventes. Enfin, la vente par correspondance, qui aurait pu connaître un sursaut d'activité du fait des soldes d'été, n'a pas échappé au mouvement général, avec des ventes en baisse de 5,9%.

mercredi 10 août 2011

LES CONSOMMATEURS METTENT EN CONCURRENCE LES ENSEIGNES

lu sur le site du journal Le Monde le 10 août 2011
CONSOMMATION
Les consommateurs mettent en concurrence les enseignes
Deux applications pour smartphone permettent aux clients de comparer les prix. Ou d'évaluer la qualité d'un commerce
lasser cet article


Smartphone en main, le consommateur est-il doté de nouveaux pouvoirs ? Deux applications récentes et gratuites entendent y contribuer. La première, Prixing, est le graal de tout client un peu regardant sur les prix. Pour cause. Une fois l'application téléchargée, il suffit de scanner, avec l'appareil photo du téléphone, le code-barres d'un article dans un supermarché pour que s'affichent instantanément les prix du même produit dans les magasins alentour.

" Grâce à notre propre système d'indexation, qui va chercher toute l'information présente en ligne, nous possédons le prix de 3 millions de références dans des centaines de magasins physiques ", explique Thomas France, directeur associé de Prixing. Avec cette base de données, que tout utilisateur peut enrichir - plus de 60 000 références ont déjà été ajoutées par les mobinautes -, il est également " possible de comparer son panier moyen pour évaluer quel magasin autour de chez soi est le plus intéressant ", précise le dirigeant.

Il faut, pour cela, scanner chez soi tous les produits achetés pour se constituer un panier référent. Un bémol : l'appareil photo doit être autofocus, ce qui n'est pas le cas des iPhone 3G et Sony Ericsson Xperia X8. Pour ces modèles, il faut rentrer le code-barres à la main. Prixing espère que les utilisateurs vont enrichir sa banque de données, mais aussi " que les enseignes, une fois l'application massivement utilisée, donneront directement leurs prix ", ajoute M. France.

Pour l'heure, Prixing a été téléchargée 300 000 fois et 30 000 produits sont scannés chaque jour. L'entreprise sait que son indépendance vis-à-vis de la grande distribution est la condition sine qua non de sa crédibilité. Elle entend vendre ses statistiques aux chaînes de magasins, toujours friandes de ce type d'informations.

Réagir à chaud

La seconde application, Civiliz, permet de faire entendre sa voix. Un consommateur est mécontent. Il peut réagir à chaud en racontant par le menu l'objet de son courroux. " L'application a été créée pour permettre aux gens de changer les choses autour d'eux, explique Marion Blanc, fondatrice de Civiliz. Nous nous engageons à faire remonter cet avis le plus rapidement possible à la direction du magasin. "

Il suffit à l'utilisateur de télécharger l'application et d'accepter d'être géolocalisé pour que la liste des magasins les plus proches s'affiche. En cliquant sur le lieu désiré, un pictogramme apparaît. Au client de dessiner avec son doigt un sourire ou une grimace " pour exprimer son ressenti, précise Mme Blanc. Il peut ensuite laisser un commentaire et même son adresse mail s'il désire une réponse ". Si un restaurant reçoit plus d'une dizaine de réactions, un pictogramme - tout sourire ou au contraire grimaçant - sera apposé près de son nom et donc visible de tous ! " Il s'agit d'une moyenne de satisfaction glissante prenant en compte les avis des trente derniers jours ", explique la fondatrice. L'utilisateur peut aussi connecter son compte Facebook pour partager ses avis. L'application semble intéresser les grandes enseignes cherchant à faire remonter très vite les problèmes. La Société générale teste un dispositif comparable dans 137 de ses agences bancaires. Un premier restaurant Quick s'est également équipé dans la capitale. Les consommateurs qui peinent à trouver le bon interlocuteur à qui se plaindre ont maintenant un nouveau recours... au fond de leur poche.

Laure Belot
© Le Monde

LES CENTRES COMMERCIAUX EQUIPES D'ECRANS PUBLICITAIRES

lu sur le site du journal Le Monde le 10 août 2011
Réseaux & médias
L'affichage publicitaire négocie son virage vers le numérique
Après le métro, les centres commerciaux vont être équipés d'écrans plats

L'affiche publicitaire collée sur un panneau n'est pas prête à être jetée aux oubliettes. Mais, à l'instar des autres médias, l'affichage a entamé sa mue vers le numérique. Après le métro, les gares, les aéroports, c'est au tour des centres commerciaux de s'équiper de grands écrans plats.

Fin juillet, la filiale française de la société américaine Clear Channel a signé un accord avec le groupe d'immobilier commercial Unibail-Rodamco pour installer un réseau d'affichage publicitaire numérique. Elle avait déjà signé un contrat similaire avec son concurrent, le groupe Klépierre. " Ce sont deux contrats de dix ans qui portent sur la quasi totalité de leurs centres commerciaux en France. Soit 24 pour Unibail-Rodamco et 73 pour Klépierre. Au total, nous allons déployer 1 200 écrans numériques de 2 mètres carrés ", explique Alexandre de Palmas, directeur général de Clear Channel France. Sans compter les " murs d'images ".

Ce basculement vers le numérique dans les centres commerciaux s'explique aisément. " C'est un univers protégé du vandalisme comme des intempéries. Surtout, 90 % des gens qui fréquentent ces lieux vont passer à l'acte d'achat, ils sont très friands de marques et de promotions. Le numérique permet de jouer sur une modulation des créations publicitaires en fonction de l'heure, de la météo... ", précise M. de Palmas.

En France, Metrobus, détenue à 67 % par Publicis et à 33 % par JCDecaux, avait lancé le mouvement. D'abord dans les couloirs du métro parisien, où 400 dispositifs sont installés depuis fin 2010. Puis dans les gares, où Metrobus doit installer un nombre d'écrans similaire. Le mouvement ne se limite pas à la France. JCDecaux, leader mondial de l'affichage, a souligné fin juillet, lors de la présentation de ses résultats semestriels, " la forte croissance du numérique ". Le groupe français dispose aujourd'hui d'un parc de 7 300 panneaux numériques dans le monde, un chiffre qui a doublé en trois ans. " Nous privilégions le numérique dans les zones de transport, où 90 % de nos écrans sont installés. Cela représente 11 % de notre chiffre d'affaires dans les transports, et 25 % à 30 % dans certains aéroports ", affirme Jean-Charles Decaux, son codirecteur général, qui reste prudent sur l'équation économique, même si le prix des écrans continue de baisser.

Interaction

Reste à savoir à quelle vitesse et sous quelles conditions ces écrans vont être installés dans la rue. La loi Grenelle 2 autorise leur déploiement, mais le décret d'application est encore en discussion. La taille des écrans ainsi que la diffusion d'images animées posant des problèmes de sécurité routière et de nuisance visuelle.

Autre enjeu, selon M. Decaux : " Le numérique permet d'entrer en interaction avec le consommateur. " " Le problème n'est pas technologique, affirme de son côté M. de Palmas. Bluetooth, Wi-Fi, code-barres : tout a été essayé. L'enjeu, c'est l'usage qu'est prêt à en faire le consommateur. " Metrobus avait suscité la polémique, en 2008, en installant dans ses écrans des capteurs pour mesurer le nombre de gens qui les regardent et un système automatique d'envoi de messages publicitaires sur les mobiles. Un dispositif débranché depuis, selon la régie publicitaire.

La question de la consommation d'énergie est aussi cruciale. La réponse sera peut-être apportée par deux sociétés françaises. Wysips et Prismaflex se sont associées, fin juillet, pour concevoir le premier panneau d'affichage autonome en énergie grâce à un film photovoltaïque transparent.

Laurence Girard
© Le Monde

TAVI, LE MOZART DE LA MODE

lu sur le site du journal Le Monde le 10 août 2011
Tavi, le Mozart de la mode


Cheveux gris, noeud géant sur la tête, et robe vintage un tantinet informe : quand Tavi Gevinson, blondinette de 13 ans, a débarqué dans les coulisses de Christian Dior, il y a un an et demi à Paris, elle était déjà célèbre. Un petit Mozart à la pointe de la mode propulsé grâce à son blog, " Style Rookie " ( " Débutante de la mode " en anglais ), au premier rang des défilés de la haute couture parisienne. Comble du succès : Karl Lagerfeld, directeur artistique de Chanel, a posé à ses côtés, adoubant l'adolescente parmi les " trendsetteuses " qui comptent.

La prépubère du Midwest sort de l'anonymat

Depuis, le petit prodige, originaire de Chicago a fait encore du chemin. Tavi irritait les journalistes de mode qui devaient lui céder la place - en même temps qu'à ses consoeurs ou confrères blogueurs - au premier rang des défilés new-yorkais ou parisiens ? Qu'à cela ne tienne. Désormais, l'adolescente fait partie de leur confrérie, si ce n'est de la planète supérieure.

Après avoir fait la couverture de Love, s'être vue confier une série mode pour le magazine Black Book, la voilà associée à l'éditorialiste Jane Pratt pour le lancement d'un site Web-magazine féminin. Deux ouvrages sont sur le point de sortir sur Tavi. Le premier sera écrit de sa main, avec l'aide de Marisa Meltzer, auteure de Girl Power, et devrait mélanger des conseils mode, beauté et cuisine... pimentés de quelques remarques féministes sur la condition difficile des ados. Le second, édité par le célèbre new-yorkais Rizzoli, sera consacré à sa (courte) vie de blogueuse de mode.

Créé en 2008, le blog de Tavi - mélange de journal intime, d'album photo de ses extravagances vestimentaires et de notes bien senties sur les stylistes et les défilés de mode - n'a pas seulement sorti de l'anonymat une petite fille du Midwest américain, faisant rêver nombre d'ados en mal de célébrité éclair. Sortant du lot par sa maturité et son franc-parler, la gamine s'est imposée et s'est fait respecter par les maisons de luxe.

Ses avis et sa popularité sur la Toile sont même devenus indispensables pour vendre des journaux ou des vêtements aux adolescents de la planète. Aujourd'hui habillée par les griffes américaines Proenza Shouler ou Rodarte, Tavi est en bonne voie pour succéder un jour à Anna Wintour, la redoutée et influente rédactrice en chef du Vogue Amérique, " croquée " dans Le Diable s'habille en Prada.

Mais craquante, elle reste. Récemment - parce qu'elle sort de l'adolescence, Tavi a découvert une chose inouïe. En plus d'être talentueuse et précoce, elle est... jolie. Et voilà la bougresse qui publie sur son blog le cliché qui le prouve et elle raconte comment elle s'est abstenue, pendant des semaines, de le montrer sur la Toile, suite à une crise existentielle.

Car comment, après avoir vanté l'anticonformisme - au point de se déguiser en grand-mère ayant avalé de l'ecstasy pour assister en bonne place aux défilés de mode les plus courus -, vivre avec un physique si conventionnel ? Finalement, conclut Tavi, désarmante de sincérité, ce don de la nature peut lui ouvrir encore des portes.

Véronique Lorelle

http://www.thestylerookie.com/

" Style Rookie "

© Le Monde

UNE SIMULATION DE CENTRE COMMERCIAL SUR I-PHONE

lu sur www.livetouch.fr le 10 août 2011
 iPhone Actualité
Kairosoft lance Mega Mall Story sur iPhone
Développez un grand magasin

Gérer un immeuble est peut-être devenu l'une de vos addictions si vous avez pris plaisir à découvrir Tiny Tower sur iOS [lien], mais vous aimeriez sans doute affiner vos capacités de gestionnaire dans un jeu plus complexe. Kairosoft se lance à son tour dans la construction 2D verticale, avec Mega Mall Story, dans lequel vous serez à la tête d'un grand magasin qu'il vous faudra personnaliser sur plusieurs étages.

En terme de gestion, le soft est très complet et se place bien dans la lignée des autres jeux de l'éditeur nippon. On peut acheter des boutiques que l'on placera dans le grand magasin, le tout est assez varié puisque l'on a à sa disposition un magasin de jouets, un restaurant chinois, une boulangerie, un cinéma, etc. Bien entendu, chaque élément est proposé à un prix correspondant à sa valeur marchande et il prendra plus ou moins de place dans un étage. La progression est bien pensée puisqu'au bout d'un moment, les plans de nouveaux magasins peuvent être échangés contre les coeurs de plaisir laissés réguilèrement par quelques clients particulièrement satisfaits. En agençant les éléments d'une certaine manière, vous pourrez réaliser des combos qui boosteront aussi bien l'argent récolté que les coeurs et il vous est même possible, moyennant une somme raisonnable, de déplacer un magasin qui trouverait mieux sa place à un autre étage. L'aspect gestion est complété par la possibilité d'investir dans le voisinage, afin de diversifier la clientèle, vous pourrez bien sûr faire des campagnes publicitaires et vous vivrez les périodes de soldes d'été et d'hiver.

Le jeu ne dénote pas sur le plan visuel par rapport à Game Dev Story, Hot Spring Story ou Pocket Academy, on retrouve donc de la 2D assez oldschool mais agréable et l'on a la possibilité de jouer en mode portrait ou paysage afin de bien visualiser son grand magasin. Les saisons s'enchainent autour de celui-ci, de même que les conditions climatiques qui pourront jouer sur le nombre de visiteurs et des défis vous seront lancés afin d'augmenter le nombre d'étoiles de votre entreprise. Les investissements sont rapidement payants et si vous n'aurez pas besoin de recharger manuellement les boutiques puisque cela se fait à l'ouverture, le matin, vous pourrez par contre échanger des coeurs contre de nouveaux services ou produits, comme des croissants par exemple, ce qui pourra vous rapporter gros puisqu'un client heureux est tout à fait capable de dépenser 2000$ dans un de vos cafés. Un bilan annuel assorti d'une récompense budgétaire est aussi au programme et vous pourrez employer quelques personnes qui amélioreront la satisfaction de la clientèle ou la renommée de vos boutiques.

Mega Mall Story saura séduire les amateurs de jeux de gestion de Kairosoft et plus particulièrement de Game Dev Story. Vous pourrez retrouver la version iPhone / iPod Touch du jeu sur l'App Store pour 2,99€ [lien].

vendredi 5 août 2011

LES MARQUES PREFEREES DES FRANCAIS...ET LES MOINS AIMEES

lu sur le site du journal Capital le 5 août 2011
Les marques préférées des Français... et les moins aimées
Ce sondage exceptionnel traduit les changements profonds de notre économie. Etre utile, voilà le secret des marques aimées.
Les marques préférées des Français... et les moins aimées

C’est le triomphe de la nouvelle économie ! Dans ce sondage exclusif Capital-BVA-Leo Burnett, les champions de l’Internet occupent les meilleures places. Google, bien sûr, numéro 1 hors catégorie de ce palmarès portant sur une sélection de 101 marques grand public. Mais aussi Amazon (5e), YouTube (11e) ou le français Vente-privee (12e). Des icônes comme Coca-Cola ou Nestlé sont désormais reléguées au 20e rang du classement général. Pour aboutir à ce résultat, nos sondeurs ont mesuré la force du discours des marques, leur capacité à faire de leurs clients des prescripteurs (ils la recommandent aux amis) et leur aptitude à changer la vie des gens. Sur ce dernier critère, les géants du Web font la différence. «Internet et l’e-commerce ont redonné le pouvoir au consommateur», analyse Michel Perret, DG en charge du planning stratégique chez Leo Burnett.

Parmi les résultats de notre classement, présenté par univers d’activité, on soulignera un trait bien français, la méfiance envers les puissants et ceux que l’on soupçonne d’être trop avides. Ainsi les banques et les assurances, qui investissent pourtant beaucoup en communication, n’arrivent pas à se défaire de leur mauvaise réputation. Dans cet univers, seules les mutualistes, comme le Crédit mutuel, la Maaf ou MMA, échappent au soupçon. Même si ces deux dernières ne sont pas totalement à but non lucratif.

Jean Botella

Comment a été établi ce classement

Ce sondage Leo Burnett-BVA, réalisé sur Internet du 6 au 16 mai 2011, repose sur un échantillon représentatif de la population française de 15 ans et plus, constitué sur des critères d’âge, de sexe, de CSP du chef de famille et de région. 4 179 personnes ont été interrogées sur une sélection de 101 marques, soit 800 à 900 observations pour chacune d’elles. La note, sur 200, a été
déterminée en fonction de réponses à 11 questions regroupées en trois thèmes : «discours» («c’est une marque qui fait beaucoup parler d’elle»), «mobilisation» («pourriez-vous conseiller les marques ou enseignes suivantes à vos proches ?») et «action» («c’est une marque qui change ma vie»).

Banques et Assurances : Les enseignes mutualistes échappent au lynchage



La perte de confiance envers les institutions financières est profonde. En témoignent les notes, toutes inférieures à 100. Mais elle frappe plus les banques capitalistes que les mutualistes. Comme le Crédit mutuel ou MMA, ces dernières ont dynamisé leur image par des publicités décalées («mon conseiller n’est pas commissionné», «zéro blabla, zéro tracas»). La réputation des sociétés de crédit reste toujours aussi mauvaise. Cetelem s’en sort un peu mieux que les autres, sauvé par Crédito, son bonhomme vert.

Télécoms, High-Tech : Free premier français, Microsoft toujours vigoureux


Surprise, Microsoft devance Apple dans le cœur des Français. Porté par le succès de Kinect et le rachat de Skype, le géant de Seattle joue encore un rôle essentiel dans leur vie quotidienne. On s’étonnera aussi de voir Samsung égaler Sony. Côté français, Free réalise un joli coup. Avant même d’avoir lancé son service de téléphonie mobile, prévu en 2012, il coiffe ses concurrents au poteau. Le thème du «petit» contre les «gros», Orange et SFR, qu’il a une nouvelle fois entonné, inspire la sympathie.

Médias : Internet supplante la télé, M6 dépasse France 2


Les marques d’Internet détrônent haut la main celles de la télévision, enregistrant en particulier un triomphe auprès des 15-24 ans. Google (premier au classement général), YouTube ou Facebook suscitent l’admiration notamment pour leur sens de la communication et leur capacité à changer la vie des utilisateurs. Côté télé, M6, l’ex-petite chaîne qui monte, passe pour la première fois devant France 2. La marque est plus forte auprès des jeunes et jugée plus sympa que le rouleau compresseur TF1, plombé par une «pénalité au leadership», selon les termes de Michel Perret, de Leo Burnett. En France, on préfère les Poulidor.

Alimentation : Danone au top, McDo et KFC ratent la moyenne


Carton plein pour Evian (lire aussi page 36), que 87% des Français sont prêts à recommander, tandis que 68% d’entre eux estiment que la marque «fait ce qu’elle dit» : offrir la jeunesse. Cela réjouira Danone, étonnant troisième, alors que, de plus en plus marque ombrelle, il apparaît moins sur les produits. Nespresso – et son ambassadeur, George Clooney – talonne Evian de peu. La pub fait toujours recette et, surtout, le concept de dosettes est salué car il «change la vie». La communication de McDonald’s aussi est, selon notre sondage, appréciée. Mais comme le prouve l’avant-dernière place du roi du hamburger, bien communiquer ne suffit pas pour se faire aimer. Les 15-24 ans, entre autres, lui préfèrent Coca-Cola ou Nutella.

Distribution : Un match de plus en plus serré entre les grandes surfaces et les champions du e-commerce


Cote d’amour au top pour Ikea. Design, qualité, prix : la marque cartonne. Loin devant Conforama, qui n’obtient pas la moyenne (95 sur 200). La surprise ? Vente-privee.com. Testée pour la première fois, l’enseigne arrive quatrième grâce à sa promesse d’offrir de bonnes affaires en exclusivité. La famille Mulliez place trois de ses enseignes (Auchan, Décathlon, Leroy Merlin) dans le top 10. Dans le hard discount, Lidl, avec un assortiment élargi, creuse l’écart avec Franprix et Leader Price, au positionnement plus flou, notés 70 et 80 seulement.

Automobile : Superbe percée de Peugeot, triomphe d’Audi



Audi est plus que jamais la pépite du groupe Volkswagen. Les sondés recommandent la marque aux anneaux avant Mercedes, parce qu’ils estiment qu’elle remplit sa mission en termes d’innovation et de qualité. Surprise, Peugeot profite de sa montée en gamme et de ses derniers lancements. Renault ? En attendant les véhicules électriques, qui pourraient modifier son image, le constructeur paie la banalité de sa gamme. Et la récente fausse affaire d’espionnage n’a rien arrangé.

Energie, transports : la cote des services publics faiblit


Les grands noms de ce secteur arrivent loin dans le classement général, après la soixantième place, avec des notes toutes inférieures à la moyenne de 100. Cette image négative n’a rien à voir avec le statut, public ou privé : EDF fait 13 points de mieux que GDF Suez. Autre mal-aimé, le pétrolier Total : la flambée des prix à la pompe et ses profits de 12 milliards d’euros pèsent lourd. Dans les transports, la SNCF, notée 93, paie pour ses retards et ses soucis de qualité. L’effet TGV ne joue plus.

© Capital.fr

LES PARFUMS ANNICK GOUTAL A L'HEURE SUD-COREENNE

lu sur le site du journal Le Monde le 5 août 2011

Les parfums Annick Goutal à l'heure sud-coréenne


Heure Exquise, Petite Chérie, Les Nuits d'Hadrien ou Songes... : tous ces parfums Annick Goutal changent de propriétaire et passent sous pavillon sud-coréen. AmorePacific, de loin le principal groupe de cosmétiques coréen avec 30 % de parts sur son marché national, a annoncé, mercredi 2 août, qu'il rachetait cette petite entreprise française de parfums de luxe à son propriétaire depuis 2005, le fonds d'investissement américain Starwood Capital. Le prix de la transaction n'a pas été dévoilé.

Le nouvel acheteur possède déjà les licences des parfums Lolita Lempicka, qui sont d'ailleurs fabriqués près de Chartres, dans le pôle de compétitivité " Cosmetic Valley ". Le propriétaire sud-coréen s'est félicité de cette opération qui lui permet de " renforcer son portefeuille de marques et renforcer les bases de son implantation dans le domaine du parfum dans toute l'Asie ".

L'histoire d'Annick Goutal est peu commune. Destinée depuis son enfance à une carrière de pianiste, cette belle jeune femme préfère d'abord devenir mannequin, puis, après une rencontre décisive avec un parfumeur grassois, laisse tomber les concerts, les podiums et les coulisses de la mode pour s'engouffrer dans l'odyssée de la création des parfums.

Annick Goutal devient " nez " et ouvre sa première boutique en 1980, rue de Bellechasse à Paris dans le 7e arrondissement. Ses senteurs, vendues dans des flacons assez rétro aux cannelures longilignes, s'imposent. En 1985, le groupe familial Taittinger (qui détient alors entre autres les hôtels parisiens Le Crillon, le Lutétia, ou encore le cristal Baccarat et d'importantes maisons de champagne....) en prend le contrôle et permet à la maison de parfums de croître à l'international. Au tournant des années 1990, certaines de ses fragrances font partie des cinq meilleures ventes des grands magasins chics de New York, Saks ou Neiman Marcus. Romantiques, les Américaines ont un petit faible pour Grand Amour ou Ce soir ou jamais...

1 300 points de vente

Cette success story est endeuillée en 1999 par la disparition précoce de la fondatrice du groupe, Annick Goutal, emportée à 53 ans par un cancer. Brigitte Taittinger, PDG du groupe depuis 1992, assure la suite et continue à développer l'entreprise, aidée par la fille d'Annick Goutal, Camille, et par l'autre nez de la maison, Isabelle Doyen.

En 2005, Annick Goutal change une nouvelle fois de propriétaire quand Starwood Capital acquiert le groupe Taittinger. Quatre ans plus tard, la marque effectue ses premiers pas en Asie, d'abord au Japon puis en Chine. Aujourd'hui, ces parfums sont vendus dans près de 1 300 points de vente dans une vingtaine de pays. Starwood Capital avait songé à céder la société au début de la crise financière en 2008. Depuis trois ans, elle restait légèrement déficitaire. Sa PDG avait pour un temps, convaincu ses propriétaires de renoncer. Cette fois-ci Les Nuits d'Hadrien seront orientales.

Nicole Vulser
© Le Monde